Madame, Monsieur, Par la présente, je vous informe de ma décision de quitter mon poste de (intitulé du poste) que j'occupe depuis le (date). Comme le précise mon contrat de travail (ou la convention collective), je respecterais un préavis de départ d'une durée de (X jours/mois).
[Madame/Monsieur], Je vous informe par cette lettre de ma décision de démissionner de mes fonctions ([Fonction occupée]) exercées depuis le [Date du début du contrat] au sein de l'entreprise. J'ai bien noté que les termes de [Mon contrat de travail / La convention / L'accord] prévoient un préavis de [Durée du préavis].
[Titre, nom et prénom], En date du [date], nous avons conclu un contrat de travail à durée déterminée à objet défini. Ce contrat arrivera à expiration le [date], cette date correspondant à celle de la réalisation de l'objet pour lequel il a été conclu, à savoir [objet, mission du CDD].
«Pour manifester votre volonté claire et non équivoque de démissionner, vous devez nécessairement prévenir votre employeur. Il n'y a pas de procédure légale imposée pour signifier une démission. Vous pouvez prévenir votre employeur par oral ou par écrit (en lui adressant une lettre de démission)».
Fin du contrat : remettre un certificat de travail
Quel que soit le motif de la rupture du contrat, vous devez remettre au salarié un certificat de travail, à l'expiration du contrat de travail.
La rupture du contrat de travail, c'est-à-dire sa fin avant la date prévue, peut prendre différentes formes : démission, rupture conventionnelle, licenciement….
(date). Conformément à l'article 38-1 du décret n° 88-145 du 15 février 1988 relatif aux agents contractuels, je vous informe que j'ai décidé de ne pas renouveler votre contrat au-delà de son terme. En conséquence, notre collaboration prendra fin à compter de cette date.
Lors de la rupture ou la fin d'un contrat de travail, l'employeur doit obligatoirement remettre au salarié un certificat de travail, un reçu pour solde de tout compte et une attestation Pôle emploi.
Concernant la notification, l'employeur doit avertir le salarié de sa décision de ne pas renouveler le contrat à son terme. Ici, la loi ne prévoit pas de délai pour prévenir le salarié, mais il est préférable d'adresser au préalable le courrier en recommandé avec accusé de réception.
Oui. Le code du travail vous autorise à démissionner avec lettre de démission remise en main propre. Il faut pour cela rédiger la lettre de démission en double exemplaire et la remettre contre décharge, c'est-à-dire la faire dater et signer par l'employeur ou un représentant légal.
Fin du contrat
si le salarié conserve son emploi après la fin de son CDD alors qu'aucun accord de renouvellement n'a été prévu, le contrat devient un CDI. Le salarié alors conserve l'ancienneté acquise au cours du CDD. La durée du CDD est déduite de la période d'essai éventuellement prévue dans le CDI.
Aucun délai de prévenance n'est défini par la loi. Il est cependant préférable d'avertir le salarié dès que la décision de ne pas renouveler le contrat est prise.
Pour la remise des documents de fin de contrat, le délai raisonnable est estimé à deux semaines. En ce qui concerne l'attestation Pôle emploi, il est impératif que l'employeur la transmette au plus vite dans les jours qui suivent la fin de contrat afin d'éviter tout préjudice avec le salarié.
1 an si le montant concerne la rupture du contrat (exemple : indemnité de licenciement) 2 ans si cela concerne un litige entre le salarié et l'employeur intervenu pendant l'exécution du contrat de travail (exemple : non-paiement de frais professionnels) 3 ans pour tout ce qui relève des salaires.
1 an si le montant concerne la rupture du contrat ; 2 ans si cela concerne un litige entre le salarié et l'employeur intervenu pendant l'exécution du contrat de travail ; 3 ans pour tout ce qui relève des salaires.
En effet, toute personne refusant un renouvellement de CDD est considérée comme étant involontairement privée d'emploi ou assimilé. Aucun détail n'est précisé sur le fait que cette fin d'activité relève d'une fin de contrat ou d'un refus du salarié de poursuivre un renouvellement.
Si vous refusez le renouvellement de votre contrat, vous êtes considéré comme involontairement privé d'emploi si votre refus est motivé par l'un des motifs suivants : Motif légitime lié à des considérations d'ordre personnel. Ou modification substantielle de votre contrat non justifiée par l'administration.
Si la démission, le licenciement pour motif personnel ou économique et la rupture conventionnelle sont les plus connus, il existe pourtant d'autres possibilités de mettre fin à un contrat. Ainsi, la rupture conventionnelle collective, l'abandon de poste ou encore la résiliation judiciaire peuvent être des solutions.
Les conditions pour avoir des allocations chômage
Vous avez été salarié au moins 6 mois (soit 130 jours travaillés ou 910 heures travaillées) au cours des 24 derniers mois (36 derniers mois si vous êtes âgé d'au moins 53 ans à la date de fin de votre dernier contrat de travail).
L'employeur peut dispenser le salarié d'effectuer ce préavis à la demande du salarié dans sa lettre de démission ou à l'initiative de l'employeur. Dans ce cas, le salarié doit verser cette indemnité à son employeur.
ne peut percevoir d'allocation chômage
L'agent qui refuse le renouvellement de son contrat ne peut être considéré comme démissionnaire ni involontairement privé d'emploi : par conséquent, il ne peut prétendre au versement des allocations chômage.
En pratique, lorsqu'un salarié refuse de passer d'un CDD à un CDI, son employeur va lui demander un courrier écrit formalisant ce refus. Pourquoi ? Tout simplement pour avoir la preuve de ce refus et s'en servir en cas de litige pour justifier sa décision de ne pas verser l'indemnité de précarité.
L'indemnité de fin de contrat
Le salarié a droit à une indemnité de fin de contrat (dite « prime de précarité ») lorsque le CDD arrive à son terme et qu'il ne se poursuit pas par un CDI . Elle est égale au minimum à 10 % de la rémunération brute totale versée durant le contrat.