Le lait d'argile. Le lait d'argile en cure de 2 à 3 semaines aide à lutter contre l'excès d'acidité, souvent plus important le matin et permet de tapisser la muqueuse gastrique, comme un pansement. Comment ? Mettre 1 cuillère à café (en bois, jamais en métal) d'argile en poudre (blanche ou verte) dans un verre d'eau.
Qu'advient-il de nos parois stomacales ? Et bien, la nature est bien faite puisque l'estomac est régénéré tous les quatre à cinq jours pour éviter qu'il ne se fasse attaquer par ces acides puissants.
- Le riz nature est une bonne solution pour plâtrer l'estomac quand on a trop abusé. Les diététiciens sont unanimes, manger du riz reviendrait à manger moins de graisses saturées et moins de sucre. - De la menthe poivrée à boire en infusion est aussi recommandée pour contrer les maux d'estomac.
La réponse est oui, un être humain peut vivre sans estomac, mais avec une adaptation de son alimentation et des injections régulières de vitamine B12.
Bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) : Puisque le bicarbonate de soude est alcalin et peut généralement être consommé sans danger, il est un bon candidat pour neutraliser l'acide. Il est logique pour les gens d'avoir recours à cet article ménager d'usage courant pour traiter les brûlures d'estomac.
Quelles sont les pansements gastriques les plus efficaces ? En cas de reflux gastro-œsophagien, les alginates sont plus puissants que les antiacides souligne l'interviewé. Les antiacides sont en revanche plus efficaces que l'argile.
Les produits laitiers
Contrairement aux idées reçues, certains produits laitiers n'empêchent pas une bonne digestion et permettent alors d'éviter les brûlures d'estomac. Les yaourts et les fromages à pâte cuite (gruyère, emmental, cantal, …) sont généralement bien tolérés.
L'argile verte tapisse l'estomac et agit comme un pansement gastrique naturel tout en possédant des vertus anti-inflammatoires. Elle se consomme en étant mélangée à de l'eau 30 minutes avant les repas et à distance des prises de médicaments. Son usage ne doit pas être prolongé au risque de provoquer de la constipation.
Le lansoprazole : Lanzor, Ogast, Ogastoro, génériques.
L'administration d'un inhibiteur de la pompe à protons (IPP) est indiquée pour une durée de 4 semaines environ (et en théorie pour 8 semaines maximum). Les médicaments de la classe thérapeutique IPP visent à amoindrir l'acidité gastrique afin de permettre à l'estomac de cicatriser.
La camomille
Riche en flavonoïdes, elle serait capable de protéger la membrane gastrique grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et digestives. Elle va donc vous soulager des symptômes de la gastrite.
On y apprend que le miel peut avoir un effet « barrière » et aiderait à limiter les reflux gastriques. Le miel aurait des propriétés digestives. C'est un remède naturel qui aiderait à la digestion et à la stimulation de l'estomac.
Si vous êtes sujets aux brûlures d'estomac ou aux reflux acides misez sur : Des légumes, comme le brocoli, le céleri et les champignons. Des fruits, comme la banane. Évitez en revanche les aliments acides tels que les oranges et les citrons.
Les fibres – et en particulier les fibres solubles contenues dans les fruits, les légumes et les légumineuses – ont un effet protecteur sur la muqueuse gastrique. Elles pourraient donc contribuer à prévenir les rechutes.
Le jus de citron frais (dilué dans une tasse d'eau chaude, à consommer à jeun). Le bicarbonate de soude (une cuillère à soupe dans une demi-tasse d'eau). Le vinaigre de cidre (1 à 2 cuillères à café chaque jour, mélangé dans le thé). La camomille ou la menthe peuvent aider à réduire les symptômes de reflux acide.
Les effets indésirables les plus fréquents (1-10 % des patients) sont les céphalées, les douleurs abdominales, la constipation, la diarrhée, les flatulences et les nausées/vomissements.
Le bicarbonate de soude, aussi appelé bicarbonate de sodium, est une poudre blanche recommandée pour soulager les brûlures d'estomac. Administré après avoir été dilué dans l'eau, le produit apaise ce symptôme souvent douloureux.
La chirurgie est le seul traitement qui permette de guérir un cancer gastrique. Des rechutes locales ou à distance peuvent malgré tout survenir à plus ou moins long terme chez une part significative des personnes opérées.
Le taux de survie du cancer de l'estomac est aujourd'hui très faible puisqu'il n'est en moyenne que de 23 % à 5 ans chez les hommes (32 % pour ceux âgés de 55 ans et 17 % pour ceux âgés de 80 ans) et de 28 % chez les femmes (47 et 25 % en fonction de l'âge).
Dans le cas du cancer de l'estomac, on considère que le suivi minimal est de 5 ans (1). Si aucune récidive n'est survenue dans les 3 ans qui suivent le diagnostic, le patient a alors plus de 90 % de chances d'être guéri (2).