1°/ Si le mat est emplanté vérifier que la quête du mat soit en accord avec la position du sabot sur la quille. 1°/ vérifier la rectitude latérale du mat, le galhauban ne doit pas être mou sous le vent. 3°/ prendre un ris pour vérifier que le mat reste rectiligne latéralement sinon retendre les bas haubans.
Comment régler les haubans ? Pour ajuster la longueur des haubans, donc leurs tensions, on utilisera les ridoirs et des clefs à molette. Pour corriger la courbure du mât, on réglera la longueur des haubans en serrant d'un côté ou en détendant de l'autre.
Âge du gréement
Pour connaître l'âge d'un gréement, il faut demander les factures de remplacement des différentes pièces. En général, un gréement dormant (hauban, étai…) a une durée de vie de 5 à 10 ans. Avec des disparités suivant qu'il s'agisse de câble monotoron ou de rod.
Sur un mat à deux barres de flèche, on peut tendre le hauban haut à 15%, l'intermédiaire à 13%, le bas à 10%.
Le voilier est “aspiré” par le vent au près. Le réglage de la GV se calque sur celui de la voile d'avant. Les deux doivent être “parallèles” (en 3D, le profil des deux voiles doit être similaire). Observer les penons, vous permettra d'avoir une meilleure appréhension de la situation.
Le meilleur angle au vent semble être pour la voile Jib, 40° et pour la voile Spi, 148°. Ces données sont issues d'observations sur le Trophée Jules Verne, sur l'Indian Quest les résultats sont différents.
Petit largue ; c'est l'allure la plus rapide car elle conjugue trainée et portance.
Lorsque vous compressez le mât avec le pataras, la têtière de grand-voile se rapproche du point d'écoute. Cela ouvre la chute de la GV en créant du vrillage. Normalement, à chaque fois que vous tendrez le pataras, vous devrez border la grand-voile (et/ou le hale-bas) pour que le vrillage reste la même.
On appelle le gréement dormant toutes les parties du gréement qui ne sont pas censées bouger. Il est divisé en deux parties : longitudinal et latéral. Les espars comme le mât ou la bôme n'entrent pas dans le gréement dormant.
cela dépends effectivement du voilier, cela s'échelonne de 1 à 1,8 tant en grandeur qu'en modélisme. pour un classe 1m, le greement A fait 1m70, le B 1,4m et le C 1,2m. un open 60 (18m) porte un mat de 25 à 30 m. un mini (6.5) porte 11 m de mat.
Les haubans : Ils ont une durée de vie estimée à quinze ans ou à une quinzaine de milliers de milles, mais sont assurés seulement dix ans. Cette estimation dépend néanmoins de l'utilisation que l'on en a. L'étai : a une durée de vie d'environ dix ans.
Il suffit de les déconnecter au pied du mât. Les drisses doivent être lovées au pied de mat et bien attachées pour qu'elles ne trainent pas et ne gênent pas le démâtage. La bôme doit être enlevée. Reprenez une drisse sur l'étrave qui permettra de détendre tranquillement l'étai.
Définition du mouillage
Le mouillage consiste en l'immobilisation du bateau en mer, grâce à une ancre. C'est une manœuvre qu'il est indispensable de maîtriser quand on pilote un bateau, lorsque l'on doit mouiller au port ou si l'on veut profiter en toute sécurité d'une crique pour se baigner.
Ensemble des mâts, des vergues, des voiles et des manœuvres nécessaires à la propulsion d'un navire à voiles.
La solution consiste à choquer l'écoute et le hale-bas de grand-voile en grand et à « pomper » sur la barre pour abattre. Lorsque le bateau repart, veillez à vite compenser à la barre et à l'écoute sous peine de finir à l'abattée dans le mouvement inverse.
C'est principalement le chariot de grand voile qui règle l'incidence générale de la grand-voile, tandis que l'écoute règle le vrillage de la voile. Sur une même allure : Quand on choque l'écoute, on vrille la voile en ouvrant la chute et inversement. Quand on choque le chariot on diminue l'incidence et inversement.
Sur un voilier moderne (gréement bermudien), le pataras (5) est un câble reliant la tête de mât à l'arrière du navire : il contribue à maintenir le mât dans sa position verticale dans le sens longitudinal. Le pataras fait partie des manœuvres dormantes ; il peut être simple ou double.
Empanner consiste à passer d'un bord sur l'autre avec le vent dans le dos. Comme pour le virement de bord, les voiles vont donc changer de côté. Dans un empannage, le vent va cueillir la grand-voile par l'arrière et accélérer le passage de la bôme d'un bord sur l'autre, parfois violemment.
Pour virer, il faut rapprocher le voilier du vent (loffer) en poussant sur la barre avec un mouvement ample pour ne pas arrêter le bateau. La voile d'avant se met à faseyer (à battre comme un drapeau). Il faut alors enlever les tours d'écoute du winch et choquer le génois (relâcher complètement l'écoute).
Courez en côte sur une distance d'environ 150 m avec une intensité de 90 à 95 % de votre effort maximum et répétez cet exercice entre six et dix fois. Faites de longues et puissantes foulées avec un tronc fort et stable. Pour vous reposer, redescendez en marchant ou en courant lentement.
Régler l'écoute, c'est-à-dire la corde servant à régler la voile, en la tirant de façon à raidir la voile. On borde une voile pour des raisons aérodynamiques, pour se rapprocher de l'axe du vent. Si ce réglage n'est pas effectué correctement, la voile gêne le bon passage du vent et perturbe la vitesse du bateau.
C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
Elle n'est utilisée que par petit temps pour les allures de portant (entre 5 et 20 nœuds de vent).