On préfèrera conserver la formule complète – À la suite de votre intervention… –, utiliser Pour donner suite à – Pour donner suite à votre demande… – ou encore, lorsque l'on considère la conséquence, employer Par suite de – Par suite de cet accord…
Abréviation de la locution «à la suite de», la formule «suite à», peu élégante, n'est donc ni à écrire ni à dire au quotidien. Pour être correct il faut préférer les termes: «après», «pour donner suite à», «à la suite de» ou «par suite de».
Postérieurement, ultérieurement. Après, plus tard. Et puis (succession dans le temps) : après cela, au reste, d'ailleurs.
La locution suite à est souvent employée comme formule d'introduction, particulièrement dans la correspondance. Cette formule est parfois critiquée; cependant, tout comme la locution comme suite à, elle est acceptable dans la correspondance commerciale et administrative.
On écrit « suite à » : le français contemporain tolère l'usage de « suite à », notamment en introduction de phrase. Cette locution est le résultat de la contraction de la locution « à la suite de ». L'Académie française déconseille son usage même si celui-ci est fréquent dans la langue commerciale et administrative.
Vous pouvez écrire si vous êtes en recherche d'emploi :
Madame/Monsieur, Je tiens à vous réitérer l'assurance de mon grand intérêt quant au poste de [nom du poste], suite à notre entretien du [date].
Ainsi, on écrit « à la suite de notre conversation téléphonique » au lieu de « suite à notre conversation téléphonique ». « Suite à » peut être accepté à l'oral. La locution « suite à » est le résultat de l'abréviation de l'expression commerciale et administrative qui signifie « à la suite de ».
De ce fait,
pour cette raison, en conséquence.
Définition : une suite (un) est géométrique s'il existe un nombre réel q non nul tel que, pour tout entier naturel n, un+1 = qun. Le réel q est appelé raison de la suite (un). Forme explicite : si la suite (un) est géométrique de raison q et de premier terme u0, alors pour tout entier naturel n, un = u0qn.
« Moi je », « nous on », « personnellement » : il s'agit de formes d'insistance sur l'égo qui sont devenues des tics de langage dans la plupart des discussions. Faire précéder le pronom « je » du pronom tonique « moi » peut être un effet de style.
en conséquence, par conséquent, partant, par suite, d'où.
Dans un autre cas, dans le cas contraire. ➙ sinon.
Avis de l'expert – Bruno Dewaele, champion du monde d'orthographe, professeur agrégé de lettres modernes. On se gardera évidemment de conclure de ce qui précède que, quand la préposition « à » suit, la graphie adéquate est toujours « quant ».
Dans un e-mail professionnel, on utilise cette locution verbale pour informer notre interlocuteur que l'on a bien reçu ce qu'il nous a envoyé. On peut accuser réception d'une facture, d'une candidature ou de tout autre document. Par exemple : J'accuse réception de la facture du mois dernier.
En effet, ces deux mots peuvent également signifier « au courant de » (« mettre quelqu'un au fait de quelque chose ») ou droit au but (« aller droit au fait »). Ce qui nous intéresse ici, c'est le « au fait » qui signifie « à propos » : « Au fait, tu es parti en vacances où, finalement ? »
« En fait » sert aussi à introduire une opposition par rapport à ce qui vient d'être dit. En fait signifie ; dans les faits, en réalité et s'oppose à en théorie, en principe.
- ÉNUMERATION : D'abord , en premier lieu, enfin, ensuite... - ADDITION : Aussi, de même, de plus, encore, et, également... - LIAISON / RÉSUMÉ : Bref, d'ailleurs, donc, ensuite, en somme, en outre , or, par ailleurs, puis... - EXPLICATION : C'est-à-dire, en effet, effectivement, étant donné que, puisque...
En sus (de quelque chose), en plus, en outre : Toucher une prime en sus de son traitement.
En français, le mot «maison» est un de ceux qui disposent du plus grand nombre de synonymes. «Logis», «gîte», «foyer»… Vous l'aurez compris, plus de 50 nuances lexicales permettent de désigner la demeure.
● Je fais suite à
Rien changer ou presque. On pourra en effet conserver le mot «suite» dans notre réponse mais on devra alors l'utiliser de façon plus exhaustive. Pour être correct, on écrira: «comme suite à» ou «pour faire suite à».
L'emploi du nom féminin suite, écrit au singulier, dans l'expression ne pas avoir de suite signifie sans conséquence, sans aboutissement, sans effet.
On écrit, avec suite au singulier : un projet qui n'a pas eu de suite ; des propos sans suite. De suite = sans interruption, d'affilée. Manger douze huîtres de suite ; parler deux heures de suite ; il ne peut pas dire cinq mots de suite sans ajouter « n'est-ce pas ? ». Emploi courant dans tous les registres.