Encourager et complimenter un enfant l'aide à avoir confiance en lui et à maîtriser ses émotions en cas de faiblesse (tristesse, ou peur par exemple). Ainsi donc, lorsque notre enfant a entrepris quelque chose d'inhabituelle, apprenons à le féliciter. Une autre façon aussi de lui dire qu'on lui fait confiance.
Un enfant épanoui a un visage souriant, il rit beaucoup et spontanément. Son sommeil est calme et paisible, il mange bien. Il est curieux de plein de choses et est animé par une belle confiance en lui : il ose aller vers les autres, partir en voyage scolaire sans ses parents…
Le mieux est de reconnaître le comportement en enseignant à l'enfant que tout le monde éprouve des émotions négatives, et en apprenant à l'enfant à faire face à ses émotions de manière constructive. Il est important de laisser les enfants avoir des responsabilités (par exemple, les tâches, les devoirs) sans les gérer.
Modifiez le dialogue dans votre tête. Par exemple, au lieu de penser : « Je ne suis plus capable! », dites-vous plutôt : « Je vais me calmer avant de réagir. » Comptez jusqu'à 10, respirez profondément ou buvez un verre d'eau. Rappelez-vous un moment de bonheur ou de tendresse vécu avec votre enfant.
d'encourager votre enfant à participer à des activités extra-scolaires comme le sport, les arts créatifs ou des réunions entre jeunes qui donnent l'opportunité d'élargir son réseau social. d'organiser des réunions ludiques avec des pairs à l'aise en société, et qui ont les mêmes centres d'intérêt que votre enfant.
Mini-golf, bowling, patinage, c'est toujours une partie de plaisir! Et une grande partie du plaisir est de faire ces activités en famille. Les enfants adorent passer du temps avec les adultes; ils veulent vous voir passer un bon moment en leur compagnie. Les enfants aiment cuisiner avec leurs parents.
Boris Cyrulnik : Un enfant heureux, c'est un enfant qui est à la fois sécurisé et dynamisé. Il ne peut pas être heureux tout le temps, mais, s'il l'est, c'est qu'il a été sécurisé et donc désangoissé.
Être un bon parent, c'est la capacité de se remettre en question, de remettre en question nos interventions. De s'adapter aux nouvelles situations en allant chercher de l'information, en demandant conseil à nos parents, à nos amis, de faire tout ce qu'on peut pour être simplement meilleur la prochaine fois.
Le premier lien d'attachement d'un bébé s'établit généralement avec sa mère, mais le lien qu'il partage avec son père est tout aussi important. Bien que les bébés s'attachent aussi à d'autres adultes qui en prennent soin, les liens avec leurs parents sont les plus importants.
accorder de la tendresse et du toucher (ou du moins un sourire, une attitude aimante si l'ado ne veut pas être touché), faire des choses côte à côte en étant comme “ébloui” par la beauté de la vie de l'ado, passer du temps ensemble (jouer à des jeux de société, faire du sport ou du shopping…).
Jeux de société, jeux créatifs, jeux scientifiques ou encore des jeux de plein air ou des déguisements, tout y est ! Choisissez également un jouet à la mode tel que des Lego ou des jeux vidéo enfant adaptés, et complétez le tout avec un livre jeunesse ou un film pour enfant.
Il est ressorti de l'étude que les enfants préfèrent majoritairement faire des activités simples et gratuites comme jouer dehors avec leurs amis ou aller faire du vélo. Le fait de jouer au parc public ou dans le jardin a été élu activité préférée.
Quelques idées : garder des animaux, tondre des pelouses, désherber des parterres de fleurs, laver des voitures, laver des vitres, ranger un garage, porter les courses des voisins anciens ou porter les poubelles des voisins pour un petit forfait hebdomadaire.
« Certains enfants ont un déficit d'intelligence sociale, c'est-à-dire qu'ils ont du mal à créer des interactions avec les autres, explique Stéphane Clerget, pédopsychiatre. Cette capacité à interagir avec autrui est souvent transmise par les parents.
Souvent, lorsqu'un enfant n'a pas d'amis, c'est son estime de soi qui est en cause. Déjà faible à l'origine, elle s'amenuise de plus en plus à mesure que l'enfant essuie des rejets. Il s'agit d'un véritable cercle vicieux. C'est pourquoi il peut être très bénéfique de travailler sur l'estime de soi de l'enfant.
La première condition à remplir pour être populaire, c'est d'être connu(e) bien au-delà des murs de sa classe. Pas besoin de se présenter aux nouveaux venus : ils ont entendu parler des populaires dès leur arrivée au collège. D'ailleurs, ils les ont repérés très vite grâce à la grappe d'amis qui les suivent pas à pas.
Je répète souvent aux parents qui me consultent : les cris sont souvent générés par excès de stress. Ils expriment un besoin d'être entendu pour stopper le processus. On crie parce qu'on vit une situation d'urgence qu'on a du mal à gérer.