Discussion - L'outil de dépistage WAST en version française est valide et bien accepté pour identifier les violences conjugales en pratique courante. Il peut aider les professionnels de santé à repérer de manière précoce les femmes subissant des violences et ainsi optimiser leur prise en charge.
Un comportement grossier
La grossièreté est une caractéristique chez quelqu'un de violent. Il ne se montre pas seulement grossier avec vous, il le fait également avec vos amis mais aussi avec vos parents, ou tout simplement avec les passants, et se comporte grossièrement en public, parfois surtout après avoir bu.
La violence, l'agressivité sont les produits de la frustration de nos besoins, de frustrations refoulées. La violence est toujours le résultat de quelque chose qui n'a pas été entendu chez quelqu'un et qui veut se faire entendre.
Les abuseurs utilisent toutes sortes de tactiques pour manipuler les enfants (argent, cadeaux, jeux, etc.), mais le plus souvent, ils cherchent à placer l'enfant en situation de vulnérabilité et à trouver des moyens légitimes de passer du temps seul à seul avec lui.
Rejet et humiliation : faible estime de soi, colère/rage, culpabilité, manque de régulation affective… Ces personnes ont tendance à être violentes et à maltraiter sur le plan émotionnel. Attachement insécure: beaucoup de jalousie et d'envie de tout contrôler.
L'auto-victimisation est un processus psychique ou l'individu se positionne dans une place de victime. Victime de son entourage, victime de sa hiérarchie, de ses collègues… Elle souffre comme jamais auparavant n'a souffert dans ce monde. En effet, ses problèmes sont plus graves et plus urgents que ceux des autres.
Pour faire face à une attitude agressive, il s'agit, tout d'abord, de ne pas se laisser envahir par l'agressivité de l'autre. C'est avant tout rester soi-même, « rester, ou revenir chez soi », pour mettre l'autre à distance. Au-delà des techniques, il s'agit d'une posture, d'un savoir-être.
La violence verbale peut s'exprimer de différentes manières : cris de colère. ton agressif, insultes. injonctions autoritaires.
Dans 47 % des cas, c'est le conjoint ou l'ex-conjoint qui est l'auteur des faits. Suite aux viols ou tentatives de viol qu'elles ont subi, seules 12 % des victimes ont porté plainte (qu'elles aient ensuite maintenu ou retiré cette plainte).
En tant que victime de violences conjugales, vous pouvez contacter les organismes suivants : 3919, service spécialisé dans les violences faites aux femmes. Association du réseau France Victimes, via le numéro 116 006 Victimes. Centre d'information des droits des femmes.
Des numéros d'urgence (17) ou d'écoute (3919) sont aussi accessibles gratuitement 24h/24 et 7j/7. Enfin, un soutien est proposé par de nombreuses associations d'aide aux victimes. Chaque palais de justice dispose aujourd'hui d'un bureau d'aide aux victimes, géré par une de ces associations.
Certains agresseurs savent lire le comportement humain de façon très précise. Quatre éléments intéressent l'agresseur: Le lieu et l'environnement immédiat (Présence de lumière, site anxiogène, qualité des infrastructures,…). Les lieux publics sont souvent austères.
Choisissez le bon moment et le bon endroit pour parler avec l'agresseur. Discutez avec lui quand il est calme et offrez-lui de l'aide. Exprimez-vous de façon directe et claire concernant les comportements que vous avez observés et vos inquiétudes. Rappelez-lui que vous vous souciez de lui.
Le test de paternité est un test génétique pour déterminer si le père présumé est bien le père biologique de l'enfant. Les participants à un test ADN envoient un prélèvement biologique, généralement un échantillon salivaire. Le laboratoire envoie le résultat par email sous 3 à 5 jours.
Le prédateur agit certes de manière brutale et sans égard envers sa victime ; cela joue un rôle incontestable sur la psychologie de celle-ci, la blessant. Le prédateur fait peur ou joue sur la peur qu'il provoque en misant sur l'idée que l'autre ne se défendra pas craignant que, s'il réagit, ce soit pire.
Il peut reproduire des scènes lors de ses jeux (poupées par exemple) Il ne prend pas plaisir aux jeux et aux activités physiques. Il a des problèmes d'alimentation, de défécation, des infections urinaires ou des douleurs lorsqu'il court ou veut s'asseoir.
La violence peut prendre les formes suivantes : la violence physique, notamment les voies de fait et la séquestration. la violence sexuelle, notamment les contacts sexuels sans consentement. la violence psychologique, notamment les menaces et l'intimidation.
Des outils ludiques accompagnent les séances
La diffusion de vidéos montrant d'autres jeunes qui s'expriment aide également à lancer les débats. D'autres vidéos de sensibilisation, des extraits de reportage, des jeux sur l'estime de soi, permettent d'alimenter les échanges.
Sur les victimes
Problèmes de santé chroniques : troubles du sommeil, problèmes gastro-intestinaux, perte d'appétit, maux de tête, maux de dos. Mortalité. Troubles psychologiques : perte de l'estime de soi, dépression, stress, anxiété, attaques de panique, désespoir, tentatives de suicide.