Ne soulignez pas des lignes entières, mais exactement le mot ou l'expression utile. Appuyez-vous sur le texte : soulignez en couleur les mots, les expressions du texte qui permettent de répondre. Ils vous serviront de preuves de ce que vous affirmez (pour répondre à la consigne « justifiez »).
La réponse à ces questions peut s'appuyer sur l'interprétation du contexte (la date, l'auteur, le titre). "Dreyfus est innocent, je le jure. J'y engage ma vie, j'y engage mon honneur.
Vous pouvez commencer en collectant des informations à propos du sujet de votre analyse et en définissant les questions auxquelles va répondre votre analyse. Une fois que vous avez souligné les arguments principaux, vous devez trouver des preuves spécifiques pour les étayer.
Répondre par une question :
La réponse par une question est un moyen de creuser, de repousser la réponse ou de botter en touche. Exemple de contre question : “Et vous même, qu'en pensez-vous?”, “”Pourquoi me posez-vous cette question ?”, “qu'attendez)-vous de moi en me posant cette question ?”
(point, point d'interrogation, point d'exclamation). Tu feras des réponses rédigées. Il faut donc au moins un sujet et un verbe conjugué dans ta phrase. Tu feras des phrases courtes et simples : n'utilise pas plus de trois verbes conjugués par phrase et emploie régulièrement le point.
Les justifications doivent être élaborées et doivent présenter des éléments explicites et implicites du texte. Plusieurs interprétations peuvent être appropriées, sauf si elles peuvent être contredites par le texte.
Justifier : quand on vous demande de justifier, c'est-à-dire de citer le texte, il faut citer entre guillemets et il faut citer le moins possible. Il va falloir que vous trouviez la bonne citation. Il ne faut pas citer deux ou trois phrases complètes, cela ne servirait à rien.
Un résumé n'est ni une critique, ni une analyse du texte, pas plus qu'il n'est un mémento ou une fiche personnelle sur le texte. Cela veut dire qu'il est rédigé dans l'esprit de l'auteur, et ne fait intervenir aucune idée personnelle, ni commentaire sur les arguments ou idées présentées.
Pour réfuter une thèse, il convient de faire la liste des arguments en faveur de la thèse adverse et de trouver des contre-arguments. Pour étayer une thèse, il convient au contraire de la défendre et de présenter les arguments de la partie adverse pour mieux les rejeter.
Après avoir exposé l'idée principale, le paragraphe devrait introduire, définir, et expliciter une preuve (avec un exemple). Le processus peut ensuite se répéter, avec une nouvelle preuve venant étayer l'idée principale, ou bien l'on conclut le paragraphe en une ou deux phrases.
On emploie parfois des termes ou des expressions pour signaler l'introduction d'un exemple : par exemple, ainsi, c'est notamment le cas de, on peut illustrer ce propos par, on peut mentionner, on peut citer I'exemple de, comme en temoigne, comme on peut le voir dans, on peut signaler, comme le signale, comme l'indique…
On peut les introduire en utilisant des marqueurs de relation exprimant la cause comme parce que, puisque, car, étant donné que, à cause de, etc. Les raisons permettent de répondre à la question Pourquoi est-ce que j'affirme cela?
À soigner au brouillon, avec trois éléments obligatoires : une présentation du sujet, situant spatialement et chronologiquement (qu'il faut justifier), parfois commencée par une courte histoire ou une citation pertinente (qu'il faut expliquer) ; l'énoncé de la problématique ; l'annonce du plan.
Vous pouvez réaliser soit : un schéma, en utilisant un fond de carte schématique (géométrique par exemple), permettant de localiser ou d'illustrer simplement un phénomène ; un croquis avec une légende structurée, et placé en fin de copie permettant de faire une synthèse sur le sujet.
Pour cela, il faut d'abord se poser soi-même des questions sur le texte. Apre s avoir fait une lecture personnelle du texte et y avoir re fle chi, il est important de mettre en commun avec les autres ce qu'on a compris du texte, ce qu'on a aime , ce qui nous a surpris etc.
La question d'interprétation littéraire est une sorte de mini commentaire de texte qui repose sur une explication des procédés utilisés par l'auteur pour exprimer ce qu'il souhaite. Le principe est de répondre à la question posée en lien avec le texte littéraire proposé lors de l'épreuve.
Lorsqu'on vous pose une question difficile, je vous recommande de commencer par paraphraser la question avant de répondre. Cette paraphrase confirme que vous avez bien entendu la question, valide le demandeur, vous donne le temps de réfléchir et vous permet de recadrer la question pour faciliter la réponse.
Garde autant que possible ton sourire et ton regard vers la personne qui t'agresse. Si l'envie de répondre s'impose à toi ne le fait qu'à partir d'un détail inspirant : l'expression du visage de la personne, sa voix, la tournure de la phrase, le ton employé…
Les techniques à privilégier : commencer par respirer et prendre le temps de répondre. Quelques secondes de silence permettent de réfléchir, de solliciter sa mémoire et son expérience pour y recueillir des éléments de réponse. Il peut être utile de faire préciser ou reformuler la question afin de cerner son périmètre.