Amarrée sous la bouée, sur le haut de l'émerillon terminant la chaine et raccordant la bouée à l'aide d'une
Pour bien s'amarrer sur une bouée, il faut 2 lignes indépendantes. Si l'une cède, l'autre peut rester en place. Dans le cas d'une bouée à tige, il faut impérativement s'amarrer directement sur la chaine. Un émerillon peut aider à limiter le vrillage et donc permet de faire durer plus longtemps les cordages.
Nous réaliserons un corps mort en béton et on considérera un poids équivalent à 1/3 du poids du bateau. Concernant la forme à adopter, partez sur une base parallélépipède de hauteur inférieure à la base, afin d'assurer une bonne stabilité et éviter un retournement du corps mort.
Toutes les bactéries présentes naturellement dans le corps vont produire des gaz qui vont faire gonfler l'abdomen. "Ce phénomène va faire déplacer le sang qui stagnait dans les vaisseaux : c'est ce qu'on appelle la circulation posthume.
Il a indiqué qu'au moment du décès, les poumons ne refroidissent plus le sang, ce qui provoque une augmentation de la température corporelle. Cela provoque une augmentation de la transpiration qui pourrait facilement expliquer la perte de poids observée.
Les amarres tressées ont une élasticité plus faible qu'une construction toronnée mais sont plus résistante à la rupture et à l'abrasion. Elles sont aussi plus souples, moins volumineuses une fois lovées et donc idéales pour voyager de port en port.
La pendille n'est pas une amarre; c'est un câblot plombé (pour tomber au fond), peu solide, qui sert de rappel de relevage à l'amarre principale frappée sur la chaîne mère ou la chaîne fille. Pour ce faire on rentre le bateau en marche arrière et l'on frappe long provisoirement l'amarre arrière au vent.
Sur un voilier, installer une boule de mouillage se fait en la hissant devant le mât (souvent suspendue par une drisse sous l'étai). Mais sur un bateau à moteur, c'est beaucoup plus compliqué. Il faudra alors prévoir en fonction du bateau, une solution pour que la boule soit établie sur l'avant et visible.
Il arrive qu'un chenal se divise en 2. Dans ce cas, le chenal préféré est celui dont la couleur se trouve au centre de la marque. Dans notre exemple (zone de balisage A), en venant de la mer, on suivra le chenal principal sur la gauche (grosse flèche). La petite flèche indique un chenal secondaire.
Au large : on passe à proximité de la bouée, indifféremment à droite ou à gauche. Dans un chenal : cette bouée délimite l'axe du chenal. Il faut alors la laisser sur bâbord. La nuit : les bouées d'eaux saines sont parfois dotées d'un feu blanc, d'un rythme quelconque autre que scintillant ou à deux éclats.
En Europe, les bouées bâbord ont la forme d'un cylindre et sont de couleur rouge. En venant du large, il faut les laisser sur bâbord (gauche), c'est-à-dire qu'on passe à tribord (droite) de la balise. Les bouées tribord ont la forme d'un cône et sont de couleur verte.
Lever l'ancre
Avant d'avancer plus vite, assurez-vous d'avoir bien sécurisé l'ancre. Si votre ancre se coince, réduisez la longueur de la chaîne et positionnez la proue du bateau juste au-dessus de l'ancre. Avancez tout doucement et essayez de la lever.
Une bouée d'amarrage sert à amarrer ou à immobiliser un navire, un hydravion, etc. Une bouée d'amarrage est blanche et orange, l'orange couvrant le tiers supérieur de la bouée au-dessus de la ligne de flottaison.
Il vous faudra pour cela mouiller la première ancre, reculer sur une vingtaine de mètres, mouiller la seconde et filer la longueur désirée. Attention ici à ne pas emmêler vos deux lignes.
On frappe (attache) 2 amarres, les pointes arrières, sur les 2 taquets arrières (en rouge sur le schéma). On ramène ces 2 amarres à l'arrière, en les passants par l'extérieur pour que 2 équipiers descendent sur le ponton par l'arrière pour aller frapper ces pointes arrières sur 2 taquets sur le ponton.
L'idéal est de faire tourner le moteur au ralenti surtout si vous pénétrez dans un port de plaisance déjà plein. Lorsque vous arrivez à environ 30m de votre place de port, vous pouvez mettre votre moteur au point mort et avancer lentement grâce à l'élan qu'il vous reste. Mettez les pare-battage et les amarres en place.
Ces zones de mouillage peuvent être en face d'une plage, au bord d'une île par exemple. On appelle mouillage un corps mort, bouée ou coffre, qui permet au navire de s'amarrer et donc de s'immobiliser sur l'eau. L'amarrage aux bouées de mouillage peut être réglementé dans certaines zones.
Pour la longueur, c'est assez simple : il suffit de prendre deux amarres de la taille de votre bateau multiplié par 1,5 et deux amarres de la longueur de votre bateau. Pour un bateau de 14 m, il vous faudra donc deux amarres de 21 m de long et deux amarres de 14 m.
Les conditions de votre mouillage orienteront votre choix d'ancre : la durée, le type des fonds marins, les conditions de mer et de vent, les courants. Il est recommandé d'avoir systématiquement à bord deux modèles d'ancre différents.
Cette expression est née au cours du XVIIIe siècle pour désigner le fait de détacher un bateau de son point d'ancrage. Par extension, elle signifie le fait de se lancer.
Le processus d'apparition des lividités cadavériques débute dès la mort de l'individu. En effet : La pompe cardiaque fait mouvoir le sang dans l'organisme et son arrêt en entraîne la stagnation. Après la mort, des ouvertures se forment dans la paroi des vaisseaux sanguins, constituées de cellules endothéliales.
Elément de datation : Le refroidissement du cadavre
La température du corps humain est d'à peu près 37°C. Après la mort, elle baisse progressivement jusqu'à atteindre la température ambiante, au bout de 24h.
Comme il n'y a plus de circulation sanguine ni d'échanges gazeux, le corps ne peut plus conserver la température d'environ 37° Celsius qu'il avait du vivant de la personne. Celui-ci prend donc, comme toute masse inanimée, la température de la pièce.