Le Némès est la coiffe la plus emblématique des pharaons qui la porteront de l'Ancien Empire jusqu'à la période ptolémaïque.
Le sceptre Ouas, est un attribut des dieux égyptiens. Mais quelquefois le pharaon l'utilise. Le sceptre ouas se présente comme un bâton dont l'extrémité inférieure est fourchue. À l'origine ce bâton est destiné à capturer les serpents pour extraire leur venin.
Dans l'Égypte antique, la barbe postiche (dw3-wr, lu doua-our) est l'un des attributs que partage le pharaon, qu'il soit un homme ou une femme, avec les dieux et qui le différencie du commun des mortels.
La couronne blanche symbolise le pouvoir du pharaon sur la Haute-Egypte. La couronne rouge symbolise le pouvoir du pharaon sur la Basse-Egypte. La double couronne (le pschent) symbolise le pouvoir du pharaon sur les deux Terres (Basse et Haute-Egypte). L'uræus et le vautour : les deux protecteurs du pharaon.
Trois attributs sont indiqués : en haut, (1) l'uraeus ou cobra, puis, (2) le némès coiffe royale et (3) la barbe postiche. A droite de la tête, on découvre deux insignes royaux croisés : (4) le fléau, (5) le bâton de berger. Le pharaon les portait croisés sur sa poitrine.
L'ultime représentant de l'institution pharaonique proprement dite est le dernier Lagide, Ptolémée XV (dit Césarion), fils de Jules César et de Cléopâtre.
Les dieux tiennent également ces deux signes en mains car ils sont une incarnation d'une force créatrice issue de l'astre solaire. Ils ont la puissance (Ouas) et sont éternels (ânkh). Le pharaon Séthi Ier, le sceptre ouas dans la main droite et la croix ânkh dans la main gauche.
Le lion et le taureau sont deux animaux qui symbolisent la férocité.
Titre donné aux souverains absolus de l'Égypte ancienne.
Dans la Sourate 10, v. 87-92, Pharaon voyant venir la mort par noyade se soumet in-extremis à la puissance véritable de Dieu. Mais son repentir de mourant ne le sauva pas car Dieu jugea sa conversion trop tardive.
Une double nature. Le pharaon est d'abord un homme. Il est généralement le fils du roi qui l'a précédé sur le trône. Si le souverain n'a pas de fils, il choisit pour lui succéder un haut dignitaire dont il apprécie les compétences.
Le vautour était le symbole de la Haute-Égypte. Les pharaons portaient l'uraeus (cobra) et la tête de vautour sur le front pour symboliser la protection royale. La déesse Nekhbet était aussi représentée sous l'aspect d'un vautour.
Le bâton de Moïse est un symbole religieux juif, chrétien et musulman. Dans la version avec le serpent d'airain, il est nommé Nehushtan.
Les emblèmes du pouvoir royal (I) : les couronnes - l'uræus - le vautour. Les signes qui permettent de reconnaître le pharaon sont multiples. Comme tout roi, le pharaon se reconnaît à sa couronne royale ou plutôt à ses couronnes car elles sont nombreuses.
Pharaon.ne ? "Pharaon ne se décline pas au féminin, explique Philip Kayne, car le principe est masculin.
Longtemps oubliées des archéologues, ces nécropoles livrent aujourd'hui les vestiges d'une des plus grandes civilisations que la terre ait portée. Les pharaon et reine noirs les plus connus se nommaient Taharqa et Kandake.
Ramsès II, le pharaon le plus célèbre de l'Histoire, a lui aussi connu cette destinée.
Le chat, un animal vénéré par toutes les classes sociales
La considération que l'on portait au chat dans l'Egypte antique était bien différentes de celle que l'on accordait à la plupart des autres animaux. Plus qu'un fidèle compagnon, il était le protecteur et même une divine incarnation.
Au milieu des restes innombrables de chats momifiés gisait un lion.
Chez les égyptiens le totem représente un ancêtre ou un Dieu (Horus-Faucon, Anubis-Chacal, Apis Bull-Taureau, Thot-Ibis etc...) . Il est l'élément bannière qui retrace l'historique d'un même peuple, le lien invisible dans lequel il puise sa force vitale.
Le tyet ou nœud d'Isis ou sang d'Isis, en hiéroglyphes, est un symbole sacré égyptien associé à la déesse Isis. Il ressemble à un ânkh, ou à un signe de croix de vie dont la barre horizontale de chaque côté est retournée vers le bas.
Ce geste de repli signifie qu'elle est sur la défensive, qu'elle n'est pas très à l'aise. Peut être est-elle en train de se rendre compte que vous lui racontez des énormités ou alors plus simplement que vous ne lui plaisez pas tant que ça... Ce geste fait office de barrière.
Il peut tout à fait être un signe de politesse qui indique que l'autre vous écoute, qu'il sait que ce n'est pas à lui de parler." Inutile de vous agacer si votre interlocuteur vous semble hermétique à vos propos car il a les bras croisés, il est peut être simplement réservé mais attentif à ce que vous dites.