L'alcoolodépendance (ou alcoolisme) est une addiction à l'alcool qui a des conséquences néfastes sur la santé, la vie sociale et la vie affective. En France, on estime qu'environ 1,5 millions de personnes sont alcoolodépendantes et que 2,5 millions de personnes ont une consommation à risque.
Que sont les démences alcooliques ? La plus connue est le syndrome de Wernicke-Korsakoff (SWK), une maladie neurodégénérative causée par une grave carence en vitamine B1 qui endommage certaines régions du cerveau.
Symptômes. "Le syndrome de Korsakoff se manifeste par des troubles de la mémoire avec une amnésie dite " antérograde ", caractérisée par l'impossibilité de former de nouveaux souvenirs. Le malade oublie à mesure ce qu'on vient de lui dire ou ce qu'il a fait quelques instants plus tôt.
L'alcoolisme se lit sur le visage d'une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes.
Boire une unité d'alcool de manière quotidienne ferait vieillir notre cerveau de six mois, selon les scientifiques. Ce vieillissement prématuré serait de l'ordre de deux ans, avec une consommation de deux unités quotidiennes.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Neuropathie alcoolique : une des complications de la consommation excessive d'alcool. Cette affection est favorisée par la prise de tabac.
Une consommation régulière et excessive d'alcool peut être responsable de troubles cognitifs : altération de la mémoire, des capacités de planification, d'attention et de prise de décisions. Ces troubles s'observent notamment chez les personnes souffrant de carences nutritionnelles.
Les troubles de la mémoire en général
Une consommation excessive d'alcool augmente les risques de troubles de la mémoire en général. Cela veut dire que cette consommation est à la fois dangereuse pour la mémoire à court terme et à long terme.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
L'encourager à se confier à vous. La première chose à faire est d'insister pour que la personne vous parle et se confie sur sa situation et sur ses sentiments négatifs. À partir de là, écoutez-la sans la juger en lui faisant sentir que vous la comprenez et que vous êtes là pour la supporter, quoi qu'il puisse arriver.
L'alcoolisme chronique est le résultat d'une consommation régulière de boissons alcoolisées en quantité importante. Même si les doses ingurgitées ne sont pas forcément démesurées, elles dépassent le seuil recommandé par l'OMS, à savoir : Pour un homme : plus de 3 verres par jour.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
Il a été dit que l'alcoolisme ne peut être considéré comme une maladie mentale. Il n'en demeure pas moins qu'il existe une clinique de l'alcoolisme, avec ses classifications, ses typologies multidimensionnelles, très comparables à celles des pathologies mentales caractérisées…
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Une fois passé dans le sang, l'alcool se répand dans toutes les parties de l'organisme et se diffuse dans tous les tissus contenant de l'eau. C'est ainsi que l'alcool parvient rapidement aux organes très vascularisés comme le cerveau, les poumons et le foie.
Une sensation de «paralysie» des pieds ou des mains, une sensation de «léthargie» au niveau des membres, des picotements douloureux, semblables à des aiguilles, une sensation de brûlure. Un affaiblissement musculaire au niveau des bras et des jambes, accompagné parfois de crampes.
un désir de consommer des boissons alcoolisées puissant, compulsif, irrésistible. le besoin de boire toujours plus pour ressentir l'ivresse. l'apparition de symptômes de manque lors d'arrêt de la consommation. une consommation persistante malgré la survenue de problèmes liés à la consommation d'alcool.
Le sevrage alcoolique se manifeste comme un continuum, allant de tremblements à des crises convulsives, des hallucinations et à une instabilité végétative mettant en jeu le pronostic vital en cas de sevrage sévère (delirium tremens).
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
Transpiration excessive, tremblements, perte d'équilibre sont les principaux symptômes. L'irritation, des actes violents ou encore, les delirium tremens sont les manifestations psychiques qui peuvent conduire au déclic".
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.