Victime de phobie téléphonique ou de “téléphonophobie”, Astrid, comme beaucoup d'autres personnes, ressent une peur panique à l'idée même de passer ou de recevoir un appel. Un phénomène peu décrypté par les experts mais qui toucherait particulièrement la fameuse génération des millenials et des Gen-Z.
Le mot téléphonophobie, imprononçable et un peu barbare, désigne « une peur ou une angoisse de passer ou de prendre des appels » indique Wikipédia. C'est une phobie très répandue aujourd'hui alors que 95% des Français disposent d'un téléphone portable.
Dans ce cas, la peur du téléphone peut témoigner d'une phobie sociale ou d'une dépression. Elle peut venir d'une anxiété généralisée ou d'un trauma, survenu il y a longtemps, comme une mauvaise nouvelle apprise au téléphone.
En temps normal, une large partie du langage passe par le corps, une donnée qui disparaît lors d'échanges uniquement vocaux. Il est donc impossible de savoir au téléphone ce que l'autre personne pense réellement, ce qui peut provoquer une source de stress.
Selon le Larousse en ligne, un nomophobe est «quelqu'un qui ne peut se passer de son téléphone portable et éprouve une peur excessive à l'idée d'en être séparé ou de ne pouvoir s'en servir».
Phobie d'être oublié ou ignoré.
nyctophobie , subst. fém., pathol. ,,Crainte morbide de la nuit ou de l'obscurité`` (Méd.
Ce terme décrit une nouvelle addiction comportementale impliquant le smartphone. Le nomophobe ressent une phobie, c'est à dire une peur excessive, lorsqu'il est séparé de son téléphone portable ou bien lorsqu'il ne peut avoir accès à son utilisation.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
L'anxiété sociale touche environ 7 % de la population. L'anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à de situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres.
Les principaux signaux d'alerte de l'anxiété sociale sont les suivants : les signes physiologiques propres à l'angoisse lors d'interactions sociales (palpitations, jambes en coton, plexus serré, tremblements…) l'évitement systématique de relations sociales au point de ne plus voir ses amis.
Le plus important est de rester soi-même et de sourire. Cela peut paraître inutile, sachant que la personne ne nous voit pas ! Détrompez-vous, le timbre de voix change en fonction de votre langage corporel. En souriant, vous aurez une voix plus joyeuse que si vous ne souriez pas.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Les «bonnes raisons» de ne pas répondre
Ne pas répondre à un message peut également être un moyen de signifier son «ennui», ou sa «domination dans une relation, en prétendant être simplement trop occupé-e pour répondre», pointe très justement le site.
Une culpabilité intense peut aussi provoquer la perte de confiance en soi tout comme certaines pathologies psychiatriques qui vont impacter l'estime individuelle en plus de la confiance : les troubles dépressifs, les états anxieux (notamment l'anxiété sociale) ou encore les phobies, en particulier quand elles sont ...
Diagnostic de nomophobie : une souffrance ressentie
Les individus nomophobes tendent à vérifier de façon excessive leurs textos, ou les réseaux sociaux. Ils présentent des difficultés à s'impliquer dans les tâches quotidiennes, craignant la perte de connexion et d'accès à l'information.
Migraine, perte de mémoire, fatigue, dépression, voire cancer et apparition précoce de la maladie d'Alzheimer... Voilà quelques-uns des symptômes et des effets secondaires que certains scientifiques attribuent à une utilisation intensive du "portable".
Qu'est-ce que la cyberdépendance? On définit l'utilisation problématique d'Internet et des nouvelles technologies comme étant «une utilisation des technologies ou des moyens de communication offerts par Internet qui engendre des difficultés chez l'individu» (Sergerie, 2005).
(Médecine) Peur irraisonnée des requins.
L'ochlophobie (du grec ancien ὄχλος / óchlos : la foule) est citée parmi les phobies complexes. L'ochlophobie désigne une peur qui se manifeste dans les endroits où il y a beaucoup de personnes. Il s'agit donc d'une « peur de la foule », qui peut être distinguée de l'agoraphobie ou de la claustrophobie.
La musophobie ou la peur des souris et des rats.