Personne qui mange avec excès et salement. ➙ glouton, goulu. Quel goinfre ! adjectif Il est très goinfre.
gourmand, gourmande
Qui aime manger en quantité les bonnes choses : Être gourmand comme un chat. 2. Qui est amateur, friand de quelque chose : Être gourmand de fruits.
L'hyperphagie, ou hyperphagie boulimique, est un trouble du comportement alimentaire (TCA) qui se caractérise par des crises alimentaires récurrentes.
Les symptômes de la boulimie et de l'hyperphagie boulimique s'installent de manière insidieuse durant un temps plus ou moins long, généralement depuis l'adolescence et passent souvent inaperçus. Cependant, il est important de les repérer rapidement afin d'assurer une prise en charge la plus précoce possible.
La polyphagie, l'hyperphagie ou la suralimentation est un symptôme caractérisé par une faim excessive avec une absence de sensation de satiété, traduisant un excès dans le comportement alimentaire.
Personne qui mange beaucoup. Synonyme : goulu, gourmand.
Question d'origine : Comment s'appelle une personne qui mange beaucoup ? Cela peut être de l'hyperfagie, compulsions alimentaires. Un goinfre, ou un glouton, ou simplement un gros mangeur.
L'alimentation émotionnelle, c'est quoi ? Stress, euphorie, tristesse… Les émotions ont le pouvoir de provoquer des sensations de faim même si le corps n'a pas besoin de nourriture. Cette faim émotionnelle se distingue de la faim physiologique.
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont caractérisés par des comportements alimentaires différents de ceux habituellement adoptés par les personnes vivant dans le même environnement. Ces troubles sont importants et durables et ont des répercussions psychologiques et physiques.
L'envie de manger est souvent provoquée par de multiples causes : des émotions négatives notamment. On parle de faim « émotionnelle », qui nous incite à avaler tout ce que l'on a à proximité pour compenser un manque d'affection, un vide, nos angoisses, l'ennui.
Les aliments riches en protéines, tels que la viande maigre, le poisson, les œufs, le tofu et les produits laitiers faibles en gras, peuvent aider à supprimer la faim et à maintenir la sensation de satiété plus longtemps après les repas.
Manger la nuit dérègle le métabolisme
Les scientifiques ont donc nourri, avec le même repas, qui reproduit un régime alimentaire occidental de « cafétéria » riche en gras et en glucides, un groupe de souris le jour, contrairement à leur horloge biologique, et un deuxième la nuit.
Penchons-nous sur l'étymologie du terme “hyporexie” pour en comprendre la définition. Le nom a été créé à partir du préfixe en grec ancien “hypo”, signifiant “sous, en dessous” associé à “orexis”, relatif à l'appétit. L'hyporexie désigne donc la diminution de l'appétit vécue par une personne.
L'anorexie mentale
La personne atteinte d'anorexie mentale est terrifiée à l'idée de manger et d'engraisser, et ces inquiétudes l'obsèdent. Habituellement, elle diminue son alimentation pour maigrir. Parfois, elle fait de l'exercice ou se fait vomir après les repas pour maîtriser son poids.
Avidité. Caractère, défaut de celui qui est gourmand. Fait de manger ou d'avoir envie de manger plus que de raison, plus que de besoin. Friandise, gâterie, confiserie, douceur, petit plat.
La sévérité de la boulimie est variable. L'hyperphagie boulimique est plus fréquente (3 à 5 % de la population). Elle touche presque autant les hommes que les femmes et elle est plus souvent diagnostiquée à l'âge adulte, mais il existe des formes précoces souvent plus sévères.
Il est plus fréquent chez les enfants ayant un handicap intellectuel sévère. Par convention, le pica n'est pas diagnostiqué chez les enfants de moins de 2 ans, car certaines de ces conduites peuvent faire partie du développement normal.
Mais, lorsqu'une relation inhabituelle à la nourriture associée à une souffrance psychique s'installe durablement et qu'il y a des conséquences pour la santé, on parle de troubles des conduites alimentaires. Les plus fréquents sont l'anorexie mentale, la boulimie et l'hyperphagie boulimique.
« Le stress chronique entraîne également une suractivation de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS), ce qui peut se traduire par une augmentation chronique du cortisol qui accroît l'appétit et l'envie de manger », explique Kimberly Smith.
Généralement, la boulimie prend racine dans des troubles psychologiques, comme l'anxiété ou la dépression. L'hyperphagie boulimique peut également être liée à un mal-être mental, mais il s'agit également d'habitudes alimentaires bien ancrées.
Après un repas, vous sentez un inconfort au niveau de l'abdomen; Vous terminez souvent ou toujours vos assiettes; Suite à un repas, vous ne pourriez pas aller vous entraîner car vous vous sentez un peu trop lourd(e); Il vous arrive régulièrement d'être affamé(e) avant un repas (et donc de manger rapidement et trop);
La capacité de certaines personnes à manger beaucoup sans prendre de poids est principalement due à un métabolisme rapide, à des facteurs génétiques, à un niveau d'activité physique élevé et à des choix alimentaires spécifiques.
Bouffer, c'est se gaver, bâfrer, s'empiffrer, se goinfrer ; c'est, selon son étymologie, se faire gonfler (bouffer) les joues tant on emplit sa bouche de nourriture. Manger, c'est se nourrir, déguster, apprécier, goûter.
Enfin, la grande faim rend plus irritable et il y a vraiment des signes d'hypoglycémie (pâleur, tremblement, sueur, vertige, sensation de faiblesse, etc.). Pour les petites et moyennes faims, c'est plus supportable, le degré d'irritabilité est plus faible.