Le mot anorexie désigne un manque d'appétit. Le cas le plus courant de cette affection est un trouble de l'alimentation, l'anorexie mentale. Ce trouble est différent de la perte d'appétit due au stade avancé d'une maladie, qu'on appelle aussi anorexie.
Pourtant, les adeptes du « respirianisme » (aussi appellé pranisme ou inédie) existent. Les plus orthodoxes d'entre eux jurent ne plus ressentir de sensation de faim et n'avoir plus mangé depuis près de 10, voire 20 ans tout en étant en parfaite santé mentale et physique.
L'anorexie est le premier TCA à avoir été décrit et reconnu. On parle d'anorexie mentale, ou nerveuse.
La perte d'appétit (ou anorexie) correspond à la disparition de la sensation de faim.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. »
Le vocable technique pour nommer la réaction de peur d'avaler est celui de phagophobie. La phagophobie est très rare, mais rares sont les cas qui ont été signalés et qui mettent la vie du malade en jeu. La raison en est que ceux qui craignent d'avaler se privent de repas, de boissons et de comprimés.
Le pica est le fait de manger de manière persistante des matériaux non nutritifs, non alimentaires pendant ≥ 1 mois lorsque cela ne correspond pas au stade de développement (p. ex., le pica n'est pas diagnostiqué chez les enfants de < 2 ans) et lorsqu'elle ne fait pas partie d'une tradition culturelle (p.
Le refus de s'alimenter peut être un symptôme d'un manque de goût de vivre. Par le refus de s'alimenter, la personne peut marquer un désintéressement général, plus ou moins conscient, à tout ce qui la maintiendrait en vie.
➙ glouton, goulu. Quel goinfre !
Avec une diète de moins de trois jours, il y aura bien une perte de poids, mais elle sera plutôt faible. Si le jeûne dure une à deux semaines, comme certains le préconisent, vous allez effectivement pouvoir perdre plusieurs kilos. Mais ce genre de pratique n'est pas sans conséquences.
Une infection virale ou bactérienne
Les infections virales et bactériennes, y compris les maladies comme la gastro-entérite aigue, la grippe et les infections urinaires, sont une cause fréquente de perte d'appétit.
Quand on ne mange plus, les vitamines baissent mais ce ne sont pas des pertes critiques. Après 24 heures de jeûne, les stocks de glucose (glycogen) sont épuisés. Puis, pendant les dix jours qui suivent, l'organisme s'attaque à ses réserves protéiques, issues prioritairement des muscles.
Classiquement on applique la règle de 3. On dit que l'on peut survivre 30 jours sans manger, 3 jours sans boire et 3 minutes sans respirer.
La potomanie se caractérise par un « besoin maladif de boire », résumait le médecin Michel Cymes dans une chronique diffusée sur la radio RTL au mois de juillet 2020. Ce trouble « peut conduire à absorber 5, 6, 7, 8, 10, 15 litres d'eau, voire plus, par jour », décrivait-il.
En général, suite à l'ingestion de ces produits, on observe tout d'abord un effet irritatif sur les muqueuses digestives, suivi de nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhées et la formation de mousse dans l'estomac.
La maladie de Pica est un trouble de l'alimentation peu connu caractérisé par le besoin irrépressible de consommer des substances non comestibles comme du papier, de la terre ou encore du savon.
La néophobie alimentaire c'est la réticence et/ou le rejet à manger des aliments nouveaux. Cela va alors se traduire par un comportement différent de l'enfant face à son assiette. Il va passer plus de temps à explorer sa nourriture : la triturer, l'observer, la sentir…
Manger dans le calme : les distractions comme la TV, la musique, des jeux à côté de la table vont déconcentrer l'enfant voir l'angoisser et il sera plus difficile de lui faire accepter de nouveaux aliments. Ne pas menacer ou proposer de récompense !
En cas d'ochlophobie il est conseillé de suivre une thérapie cognitivo-comportementale, mais comme il s'agit d'une phobie sociale, il est également recommandé de traiter cette phobie avec une prise médicamenteuse (anxiolytiques) avant tout travail thérapeutique.
Boire de l'eau gazeuse en début de repas permet d'améliorer les saveurs. Le gingembre accélère la digestion et réveille la sensation de faim. Les jus de citron et de pamplemousse stimulent les papilles. Les légumes amers comme l'endive ou la roquette stimulent l'appétit.
Le fenugrec, tout d'abord, soutient le métabolisme et favorise l'appétit. Ensuite, le curcuma stimule l'appétit et l'avoine soutient la santé intestinale et digestive. La gentiane favorise la digestion grâce aux substances qu'elle contient (gentiopicroside, amarogentine, gentiobiose).
La perte de l'envie de manger peut aussi être causée par : certaines maladies chroniques comme le diabète ; la prise de certains médicaments ; une mastication permanente comme par exemple avec une gomme à mâcher qui stimule la satiété en envoyant de mauvais messages au cerveau.
C'est vrai. Manger moins engendre vraiment une perte de poids. Lorsqu'on mange moins, notre organisme puise dans ses réserves de graisse, ce qui nous fait maigrir. Le problème vient de la reprise de l'alimentation normale.