Une personne qui a une infection à VPH peut transmettre le virus même si elle n'a pas de symptômes. La transmission par voie sexuelle peut se produire lors de : relations orales (contact de la bouche avec le pénis, la vulve, le vagin ou l'anus); relations vaginales (pénétration du pénis dans le vagin);
Les facteurs de risque
On sait qu'il existe principalement deux causes favorisant l'apparition du cancer: une infection à certains types de virus appartenant à la famille des papillomavirus (HPV), transmis par voie sexuelle ou par contact de la peau durant une relation sexuelle, chez les femmes jeunes (40-60 ans)
L'arrêt du tabac est primordial pour éviter un cancer de vulve mais aussi une récidive. Un suivi gynécologique régulier permet également de prévenir le cancer de la vulve par la détection de lésion précancéreuse qui peuvent être traitées pour éviter leur évolution vers un cancer.
La survie nette après 5 ans pour les autres cancers des organes génitaux de la femme est de 59 %, ce qui signifie qu'environ 59 % des femmes ayant reçu un diagnostic d'autre cancer des organes génitaux survivront au moins 5 ans.
La vulve est la partie génitale externe de la femme, tandis que le vagin est une des parties internes de l'appareil génital féminin. Le cancer de la vulve est rare, et touche 1 à 2 femmes sur 100 000 chaque année. Il se développe majoritairement chez les femmes ménopausées, vers 70 ans en moyenne.
La tumeur affecte seulement la vulve ou la vulve et le périnée (région située entre la vulve et l'anus). On peut diviser le stade 1 en stades 1A et 1B selon la taille de la tumeur et le degré d'envahissement des tissus voisins, comme le tissu conjonctif, les vaisseaux sanguins et les nerfs.
Chez la femme, trois cancers sont responsables du plus grand nombre de décès par cancer : sein (12 000), poumon (10 000) et colorectal (8 000). L'évolution de la mortalité (taux standardisé) par cancer entre 1990 et 2018 est marquée par une diminution dans les deux sexes, plus prononcée chez les hommes.
Dans les cancers de vulve, on associe souvent la radiothérapie à de la chimiothérapie pour augmenter l'efficacité de celle-ci. Également la chimiothérapie ou d'autres traitements per os ou par voie intraveineuse peuvent être utilisés en cas de cancer de vulve avec des métastases ou récidivant.
Parfois, les démangeaisons de la vulve sont simplement causées par une utilisation de produits irritants et mal adaptés à la fragilité de cette zone intime. Certaines maladies ou affections de la peau et des muqueuses peuvent aussi être responsables d'un prurit vulvaire.
Changements de taille ou de couleur d'un nævus ou changements dans une ulcération cutanée qui ne guérit pas. Excroissance ou marque sur la peau qui grossit ou change d'aspect. Lésion qui ne cicatrise pas. Ganglions lymphatiques hypertrophiés.
Voici d'autres signes et symptômes du cancer de la cavité buccale : plaques blanches (leucoplasie), plaques rouges (érythroplasie) ou plaques teintées de blanc et de rouge (érythroleucoplasie) sur les lèvres ou dans la bouche. masse sur les lèvres, dans la bouche ou sur la langue.
Tumeurs solides
La démangeaison peut être généralisée ou particulière à la tumeur: démangeaison au scrotum dans le cancer de la prostate, démangeaison périanale dans le cancer colorectal ou démangeaison vulvaire dans le cancer du col.
Actuellement, personne ne connaît réellement la cause de ces douleurs. Elles peuvent être la conséquence de traumatismes, de traitements ou d'infections chroniques ou à répétition. On pense actuellement que l'origine de ces douleurs est liée à une hypersensibilité des terminaisons nerveuses de cette région.
Le clotrimazole est un principe actif antifongique qui permet de traiter efficacement les mycoses vulvaires. En cas de mycose vulvo-vaginale, il est recommandé de compléter le traitement vaginal par l'application de MycoHydralin® crème. MycoHydralin® crème traite efficacement les mycoses vulvaires.
La vulvovaginite est une inflammation de la vulve et parfois du vagin. Elle peut causer des démangeaisons, des rougeurs et une sensibilité dans la région génitale. Elle cause aussi parfois des écoulements qui peuvent tacher les petites culottes et dégager une forte odeur.
Taux de survie supérieur à 80 % : Cancer du sein, de la prostate, de la thyroïde, des testicules, des lèvres, mélanome, leucémie lymphoïde chronique et maladie de Hodgkin : ces huit localisations ont des taux de survie après cinq ans supérieurs ou égaux à 80 %.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Le cancer du pancréas est l'un des plus dévastateurs et des plus foudroyants. Et malheureusement, c'est également l'un des plus mal diagnostiqué. Comme l'a rappelé pour Yahoo le docteur Christian Recchia, le pancréas est “enchâssé derrière l'estomac”, il est donc “très peu visible”.
L'inflammation aiguë d'une glande de Bartholin va causer une forte douleur au nouveau du vagin ou de la vulve. Des sensations de chaleur au niveau du vagin ou de la vulve. La difficulté à marcher ou de s'asseoir, liée à la douleur. Le prurit (rarement)
Une hygiène intime excessive ; Une allergie à certains savons, gels lavants, bains moussants, tissus et parfums ; Une pédiculose pubienne, c'est-à-dire la présence de morpions dans la région pubienne ; Une irritation liée à l'urine, en particulier chez les femmes souffrant d'incontinence urinaire.
Il s' agit d' une inflammation chronique qui reste souvent localisée à la peau et aux muqueuses génitales mais qui peut atteindre aussi le périnée, la région péri-anale, et parfois d' autres parties de la peau sous la forme de plaques plus ou moins indurées.
Dans 85 % des cas il s'agit de vulvo-vaginite et dans 15 % des cas de vaginite isolée. On recherche des pertes blanches caillebotées, un prurit (très intense dans la forme aiguë), des brûlures (plus important dans la forme chronique), un œdème (forme aiguë), une dyspareunie superficielle, fissures vulvaires.
Avoir la peau qui gratte le soir et la nuit est le signe de très nombreuses affections, à la fois dermatologiques et non dermatologiques. Voici quelques exemples de maladies source de démangeaisons nocturnes : Des maladies inflammatoires chroniques de la peau comme l'eczéma ou le psoriasis.