Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Le pronom relatif a une fonction, contrairement aux autres mots qui introduisent une proposition subordonnée. La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).
La proposition subordonnée relative est complément de son antécédent : « dont je vous ai parlé » est complément de l'antécédent « maison ». La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec.
Définition. Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions.
La proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). a) C'est le bureau dans lequel il a toujours travaillé. b) Vous compléterez le dossier que vous avez reçu.
Dans une phrase, on dit qu'une proposition est subordonnée si elle dépend d'une autre proposition (presque toujours une principale). Elle complète le sens. On parle alors de subordination.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
La subordonnée relative est une phrase enchâssée à la suite d'un nom ou d'un pronom.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
❯ La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif. ❯ Elle complète un nom ou un pronom sur lequel elle apporte des précisions. Elle a la même fonction qu'un adjectif : elle est épithète du nom qu'elle complète.
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : celui-ci représente en général un GN, un nom ou un pronom. Ex. : On entend le vent [qui mugit]. → qui représente le groupe nominal le vent. Sur la photographie, celles [que l'on voit à droite] sont deux cousines.
la proposition coordonnée ; la proposition subordonnée ; la proposition relative. On l'appelle également la principale.
- La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens. - J'ai retrouvé les clés que tu avais égarées. - La proposition principale commande une proposition subordonnée qui complète le sens de cette principale. - Il va à la banque pour ouvrir un compte.
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
"dont" est un pronom relatif qui remplace de + antécédent dans la subordonnée relative. Voici mon fils, dont je t'ai parlé. "fils" est l'antécédent de "dont" : "Je t'ai parlé de mon fils".
comme, parce que, sous prétexte que, en raison de, etc. ainsi que, autant que, bien plus que, comme, de même que, davantage que, etc. bien que, même si, quand bien même, quoique, etc. à condition que, à moins que, dans la mesure où, pourvu que, pour autant que, si, etc.
La subordonnée complétive est une phrase enchâssée qui est généralement introduite par la conjonction que. Elle est appelée complétive, car elle remplit très souvent la fonction de complément.
chef. grade d'autorité (chef de gare, chef d'orchestre...)
Employé seul, le pronom relatif « qui » introduit le sujet d'une proposition relative. Il remplace un nom de personne ou de chose. Le nom ou le pronom qu'il représente est son antécédent.
Les propositions subordonnées complétives sont COD du verbe qu'elles complètent. Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).