Le terme d'impulsivité correspond aux difficultés qu'éprouve une personne pour arriver à se contrôler. Ainsi, l'impulsivité débouche régulièrement sur des actes violents ou des colères. Ces comportements peuvent à leur tour engendrer des conséquences indésirables pour leur auteur.
Au quotidien, de nombreux comportements sont qualifiés d'impulsifs. Par exemple, sentir l'odeur d'un pain au chocolat et, sans réfléchir, aller s'acheter une viennoiserie ; ou crier « chocolatine » sur quelqu'un qui dit « pain au chocolat » sont des comportements impulsifs.
Dans de nombreux cas, lorsqu'une personne est très impulsive, cela peut être lié aux problèmes de santé mentale suivants : Anxiété ou excès de stress : les personnes qui font face à des périodes de stress excessif ou d'anxiété peuvent finir par avoir un comportement plus impulsif en raison d'une nervosité excessive.
Les troubles mentaux tels que la cleptomanie, la pyromanie, la tricholylomanie, entre autres, sont causés par l'impulsivité, car les personnes ne peuvent pas contrôler l'envie d'entreprendre ces actions.
Les causes de l'impulsivité
Mais il y a souvent des mécanismes sous-jacents : hypersensibilité, troubles de l'humeur, troubles anxieux, addictions, intolérance à la frustration, troubles de la personnalité...
L'impulsivité peut être considérée comme une classe diagnostique en soi (ex. trouble du contrôle des impulsions) ou faisant partie des critères diagnostiques de certains troubles psychiatriques comorbides.
Parlez : Lorsque vous sentez que vous allez agir, essayez de prêter attention à ce que vous ressentez et verbalisez-le. Le but est d'essayer d'extérioriser vos émotions au lieu de passer par l'acte ; Relaxez-vous : La relaxation est l'un des meilleurs moyens pour lutter contre l'impulsivité.
Qui agit comme sous la poussée d'une force irrésistible, en l'absence de toute volonté réfléchie : Un impulsif qui ne sait pas se retenir de parler.
Agitation Comportement moteur ou verbal excessif et inapproprié. patient. Activités répétitives et stéréotypées, sans but apparent ou dans un but inapproprié : déambulations, gestes incessants, attitudes d'agrippement, etc. grossières, attitudes sexuelles incongrues, comportement impudique ou envahissant.
Selon les résultats de l'étude, autour de l'âge de 2 ans, les facteurs génétiques seraient responsables de seulement 38 % des variations d'impulsivité observées d'un enfant à l'autre. Cette proportion serait d'à peine 6 % lorsque les enfants atteignent 3 ans.
Maniaques du contrôle selon leur entourage, parfois appelées control freaks, elles sont décrites par des termes comme « rigidité, froideur, intransigeance, critique inlassable ».
Les traitements des troubles du comportement
Certains médicaments peuvent être utiles. Dans tous les cas, un suivi psychologique voire psychiatrique se révèle nécessaire. D'autres techniques comme l'hypnose, les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), la naturopathie, la méditation peuvent apporter un soulagement.
Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Avoir une mauvaise maîtrise de soi est la principale cause qui nous amène à agir ainsi. Une faible tolérance à la frustration peut également être à l'origine de ces crises de colère. Être impulsif et capricieux favorise également une situation de ce type.
L'adjectif "impulsif" est synonyme des mots suivants : "spontané", "fougueux", "emporté", "sanguin", "irréfléchi". Lorsque cette impulsivité devient inadaptée, voire dangereuse, elle peut être qualifiée par les adjectifs suivants : "borderline", "instable", "violent", "bouillant".
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
La personne désinhibée fait preuve d'un comportement démonstratif ou euphorique. Elle a des difficultés à contrôler son discours ou à l'adapter à son environnement. Elle dit tout haut ce qui se pense habituellement tout bas, se montre familière envers des personnes étrangères, parle fort, etc.
Même si leurs conséquences peuvent aussi être négatives, les achats impulsifs sont toujours stimulés par des facteurs extérieurs contrairement aux achats compulsifs. Des stimuli comme l'esthétique, la présentation et le prix du produit influent sur la non-réflexion et la rapidité du processus de prise de décision.
Quelle thérapie pour gérer ses émotions, utilisez la PNL
La PNL use de la communication et se concentre surtout sur les réactions des patients. Elle vous permet alors de dresser des modèles pour votre réussite. Cette technique aide à rétablir la faible estime de soi et favorise la confiance envers les autres personnes.
Reconnaître la colère comme une émotion (distincte de la joie ou la tristesse par exemple). Accepter que cette émotion puisse s'installer (manifestation saine devant un obstacle). Comprendre en quoi elle peut gêner voire blesser l'autre. Travailler en groupe avec des animateurs dans le respect de chacun.
Lorsqu'il y a une difficulté, la colère est là pour nous avertir qu'il y a un problème et nous mettre en posture pour y faire face. C'est un vecteur qui nous aide à vivre une situation, au même titre que la tristesse ou la fuite. Selon le contexte, l'émotion 'colère' se déclenche plus ou moins facilement.
Le TDAH est un trouble neurodéveloppemental fréquent (environ 5-8% des enfants et 4 % des adultes) qui se caractérise par une difficulté persistante à moduler l'attention qui se traduit par des erreurs d'inattention, une difficulté à maintenir l'attention de façon soutenue, à résister aux stimuli distracteurs, à ...