Le sacrifice étant un échange, il est un partage. Une des formes est donc le repas sacrificiel où la victime est « sacrifiée » puis consommée de concert entre Hommes et Dieux, chaque partie recevant sa part, différence qui marque la séparation en le Ciel et la Terre mais aussi leur communion.
Sacrifice agréable (à Dieu, aux dieux); sacrifice privé, public, rituel, solennel; sacrifices païens; sacrifice d'animaux; sacrifice d'action de grâces, d'adoration, de communion, de louange; sacrifice expiatoire, propitiatoire; appareil, apprêts, rites du sacrifice; autel, couteau, parfum, sang, viande, victime du ...
La fonction première du sacrifice est de rendre hommage à Dieu par le biais d'un repas festif. Mais le sacrifice a aussi, accessoirement, une fonction pédagogique. Il permet, en effet, de manifester à la fois l'altérité de Dieu et sa similarité.
Palmes de la victoire : symbole du sacrifice et de la victoire. Elles sont aussi le symbole du martyre. Rameau d'olivier : symbole de paix et de Gloire Rameau de chêne : symbole universel de force, de puissance, de majesté, de longévité et de résistance.
« On sacrifie pour une cause ou une idée qu'on juge supérieure. C'est le cas dans la religion, ou encore du parent qui fait table rase de ses désirs personnels – et de ses nuits ! – au service d'une cause supérieure, en l'occurrence, assurer la survie de son enfant, explique la psychanalyste.
Le sacrifice a pour but de reproduire de quelque façon la manifestation de Dieu au Sinaï, événement unique, fondateur de la relation entre le Seigneur et son peuple.
La tradition antique est unanime sur un point: les Carthaginois sacrifiaient leurs enfants par le feu pour s'attirer la faveur des dieux. Des recherches récentes remettent en question l'interprétation traditionnelle de ces rites peu compréhensibles aujourd'hui.
abandon, abnégation, dévouement, renoncement. – Littéraire : renonciation.
Réussir à tout prix inclut une notion de sacrifices pour soi mais aussi pour les autres. L'être humain est inséparable de son environnement. Aujourd'hui avec les problèmes liés au non-respect de la nature on prend conscience de l'imbrication de soi, de l'environnement et des autres.
Le sacrifice de bonne odeur est un message, une demande, un apaisement. Il ouvre le dialogue avec la divinité. 7Cette conception de l'odeur comme un médium de communication est d'autant plus importante en Israël, qui postule une absolue transcendance de Dieu.
L'Eucharistie est un sacrifice d'action de grâce au Père, une bénédiction par laquelle l'Église exprime sa reconnaissance à Dieu pour tous ses bienfaits, pour tout ce qu'il a accompli par la création, la rédemption et la sanctification.
sacrificateur n. Prêtre ou prêtresse qui offrait les sacrifices dans l'Antiquité.
L'esprit de sacrifice c'est avant tout la disposition à renoncer à ses propres intérêts au bénéfice d'autrui. C'est en quelque sorte le contraire de l'égoïsme. Cet état d'esprit pousse à faire passer ses propres sentiments et préférences après ceux des autres et de l'institution.
Renoncer à ses propres besoins et objectifs ne fait que briser l'amour et la relation de couple - en plus de sa propre identité. Les sacrifices ne sont absolument pas des compromis basés sur la communication, mais des renoncements personnels qui peuvent avoir un coût psychologique et vital très élevé.
D'une part, le sacrifiant est le yajnapati, le « maître du sacrifice » : c'est pour lui, autour de lui, à ses frais et pour son bénéfice que le dispositif sacrificiel se met en place, et il faut savoir aussi que si les officiants sont habilités, et seuls habilités, à tenir leur partie dans ce dispositif, ils n'exercent ...
Renoncement volontaire à quelque chose ou quelqu'un.
recevoir. accepter ce qui est donné, transmis, offert, etc.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
Dans les pays nordiques, les sacrifices humains ne cesseront définitivement qu'après l'an 1000, avec l'implantation du christianisme chez les Vikings. Håkon Sigurdsson, roi de Norvège (970-995), fera sacrifier son fils de sept ans à la veille d'une bataille, pour s'assurer de la victoire.
Le calendrier inca est lunaire et rythmé par la succession des solstices qui sont fêtés avec de grandes cérémonies ; Inti Raymi pour le solstice d'hiver qui rend un culte au soleil, et Capac Raymi pour celui d'été qui est plutôt dédié à l'Inca.
La dîme et les offrandes que nous faisons à l'Eglise servent à l'œuvre du Seigneur. Les dirigeants l'utilisent de la manière désignée par le Seigneur. Ces dons contribuent à ramener nos frères et sœurs auprès de notre Père céleste.
HOLOCAUSTE, subst. masc. 1. Sacrifice religieux, pratiqué notamment par les Hébreux aux temps bibliques, et au cours duquel la victime (uniquement animale chez les Hébreux) était entièrement consumée par le feu.
Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice : offert à Dieu pour lui être agréable ; fait de chair animale brûlée ; fait uniquement sur l'autel du Temple de Jérusalem, qui n'existe plus depuis l'an 70.
sacrifiée. Personne qui se sacrifie pour les autres.