Le geste de salut militaire français : Selon ce livre, pour saluer tel un soldat des forces armées françaises il faut : « Porter la main droite ouverte au côté de la coiffure, la main dans le prolongement de l'avant-bras, les doigts étendus et joints, le pouce réuni aux autres doigts ou légèrement écarté.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Néanmoins, cette tradition n'a pas perduré en France, le salut se faisant aujourd'hui « paume visible ». Le salut « paume cachée » est en vigueur dans de nombreux pays, notamment les États-Unis, l'Allemagne, la Suisse.
En guise de salut, chez les militaires, on ne se sert pas la main et on ne se fait pas la bise : on utilise la main droite, doigts serrés et paume visible, portée à hauteur de la tempe. Un geste formel, par lequel un militaire exprime son respect à un supérieur, qui lui rend par le même mouvement.
Tout militaire croisant un supérieur le salue quand il en est à six pas et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé. S'il dépasse un supérieur, il le salue en arrivant à sa hauteur et conserve l'attitude du salut jusqu'à ce qu'il l'ait dépassé de deux pas.
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Il convient, pour les femmes de militaire, d'appeler « général », « colonel » et « commandant » sans faire précéder du « mon ». En dessous de ces grades elles appelleront les militaires « Monsieur ». La formule « mes hommages, Madame » est à adopter systématiquement quand on s'adresse à la femme d'un supérieur.
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Il convient de rester couvert et de tendre la main pour saluer un subordonné masculin et de lui dire Bonjour monsieur. Si la personne est votre supérieur hiérarchique, il convient de dire Bonjour monsieur sans se découvrir et d'attendre que le supérieur hiérarchique vous tende la main.
dans la police le salut est dû à tout supérieur hiérarchique qu'il soit en civil ou en tenue, par ailleurs le salut ne s'effectue que lorsqu'on est vêtu d'une coiffe comme une casquette par exemple.
L'expression du début du siècle est Prenez gardes à vous, , c'est l'ordre qui annonce une instruction à exécuter. Avec l'ordonnance du 1er juin 1776 elle devient Garde = à vous et sert à faire immobiliser le soldat dans le rang.
Mon général (peut-être abréviation ancienne de Monsieur le général), formule par laquelle tout militaire s'adresse à un officier de ce grade ; une femme dira simplement Général, et un civil pourra faire de même ; Monsieur le général peut être employé dans la correspondance, en formule d'appel ou de courtoisie.
Les honneurs funèbres militaires sont rendus par les piquets d'honneur funèbres et éventuellement par des troupes. Les piquets rendent les honneurs funèbres comme les autres honneurs militaires, et le cas échéant : 1.
Félicitations d'un militaire subordonné
Mon Colonel, Je me réjouis pour cette distinction qui récompense votre dévouement pour notre patrie. Votre engagement est total et cette médaille qui vous honore, était bien due à l'homme dont la déjà longue carrière est jalonnée de succès.
Composez le 17 en cas d'urgence concernant un accident de la route, un trouble à l'ordre public ou une infraction pénale. Une équipe de policiers ou de gendarmes se rendra sur les lieux. Vous pouvez aussi composer le 112.
Soit on leur dit bonjour à chacun en les regardant (avec ou sans le grade qui suit). Soit on dit leur grade en les regardant « Mon commandant », « Major » (Madame/Monsieur si civil).
Pourquoi dit-on ''mon'' avant de s'adresser à un officier ? Mon lieutenant, mon colonel, mon général, etc. sont tout simplement des abréviations de ''Monsieur le lieutenant, colonel, général, etc.'' il ne faut penser en aucun cas qu'il s'agisse d'un pronom possessif.
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Il se fait avec les l'index et le majeur en direction de la tempe. Le pouce rejoint l'annulaire et la paume de la main s'oriente vers l'avant. C'est un salut très surprenant.
Lorsque deux chevaliers se croisaient, la courtoisie voulait qu'ils relèvent la visière de leur heaume d'un geste de la main droite. Cela leur permettait d'échanger un regard pour saluer l'autre, et le fait de se découvrir le visage témoignait d'une intention pacifique.
A l'époque moderne et jusqu'à aujourd'hui, c'est pour des raisons d'hygiène, de sécurité (pour ne pas se prendre les cheveux dans une machine) et pour faciliter le port d'un masque à gaz que les militaires doivent porter les cheveux courts.