Il s'agit de recueillir les restes mortuaires dans un cercueil de réduction ou une boîte à ossements (reliquaire) pour les déposer dans la même sépulture. Pour toute procédure d'exhumation, vous devez faire appel à une société de pompes funèbres. L'exhumation se fera à vos frais.
Pourtant l'inhumation sans cercueil est interdite par la loi française.
Selon le Code général des collectivités territoriales, le cercueil est non seulement obligatoire pour la crémation, mais il doit également répondre à des normes strictes de protection sanitaire.
La réglementation française est très pointilleuse, et elle l'est évidemment sur un sujet aussi traditionnel que les funérailles. Le cercueil est donc obligatoire en France depuis 1801, quelque soit la religion du défunt et quelque soit le mode d'obsèques, inhumation ou crémation.
'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière. '
La tombe en pleine terre
Ce choix est tout à fait envisageable. La loi ne l'interdit pas, pourvu qu'il n'aille pas à l'encontre des directives du cimetière en termes de sécurité et d'hygiène. On ne creusera pas ce type de tombe dans une surface où pullulent les infiltrations par exemple.
Trouver un cercueil low cost est possible, mais celui-ci répondra obligatoirement aux normes françaises exigées. En moyenne, les cercueils d'entrée de gamme en pin, coûtent entre 350€ et 600€. Les milieux de gamme, en chêne, de type tombeau s'affichent entre 600€ et 1400€.
Le coccyx est un os impair situé à l'extrémité de la colonne vertébrale chez certains primates dont l'Homme (Hominoidea).
De plus, certaines parties ne brûlent tout simplement pas, «à moins d'être dans un four crématoire». Il devient donc ainsi difficile de ne pas faire la différence. «Les os, les dents, plusieurs parties du corps humain ne brûlent pas», précise le formateur qui se demande comment une telle mégarde a pu se produire.
L'autorisation d'exhumation peut être accordée quelle que soit la date à laquelle ont eu lieu le décès et l'inhumation. Toutefois, si le défunt était atteint d'une maladie contagieuse au moment du décès, vous pouvez demander l'exhumation seulement 1 an après la date du décès.
Oui, à titre exceptionnel, et sous certaines conditions, un cercueil ou une urne funéraire peut être enterrée dans le jardin d'une propriété privée. Une inhumation dans le terrain d'une propriété privée est possible à titre exceptionnel.
Trouver un cercueil low cost est possible, mais celui-ci répondra obligatoirement aux normes françaises exigées. En moyenne, les cercueils d'entrée de gamme en pin, coûtent entre 350€ et 600€. Les milieux de gamme, en chêne, de type tombeau s'affichent entre 600€ et 1400€.
La tombe en pleine terre
Ce choix est tout à fait envisageable. La loi ne l'interdit pas, pourvu qu'il n'aille pas à l'encontre des directives du cimetière en termes de sécurité et d'hygiène. On ne creusera pas ce type de tombe dans une surface où pullulent les infiltrations par exemple.
Il est effectivement possible de se faire inhumer dans une propriété privée. Mais à des conditions très précises : pour des raisons sanitaires, il faut que cette propriété "soit à plus de 35 mètres de l'enceinte des villes et des bourgs", rappelle le site collectivites-locales.gouv.fr.
L'enterrement se fait dans un cimetière dans un délai de 6 jours au plus après le décès, sauf exceptions. L'entreprise de pompes funèbres choisie s'occupe des démarches, en tout ou en partie. Le coût varie selon le lieu et les prestations.
Une concession familiale (ou caveau familial) est destinée à accueillir le fondateur de la concession, ainsi que sa famille. Son conjoint, ses ascendants (parents, grands-parents…), ses descendants (enfants, petits-enfants…), les conjoints de ses descendants peuvent y être enterrés.
Si la famille du défunt n'a pas des ressources suffisantes, la commune du lieu de décès doit prendre en charge les frais d'obsèques. Dans ce cas, c'est la mairie qui choisit l'organisme de pompes funèbres. C'est le maire qui évalue l'insuffisance de ressources.
« Les enterrements face contre terre étaient un moyen de signaler quelque chose lors des funérailles - d'une manière ou d'une autre, la société a permis la commission de trop de péchés, alors ils voulaient faire pénitence. »
Dans un caveau funéraire, le cercueil d'un défunt peut rester intact plusieurs années (le nombre variant selon les conditions de température et d'humidité). Il permet également le rassemblement des défunts d'une même famille dans un même lieu de sépulture, en prévoyant un nombre suffisant de places.
Quel cercueil pour un défunt à la taille non standard ? La législation exige une épaisseur minimum s'il s'agit d'obsèques par inhumation (22 mm) ou par crémation (18 mm pour un cercueil de crémation). Un cercueil standard de 1m85 permet donc de transporter une personne allant jusqu'à 100 kg.
'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière. '
Leurs prix très abordables
Le prix moyen d'un cercueil en carton est de 500 €. Avec une fourchette de prix allant de 500 à 1200 euros selon les aménagements opérés.
Un cercueil hermétique en zinc est un type de cercueil qui est conçu pour être étanche et empêcher les fluides corporels de s'échapper.
Le symbolisme du quarantième jour
Le quarantième jour est perçu comme un temps de transition, où l'âme du défunt achève son voyage vers l'éternité. Il est également considéré comme un moment propice pour la prière et l'offrande de messes en l'honneur du défunt.
Le corps semble encore respirer et reste chaud, mais l'arrêt du cerveau atteste du décès de la personne. Une fois les organes prélevés, l'activité cardiaque et respiratoire artificielle est arrêtée, et le corps est rendu à la famille, qui peut organiser les funérailles.