La chirurgie est le traitement principal des sarcomes des tissus mous et des os lorsqu'ils sont localisés. Elle est parfois complétée par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie en fonction du type de sarcome, de son grade, de sa localisation et des résultats de la chirurgie.
Le sarcome des tissus mous de stade 4, ou sarcome des tissus mous métastatique, engendre un pronostic sombre.
La chirurgie est la pierre angulaire du traitement curatif des sarcomes, quand celle-ci est possible et que la maladie n'est pas métastatique. Elle peut être associée à de la radiothérapie et/ou à de la chimiothérapie.
Le taux de survie globale à 5 ans pour le sarcome des tissus mous est d'environ 65%. Cependant, l'espérance de vie varie selon le stade du cancer: Environ 60% des sarcomes sont des sarcomes localisés, ce qui signifie que la tumeur ne se trouve que dans une zone du corps et que le taux de survie à 5 ans est de 81%.
Le symptôme le plus fréquent d'un sarcome des tissus mous est l'apparition d'une masse ou d'une enflure. Elle peut être associée à une sensibilité locale et parfois à de la douleur à mesure que la masse grossit. Dans le cas du sarcome des os, le symptôme le plus fréquent est la douleur, souvent plus vive la nuit.
Les sarcomes évoluent de manière très différente suivant leur type et leur grade: ils peuvent se développer rapidement ou très lentement. Ils ne provoquent des métastases que dans 30% des cas.
Sarcomes : des causes méconnues
La majorité d'entre eux est dite sporadique, c'est-à-dire que l'on ne trouve pas de cause. Certains facteurs favorisent toutefois la survenue de sarcomes : des maladies génétiques très rares (rétinoblastome, syndrome de Werner, maladie de Recklinghausen, syndrome de Li–Fraumeni…)
La chirurgie est le traitement principal des sarcomes des tissus mous et des os lorsqu'ils sont localisés. Elle est parfois complétée par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie en fonction du type de sarcome, de son grade, de sa localisation et des résultats de la chirurgie.
Le médicament anticancéreux le plus souvent utilisé dans les sarcomes est la doxorubicine. Dans les cas de sarcomes des tissus mous, cette molécule est parfois associée à l'ifosfamide ou à la dacarbazine. Dans les ostéosarcomes, elle est associée au cisplatine et au méthotrexate.
Les prédispositions génétiques
Ce syndrome, héréditaire, prédispose entre autres au développement d'un sarcome des tissus mous avant l'âge de 45 ans. Par ailleurs, des travaux de recherche sont en cours afin d'identifier des gènes de prédisposition aux sarcomes.
Le sarcome des tissus mous est une tumeur cancéreuse (maligne) qui prend naissance dans les cellules des tissus mous du corps. La tumeur cancéreuse est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir les tissus voisins et les détruire. La tumeur peut également se propager à d'autres parties du corps (métastases).
Le traitement du sarcome doit être décidé par une équipe pluridisciplinaire (oncologue, chirurgien, radiologue…) spécialisée. Si une opération doit être pratiquée, elle doit être réalisée par un chirurgien entraîné à ce type de tumeurs.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Sarcome : quel risque de récidive ? Dans le risque de récidive locale, la qualité de la chirurgie entre fortement en jeu, mais la gravité et la taille de la tumeur traitée comptent également : plus elles sont importantes, plus le risque de rechute augmente.
Pour un sarcome des tissus mous, le traitement principal est la chirurgie : le chirurgien retire la tumeur. Si ce n'est pas possible, vous devrez recevoir de la radiothérapie. La chimiothérapie n'est donnée qu'aux personnes avec des métastases.
Le diagnostic
La confirmation du diagnostic de sarcome repose en effet sur l'analyse d'un échantillon de tissu obtenu par biopsie. Il s'agit de prélever un morceau de tissu suspect afin de l'étudier au microscope. La biopsie se déroule généralement sous anesthésie locale par ponction : on parle de biopsie percutanée.
La vitamine C est le composé le plus efficace. Les cellules souches cancéreuses apparaissent 4-10 fois plus sensibles à la vitamine C que les cellules cancéreuses non résistantes à la doxycycline.
L'immunothérapie consiste à bloquer ce mécanisme de masquage. Elle réveille les défenses naturelles de l'organisme. Contrairement à la chimio, elle ne s'attaque qu'aux cellules cancéreuses, et provoque beaucoup moins d'effets secondaires.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
« Activer l'horloge biologique des tumeurs pourrait devenir une approche novatrice pour ralentir la croissance d'un cancer ou de métastases. Cela permettrait de donner plus de temps aux gens de recourir à des interventions plus traditionnelles comme la chirurgie ou la chimiothérapie, ajoute M.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
les carcinomes sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes). Exemples: cancers du sein, des poumons, de la prostate, de l'intestin, etc. les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (dits tissus de «soutien»). Exemples: cancers de l'os, du cartilage, etc.
L'imagerie par résonance magnétique (IRM) est l'examen de référence.
Les tissus mous et les viscères
Les tissus mous sont les tissus qui maintiennent le squelette et les organes, comme les muscles, la graisse et les tendons. On parle aussi de tissus mous pour désigner les vaisseaux sanguins et les nerfs.