Le traitement de la crise commence toujours par les anti-inflammatoires. Si la douleur est forte, le médecin injecte le médicament en intramusculaire ou, mieux encore, en intraveineuse. Et si cela ne suffit pas, il ajoute un peu de morphine.
Elle peut soulager ses douleurs en prenant un analgésique de type paracétamol ou acétaminophène (Tylenol®, Doliprane®), jusqu'à ce que le calcul soit évacué. La chaleur aide aussi à soulager la douleur (bains chauds, compresses chaudes et humides).
Boire beaucoup d'eau, 1 L et demi par jour, eau de source la plus pure possible (extrait sec à 180° le plus bas possible, autour de 20, c'est indiqué sur toutes les étiquettes). Faire des tisanes de plantes comme la verge d'or, la busserole, l'ortie qui sont diurétiques.
Le citron. Pour un résultat efficace, il faut le presser pour en faire un jus que l'on mélangera, si possible, avec du persil et un peu d'eau tiède. Le citron permet d'éliminer les déchets, dont certains petits calculs, et stimule le système immunitaire.
Vous avez mal aux lombaires, de la fièvre, des frissons et des troubles urinaires : le risque majeur est celui de l'infection rénale autrement appelée pyélonéphrite (un seul ou les deux reins peuvent être touchés). La douleur diffuse dans le bas-ventre peut s'accompagner de troubles digestifs.
Elle consiste à faire passer un tube, par les voies naturelles, jusqu'au calcul à éliminer, dans l'uretère ou dans les reins. Si la lithiase est très petite, elle peut être saisie et extraite directement à travers le tube. Elle peut également être fragmentée, par ondes de choc ou désormais par laser.
Les jus de citron, d'orange et de tomates sont riches en acide citrique et permettent de rendre le pH de l'urine plus alcalin et ainsi de réduire la formation de calculs rénaux via l'alimentation. Il est donc intéressant d'utiliser le citron et l'orange en cuisine ou pour réaliser des jus et eaux parfumées.
Pour les calculs d'oxalate de calcium
- Limiter les aliments riches en oxalate: chocolat, épinards, poivre, rhubarbe, thé... -Eviter les excès de protides : ne pas consommer de viande ou de poisson plus d'une fois par jour. Ne pas manger trop de fromage et de légumes secs.
La colique néphrétique se manifeste par une douleur aiguë, unilatérale et lombaire. Elle est le plus souvent due à la présence d'un calcul dans l'un des 2 uretères. Si la crise s'accompagne de certains symptômes, elle doit amener à consulter en urgence.
Les complications sont plutôt rares si les calculs sont bien soignés. Cependant, il peut arriver qu'en plus d'une obstruction d'un uretère par un calcul, une infection s'installe. Cela peut entraîner une infection sanguine (septicémie) qui nécessitera une intervention d'urgence.
Description de la crise de colique néphrétique
La douleur siège dans la région lombaire, elle irradie vers le bas, contournant le flanc, et descend souvent en direction des organes génitaux, aussi bien chez l'homme que chez la femme.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) (naproxène, diclofénac, indométacine, ibuprofène), et les antalgiques opiacés (tramadol, hydromorphone hydrochloride, morphine) sont les traitements de choix pour soulager rapidement la douleur des coliques néphrétiques.
Un risque plus élevé de maladie rénale
Selon une étude présentée lors du 41e congrès de la société de néphrologie américaine, les calculs rénaux augmentent de 60% le risque de maladie rénale chronique. Le risque de développer une insuffisance rénale terminale est quant à lui augmenté de 40%.
Elle se manifeste par la production de calculs, qui sont des sortes de "cailloux", qui bloquent l'écoulement de l'urine des reins vers la vessie. Ce blocage provoque de violentes douleurs au niveau latéral de l'abdomen (région lombaire), appelées colique néphrétique.
Première découverte : les calculs rénaux (constitués d'oxalate de calcium dans 70 % des cas) peuvent se dissoudre, et même alterner des phases de dissolution et de croissance à l'intérieur du patient.
Riches en eau et en antioxydants, les fruits rouges ont des vertus détoxifiantes. Ceux aux couleurs sombres comme la myrtille, les mûres et les canneberges sont les meilleurs pour les reins.
Les symptômes peuvent comprendre de la douleur lorsque le malade essaie d'uriner, un besoin urgent d'uriner, le fait d'uriner plus souvent que d'habitude, la présence de sang dans l'urine, une urine trouble ou qui sent mauvais, de la nausée, des vomissements, de la fièvre et des frissons.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
"Non, le café n'est pas particulièrement mauvais pour les reins", note la nutritionniste. Il est cependant recommandé d'en limiter la consommation, surtout s'il s'agit de café soluble ou de chicoré.
L'hydratation. Les reins servent à trier les déchets et les toxines présents dans le sang. Pour aider les reins, il faut les drainer, or, le meilleur moyen de favoriser ce drainage est de boire de l'eau. Pour rester hydraté, il faut boire 6 à 9 verres d'eau en dehors des repas.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Le jus de bouleau nettoie le sang et les reins. l'orthosiphon agit sur le métabolisme de l'acide urique et les calculs rénaux. Le pissenlit stimule le foie et a une bonne action diurétique. La reine des prés facilite l'élimination rénale de l'eau, ainsi que la piloselle.