Pour tailler un noyer, la meilleure période s'étend de la fin de l'été à la mi-automne, autrement dit d'août à octobre. En effet, durant cette période les noyers réduisent leur production de sève avant d'entrer en dormance. De plus, les plaies auront le temps de cicatriser avant l'arrivée du froid.
La taille du noyer se réalise dès la fin du mois de novembre, juste après la chute des feuilles, toujours durant le repos végétatif.
Son ombre est froide, gardons-nous d'y faire la sieste. Le pollen est allergisant. La pourriture de l'enveloppe des noix, l'écale, dégage des toxines impropres à la consommation. Le noyer contient enfin une substance toxique, la juglone, qui bloque la croissance d'autres plantes situées à proximité.
Un noyer peut atteindre de 25 à 35 mètres et peut vivre 300 ans. Le noyer commence généralement à donner des noix au bout de 15 ans (sa croissance est donc assez lente), et ce pendant une cinquantaine d'années.
Taille et entretien du noyer
Tailler lors de la chute des noix est un bon moyen pour connaitre la période. Supprimez alors le bois mort. Coupez les branches qui poussent vers l'intérieur à condition que leur diamètre ne dépasse pas 3 cm. Si les branches se croisent, éliminez en une partie.
Le noyer possède une racine principale verticale, longue et pivotante, pourvue de nombreuses racines secondaires ; elle peut mesurer jusqu'à 7 mètres de long. C'est elle qui donne la fameuse ronce de noyer très recherchée en ébénisterie. L'aspect de ce bois est tourmenté, enchevêtré.
Le dioxyde de carbone produit pendant la respiration atteint les espaces vides à l'intérieur des feuilles et, simultanément, la photosynthèse se poursuit. De ce fait, le dioxyde de carbone présent dans l'air est utilisé et consommé par les plantes.
Cet ombrage est, tout simplement, déconseillé à cause d'un produit toxique qui émane des feuilles (surtout après la pluie ou quand il fait fort humide) ; le juglon ou la juglone, toxine fabriquée par les feuilles et les racines de l'arbre, qui joue le rôle de désherbant au pied des noyers en inhibant la pousse des ...
Il peut dépasser 20 m de haut, et couvrir une surface d'environ 100 m2, il faudra donc le planter loin des habitations et des canalisations !
Probablement hors période de dormance… Était-ce une grosse branche ? Ce que vous désignez par “eau” est de la sève. Une plaie sur un noyer dans ces conditions est connue pour “pleurer” beaucoup et pendant longtemps parfois.
Les cultivateurs de noyers commencent à récolter les noix lorsque 75% environ des écorces se sont fendues. Dans la plupart des pays, les cultivateurs récoltent à la main, en secouant les branches pour que les noix tombent dans des filets de récolte spéciaux qui ont été étalés sur le sol.
L'argile : plusieurs compositions naturelles à base d'argile peuvent servir de mastic de cicatrisation. Pour les plus pressés d'entre vous, vous pouvez vous contenter de mélanger de l'eau de pluie à l'argile jusqu'à obtenir la consistance idéale à son application.
Sur feuilles : petites taches polygonales jaunes puis gris-brun avec périphérie brun foncé. Les feuilles très attaquées jaunissent et chutent prématurément. Sur rameaux : taches allongées et creusées. Sur noix : petites taches brun noir, claires au centre, limitées au brou.
Néanmoins, il existe des plantes plus résistantes à la juglone. C'est le cas des fougères à feuillage caduc ou persistant, des bugles, des heuchères, des hostas, des pervenches, les cyclamens de Naples, des iris, des narcisses, des clématites (avec un apport de terreau et de terre de jardin).
Cette bactérie pénètre dans les tissus et provoque des nécroses. En effet, les feuilles et fruits sont criblés de petites tâches huileuses puis noirâtres, entourées d'un halo. Les maladies cryptogamiques et les ravageurs du noyer dont cet arbre a le plus à combattre comprend la Bactériose.
Les feuilles de noyer permettent de lutter contre la diarrhée, les troubles de la circulation veineuse et lymphatique et l'hypertension. En usage externe, elles soulagent l'eczéma, l'acné, régule la transpiration et s'attaquent aux mycoses.
L'exposition à des copeaux de bois ou à de la sciure de noyer noir est reconnue dans la littérature pour être une source d'intoxication percutanée chez les chevaux, laquelle se manifeste par des coliques modérées et des fourbures aiguës.
Il a le même biotope que le noyer commun: il apprécie les sols humides et les cours d'eau. Il pousse en compagnie de noisetiers, de noyers et d'autres caryers à noix douces, sans compétition car l'arbre ne pousse pas beaucoup en largeur. Son feuillage est reconnu pour la haute teneur en calcium de ses feuilles.
Les feuilles du noyer, toxiques
L'explication vient de la Juglone, une substance chimique qui empêche la croissance des plantes en contact avec les feuilles. Si le noyer est solitaire au milieu dans un grand terrain.
Il devient adulte entre 25 et 40 ans et peut atteindre 25 m de haut. Il peut donner des fruits jusqu'à 70 ans et vivre jusqu'à 300 ans. Ce superbe arbre fruitier est également très ornemental. Son bois est destiné aux usages d'ébénisterie les plus nobles.
Le professionnel devra se munir d'une hache, d'une scie, d'une cognée et enfin pour la découpe le plus efficace sera une tronçonneuse. Une fois l'arbre abattu il faudra aussi le découper en morceaux plus réduits au sol, afin de pouvoir le transporter en décharge, ou même en faire du feu de bois.
Leur écorce est gris-clair, mince et lisse pour les jeunes, parcourue de profondes fissures avec les années. Leurs feuilles, caduques, alternes, assez grandes, sont composées, imparipennées (à 5-9 folioles ovales aigües, la terminale la plus grande) et penninerves.
Il donne des fruits, mais aussi du bois qui peut être utilisé en ébénisterie et marqueterie. C'est un arbre vigoureux et rustique : il supporte jusqu'à -30°. Facile d'entretien car ne nécessitant pas de taille, il aime les sols riches et a besoin d'eau, notamment en juin lors de la croissance de ses fruits.