Il est donc impératif de contacter l'auteur afin d'obtenir son accord pour utiliser l'image en question. Nous vous recommandons d'ajouter le nom de l'auteur sous la photo ou un lien renvoyant vers son site. Et si vous souhaitez reproduire une image et l'utiliser à des fins commerciales, vous devez en avertir l'auteur.
Si la mention Creative Commons est indiquée, vous pouvez utiliser l'image. Le type de licence vous indiquera ensuite ce que vous pouvez en faire. On a par exemple des licences Creative Commons « NC » pour Non Commercial. Cela veut dire que vous pouvez utiliser l'image, mais pas dans un but commercial.
Pour illustrer des contenus éditoriaux, les entités publiques peuvent être amenées à utiliser des photographies diffusées sur internet. Le fait que ces photographies soient librement accessibles ne donne pas pour autant le droit de les reproduire ou de les diffuser sans autorisation ; un risque de recours existe alors.
Concrètement, il ne s'applique pas si l'image ou la vidéo est utilisée pour une publicité ou à des fins directement commerciales. En d'autres termes, ce droit ne s'applique pas dans le cadre de la publicité, ou de la commercialisation.
Piège dans l'utilisation des images et autres médias non libres de droits. Si une œuvre n'est pas clairement indiquée par l'auteur comme « libre de droit », l'auteur peut se retourner contre vous pour une utilisation non autorisée de son œuvre. Cela peut constituer une « infraction au droit d'auteur ».
Vous constatez une utilisation non autorisée de votre image sur Internet ? Faites retirer la publication : Contactez directement l'éditeur du site, il dispose de 1 mois pour répondre favorablement. En cas de refus, vous devez saisir le tribunal en référé pour obtenir le retrait de la publication.
L'article 226-1 du Code pénal puni ainsi d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait de capter ou de fixer, quelque soit le support employé, et sans le consentement de l'intéressé, des images, et ceux aux fins de porter volontairement atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui.
Les images sous licence Creative Commons
Les auteurs d'images (et de toute oeuvre de l'esprit) peuvent recourir aux licences Creatives Commons (CC) qui offrent une alternative au droit d'auteur. Les licences CC permettent à un propriétaire de libérer les droits sur sa création. Cela s'applique également aux images.
La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Les images, illustrations, photos que l'on peut trouver sur internet sont pour la plupart soumises à des droits d'auteur. Cela signifie que l'utilisation d'une image trouvée sur un site ne peut se faire sans l'autorisation préalable de son auteur.
Recherchez une image. sélectionnez un type de licence. Appuyez sur l'image de votre choix. Pour savoir comment obtenir une licence et utiliser l'image, appuyez sur Détails de la licence sous l'image.
Le crédit photographique est la « signature » d'une photographie. Il s'agit de la mention du nom de l'auteur de l'œuvre, propriétaire des droits de reproduction : celui du photographe ou éventuellement celui de l'agence photographique.
Si vous n'êtes pas le créateur du contenu que vous souhaitez épingler sur Pinterest, vous devez obtenir l'autorisation du détenteur des droits d'auteur. Cela s'applique pour tous les types de contenu. Poster du contenu sans autorisation peut entraîner des conséquences juridiques.
La notion de droit d'auteur
Sauf mention contraire, toute image trouvée sur Internet appartient à son auteur et n'est pas utilisable ou modifiable sans son accord écrit. À partir du moment où, votre appareil en main, vous appuyez pour prendre une photo, vous en devenez l'auteur et elle vous appartient.
Le logo, s'il est original, est protégé dès sa création par le droit d'auteur. 2. Le titulaire des droits d'auteur sur le logo est la personne qui l'a créé.
C'est donc le producteur qui, seul, peut autoriser ou interdire la reproduction et la communication au public d'un extrait de son film. Les auteurs, disposant d'un droit moral, peuvent agir directement en cas de dénaturation ou de toute atteinte préjudiciable portée à leur œuvre.
Utilisez des images sous licence Creative Commons (CC)
Une licence CC peut autoriser l'utilisation telle quelle, dans un remix ou dans le cadre d'une nouvelle œuvre. Dans la plupart des cas, une licence CC exige l'attribution du titulaire des droits d'auteur.
Ainsi, l'utilisation d'enregistrements vidéo à l'insu d'une personne n'est utilisable comme moyen de preuve que pour élucider des “crimes”, à l'exclusion de “délits” et de “contraventions”. Les crimes sont des infractions passibles d'une peine pouvant dépasser trois ans de peine privative de liberté.
L'article 226-1 du code pénal punit d'un an d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende le fait de porter atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui en fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l'image d'une personne se trouvant dans un lieu privé.
Toute personne dispose, sur le fondement de l'article 544 du code civil, d'un droit d'usage, de jouissance et de disposition sur ses biens. Le droit à l'image des biens fait partie du droit de jouissance du bien.
Porter plainte auprès de la CNIL : Si l'entreprise ou l'individu ne répond pas à votre demande, ou si vous ne savez pas qui est responsable de la divulgation, vous pouvez porter plainte auprès de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL). Vous pouvez le faire en ligne sur le site de la CNIL ici.
Dès lors qu'elle se rapporte à une personne identifiée ou identifiable, l'image d'une personne est une donnée à caractère personnel. Pour vous appuyer sur les droits prévus par le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) vous devez prouver que l'on vous reconnait.
La diffamation consiste à affirmer un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne. Le fait en question doit être suffisamment précis pour pouvoir faire l'objet de preuve. Exemple : Déclarer lors d'un débat public qu'un adversaire politique est un « repris de justice ».