Le somnambulisme est un problème de santé, et doit donc faire l'objet d'une consultation auprès d'un généraliste. Ce dernier peut adresser son patient à un spécialiste du sommeil, professionnel de santé qui peut trouver des solutions adaptées.
De nombreux facteurs peuvent également déclencher des épisodes de somnambulisme, notamment : La fatigue. La privation de sommeil. Le stress et l'anxiété
Pendant la phase de somnambulisme, la personne atteinte est dans un état de conscience situé entre le sommeil et la veille. L'arrière du cerveau est suffisamment éveillé pour voir, agir et interagir, mais l'avant du cerveau est encore endormi.
Il est très probable que certains facteurs génétiques jouent un rôle : 80 pour cent des somnambules ont quelqu'un d'autre dans leur famille qui en souffre ou qui en a déjà souffert. Le stress peut également y contribuer, comme par exemple l'inscription à l'école ou une nuit passée en dehors de chez soi.
Si vous êtes confronté à une personne en pleine crise de somnambulisme, la meilleure solution reste de lui parler calmement et de la reconduire en douceur vers son lit, en la tenant par le bras. Une fois couchée, elle va se rendormir.
Le somnambulisme n'est pas une maladie, et aucun traitement médical n'est donc nécessaire pour le supprimer. Le plus souvent, il disparaît de lui-même pendant l'enfance.
Le somnambulisme survient plus fréquemment pendant l'enfance qu'à l'âge adulte. La crise est généralement bénigne, mais les patients peuvent se mettre en danger. C'est pourquoi comprendre les causes du somnambulisme est essentiel afin de mettre en place les bons comportements.
Ce n'est ni du sommeil, ni de l'éveil : réveiller un somnambule, c'est en quelque sorte comme réveiller une personne en train de rêver. Pas de risque cardiaque ou neurologique, mais cela peut provoquer de la mauvaise humeur ou de l'angoisse.
Comment réagir ? Tout comme pour le somnambulisme, il est conseillé de parler à l'enfant doucement et lentement, de lui caresser le bras ou le front, sans toutefois le réveiller ; cela peut l'aider à réintégrer un sommeil paisible.
Réveiller un somnambule, c'est réveiller la partie corticale du cerveau. A proprement parler, il n'y a pas de risque neurologique pour le dormeur. Cependant le réveil peut être lent et le sujet peut trébucher ou chuter. C'est la raison pour laquelle il convient d'être doux et progressif.
Le somnambule va se lever en ayant les yeux ouverts avec un regard inexpressif et se déplacer dans sa maison. Il est néanmoins capable de répondre à des questions simples et peut effectuer certains ordres et des actions simples. Il peut éviter des meubles, descendre les escaliers, attendre quelque chose.
En règle générale, on remarque que le somnambulisme apparaît chez l'enfant entre l'âge de 3 ans et 10 ans.
Il existerait même un gène responsable du somnambulisme ; Stress et anxiété : une période de stress intense peut provoquer une crise de somnambulisme chez l'enfant et se répéter si l'anxiété perdure ; Manque de sommeil : un enfant qui n'atteint pas son quota de sommeil peut devenir somnambule.
Il est alors conseillé de le réveiller par la parole, en l'appelant d'une voix forte et haute, plutôt qu'en le secouant.
En revanche, réveiller le dormeur n'est quand même pas sans risque. Lorsqu'il est réveillé brusquement, le somnambule peut même rester plusieurs minutes dans un état de confusion, dit «d'inertie du sommeil», durant lequel il a du mal à se repérer dans l'espace et risque de faire une mauvaise chute.
Les somnambules peuvent interagir avec ce qui les entoure mais cette interaction n'est pas logique. Ils sont dans l'imagerie du sommeil. C'est presque comme s'ils avaient une hallucination. » Réveiller un somnambule, en le secouant, peut juste le réveiller… mais cela peut aussi déclencher un comportement de fuite.
− (Personne) qui pendant son sommeil se livre à des actes automatiques comme la marche, la parole et qui n'en garde aucun souvenir à son réveil; (personne) qui est atteint(e) de somnambulisme.
Parler dans son sommeil arrive même plus souvent en cas de sommeil profond : “on peut être somniloque dans tous les stades du sommeil. Cela arrive surtout dans le sommeil profond et paradoxal”, affirme encore la chercheuse. Si vous parlez la nuit, vous n'êtes pas malade.
« Ces résultats suggèrent que le somnambulisme a une forte composante génétique, de même que les terreurs nocturnes (surviennent plutôt en début de nuit. Différentes des cauchemars, elles se manifestent par des crises, des hurlements dans le sommeil, NDLR), dans une moindre mesure.
Si votre enfant est somnambule, il faut éviter les lits superposés. On va ensuite pouvoir le soigner en agissant sur la qualité du sommeil. En d'autres termes, favoriser les horaires réguliers. Il y a par exemple des systèmes de réveils programmés : les crises de somnambulisme se produisent souvent en début de nuit.
C'est relativement rare, mais ça arrive. C'est pour cela que quand une personne est sujette au somnambulisme, il faut se méfier des fenêtres ouvertes, et des meubles sous les fenêtres qui permettent de les franchir facilement. Mais généralement, le somnambulisme est bénin et banal.
Les parasomnies du sommeil lent profond comprennent les éveils confusionnels, les terreurs nocturnes et le somnambulisme. Les parasomnies associées au sommeil paradoxal incluent les cauchemars, les paralysies du sommeil et le trouble du comportement en sommeil paradoxal.
Le sentiment est tellement puissant et donne une contraction violente et furtive au niveau d'un groupe de muscles. Cette contraction est susceptible de vous réveiller en sursaut et le cœur lui-même peut s'emballer. Peu de temps après, vous vous sentirez plus léger.
Définition. Les sursauts de sommeil soudains et totalement involontaires sont provoqués par les myoclonies (contraction des muscles).