Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu'il vienne demain.
- au subjonctif : après les verbes impersonnels (ou de forme impersonnelle) construits positivement exprimant le doute, la seule possibilité, l'obligation (Il est nécessaire que vous soyez... Il est possible que vous soyez... Il est urgent que vous soyez...
Il est quasiment certain que Maria viendra. Mais après "il est possible que", il faut toujours employer le subjonctif.
Lorsque la proposition principale exprime un sentiment, un désir, un souhait, un ordre ou une attente, on utilise également le subjonctif car on ne peut jamais savoir si cela va se réaliser.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Jusqu'à ce que + subjonctif. Il recula un peu jusqu'à ce qu'il eût atteint le lit. Toutefois on trouve l'indicatif dans certains textes littéraires, si le fait à exprimer est certain, et surtout s'il se rapporte au passé.
Exemples – Verbe aimer
Subjonctif présent : que j'aime. Subjonctif imparfait : que j'aimasse. Subjonctif passé : que j'aie aimé. Subjonctif plus-que-parfait : que j'eusse aimé.
On utilise le subjonctif dans ce cas pour indiquer le doute. Par exemple: Je cherche une personne qui peut m'aider. (Il existe une personne qui est capable de m'aider.
Généralement, dans les livres de grammaires, on vous explique que : le subjonctif est un mode utilisé dans les subordonnées introduites par “que” pour exprimer des sentiments, des opinions, des doutes, des souhaits, des incertitudes, des possibilités, des hypothèses ou encore des conseils.
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
Valeur du subjonctif
C'est le mode du doute, de l'indécision, de la crainte et de la volonté : Je veux que tu viennes. Il se peut qu'il vienne. Contrairement à l'indicatif, qui exprime une action qui existe réellement, le subjonctif exprime une action envisagée dans sa virtualité par le locuteur.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ».
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
- subordonnée complétive introduite par : que , à ce que, de ce que... On emploie le subjonctif si la valeur de vérité de ce qui est dit est mise en doute sinon on emploie l'indicatif.
Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes. Je crains qu'il ne comprenne pas.
Attention : les verbes tels que penser que et croire que à la forme négative sont suivis du subjonctif : Je ne pense pas qu'il soit si vieux. Elle ne croit pas que je puisse arrêter de fumer.
Les terminaisons du subjonctif sont les suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (sauf pour avoir et être). Elles s'ajoutent, en général, au radical du participe présent. Certains verbes du 3e groupe se conjuguent sur deux radicaux.
Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
Je sais que où que est toujours suivi du subjonctif. Où que je sois allée, il n'y avait pas un chat.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Avant que est suivi du subjonctif. Après que est suivi de l'indicatif.
Le mieux est sans doute d'utiliser le futur puisqu'il s'agit d'une action à venir.