De nombreuses études semblent indiquer que l'alcool ouvre l'appétit alors que ses apports caloriques devraient nous le couper. Et pendant les repas il retarde la satiété, si bien que l'on continue à manger alors qu'on devrait avoir arrêté depuis longtemps.
Ainsi, au-delà de sa densité énergétique, l'alcool semble « permuter » le cerveau en mode « appétit ». Ces scientifiques britanniques expliquent, dans la revue Nature Communications, comment l'alcool entraîne un surcroît d'activité chez un groupe de cellules du cerveau impliqué dans la régulation de l'appétit.
Alcool régime : quel est le vin le moins calorique ? Verdict : le vin le moins calorique est le vin blanc sec, qui contient environ 56 kcal par verre d'alcool. A contrario, les alcools forts et purs comme l'eau de vie, la vodka, le whisky on the rock ou le pastis dépassent largement les 200 calories chacun !
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
Une consommation qui ne pose pas de problème
Les résultats obtenus ont permis aux experts des institutions et universités espagnoles de signer un consensus sur le sujet. L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé.
En effet, la levure qui entre dans la composition de cette boisson (alcoolisée ou non) assure une teneur en gaz carbonique. D'où la présence des petites bulles dans un verre ou une bouteille de bière. Le gaz carbonique dans l'organisme a pour effet de faire gonfler le ventre s'il est absorbé en excès.
Alterner alcool et eau
L'eau est la boisson la moins calorique du monde. C'est donc une bonne chose d'alterner un peu, surtout si on boit en parallèle un alcool très calorique ! Et s'il est plus que conseillé de boire de l'eau quand on boit de l'alcool, c'est parce que l'alcool déshydrate incroyablement l'organisme.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Il est scientifiquement prouvé qu'arrêter l'alcool permet de perdre du poids. En une seule semaine vous pouvez éliminer de 0.5 kg à 2 kgs. Au bout de quatre semaines, la perte de graisse est plus marquée et on commence à percevoir un vrai changement.
En réalité, le vin est même plus calorique que la bière. Ainsi, 25 cl de bière correspondent à 150 calories, contre 180 pour la même quantité de vin rouge.
De la bière riche en vitamines et en antioxydants
Comme elle le rapporte dans son rapport, la bière est en réalité moins calorique que le vin et que certains jus de fruits, et ne fait donc pas grossir davantage que ces deux boissons tant qu'elle est consommée avec modération.
La bière riche en glucides, protéines, vitamines et minéraux, est relativement peu calorique (40 Kcal pour 10cl), moins que le vin (55 Kcal), les sodas (60 Kcal) et surtout que le whisky (260 Kcal).
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
L'alcool détruit les nerfs, d'où l'état de fatigue
Mais la fatigue chronique apparaît surtout chez les buveurs invétérés, autrement dit les alcooliques. En effet, l'alcool attaque à la fois les neurones et les cellules du foie.
La bière faciliterait les érections
Selon elle, et à raison d'une pinte par jour, cette quantité de fer stimulerait la production de globules rouges et leur circulation. Un phénomène qui faciliterait les érections, permettant ainsi l'augmentation de leur fréquence et leur durée.
La bonne bière ne se déguste jamais trop froide. On évite par exemple de la servir glacée car le palais sera anesthésié par le froid et vous ne ressentirez aucune subtilité d'arômes et saveurs. Si votre bière sort du réfrigérateur, attendez entre 5 et 10 minutes avant dégustation pour qu'elle se réchauffe légèrement.
Le vin, la bière et les spiritueux contribuent tous à un endormissement rapide (en termes plus techniques, ils "réduisent la latence d'endormissement") mais les experts sont unanimes: en buvant avant le coucher, on risque de se réveiller au milieu de la nuit et de dormir moins profondément.
Consommation excessive de la bière : les effets sur le foie
Étant interrompue, la première conséquence est la formation d'un dépôt de graisse à l'intérieur des cellules hépatites, appelée stéatose. Si la consommation excessive persiste, il s'ensuit une destruction des cellules du foie.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.