La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
Vodka, rhum, whisky, gin et tequila
Occasionnellement, vous ne risquez rien. Boire un bon verre d'alcool de temps en temps : c'est permis, même lorsque vous surveillez votre cholestérol.
Bière et cholestérol
Glucides et alcool peuvent provoquer l'augmentation du niveau de triglycérides. L'impact négatif de la bière sur le cholestérol est donc lié à sa teneur en sucre. Bien sûr, vous pouvez toujours continuer à vous faire plaisir, tout en faisant attention à votre consommation !
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
D'une part, l'alcool augmente le taux de cholestérol HDL dans le sang, d'autre part, la consommation excessive d'alcool a de nombreux effets néfastes. En effet, il augmente la pression artérielle (la tension) et induit une libération plus importante de triglycérides dans le sang.
Consommez des graisses mono-insaturées
Vous les trouverez, entre autres, dans l'huile d'olive, l'huile de canola, les amandes, les noix, les noix de pécan et les noix de cajou. Ces types de graisses sont très efficaces pour faire baisser le mauvais cholestérol et augmenter le bon.
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
Une consommation excessive d'alcool nuirait ainsi à l'élasticité des artères, interférerait avec la circulation du sang et pourrait augmenter le risque de maladie cardiovasculaire. Les chercheurs ont constaté que les artères des grands consommateurs d'alcool étaient plus rigides que celles des consommateurs modérés.
Le saumon, les sardine, le hareng, le maquereau ou les anchois sont riches en oméga-3 pour maintenir son cholestérol. Des graines de lin. Concentrées en phytostérols, en oméga-6 et en fibres elles sont aussi pauvres en graisses saturées ce qui en font des atouts anti cholestérol.
Le cholestérol élevé n'a pas de symptôme. Seule une analyse sanguine peut détecter un taux de cholestérol élevé.
Fruits et légumes frais : sources naturelles de fibres
Optez pour les plus riches en fibres : petit pois, céleri, maïs, poireau, chou, fenouil, carotte, haricot vert, fruits rouges, fruits de la passion, kiwi, poire, prune.
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
Les fibres solubles sont particulièrement utiles pour réduire le taux de cholestérol LDL. Consommez des aliments riches en fibres solubles tous les jours. Voici des exemples : avoine, son d'avoine, psyllium, graines de lin, orge, haricots, pois, lentilles, aubergines et gombos.
Mauvais cholestérol (LDL) : inférieur à 2,6 pour les personnes à risque élevé, inférieur à 1.8 pour les personnes à risque très élevé (si vous avez souffert d'un infarctus du myocarde ou que vous êtes atteint d'athérosclérose)
En buvant trois bières de 50cl tous les jours, ce qui représente six verres standards (le verre standard de bière à 5° étant de 25cl), votre conjoint est au-dessus du seuil qu'il est recommandé de ne pas dépasser, à savoir dix verres standards par semaine et pas plus de deux verres standard par jour.
La raison est très simple : on retrouve du gaz carbonique dans la bière, car il s'agit d'une boisson gazeuse. Lorsque l'on boit une bière, on peut d'ailleurs constater que notre ventre a tendance à se gonfler, car ce gaz carbonique va distendre l'estomac et donc créer ce ventre à bière, mais d'abord temporairement.
Si vous souffrez d'hépatite ou d'une autre forme de maladie du foie, évitez toute consommation d'alcool. L'alcool peut amplifier les dommages au foie.
On privilégiera le lait ½ écrémé, les yaourts natures (vache comme chèvre), les fromages blancs 0 ou 20 % de matières grasses et on limitera le lait entier et ses dérivés.
- Privilégier la margarine végétale au beurre. - Préférer les huiles d'olive, de maïs, de colza, de tournesol, de noix. - Éviter la charcuterie mis à part le jambon cru et le jambon blanc. - Limiter la consommation d'œufs à deux fois par semaine (4 maximum).
La vodka-soda est bonne pour le cœur car elle augmente la circulation sanguine. Cette boisson peut également aider à prévenir les accidents vasculaires cérébraux, les caillots sanguins et d'autres types de problèmes cardiaques.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure.
Voilà donc les questions à vous poser pour savoir si, même si vous n'êtes pas forcément dépendant, votre consommation est excessive. Selon l'OMS, un homme boit trop dès lors qu'il boit plus de 21 verres par semaine (3 par jour). Pour une femme, les chiffres sont différents : 14 par semaine (2 par jour).