Il est prouvé qu'une psychothérapie peut aider à vaincre des troubles tels que : la dépression, les troubles anxieux, les troubles de l'alimentation ou encore les troubles de personnalité. 70% des patients qui ont suivi une psychothérapie se sentent mieux qu'avant.
70% des malades réagissent favorablement. Leur évaluation est un domaine qui s'est beaucoup développé ces dernières années, et les résultats sont tous concordants: elles sont efficaces, parfois plus que certains traitements de la médecine somatique.
Pour plusieurs personnes cherchant de l'aide pour des problèmes sérieux, dit-il, le " vieux style de psychothérapie " n'est généralement pas utile. Pour la dépression, par exemple, ruminer sur les possibles causes inconscientes (psychanalyse) de la détresse peut en fait accentuer cette dernière.
Car le manque d'échange constructif entre un patient et son thérapeute au début de la relation peut aussi annoncer une « mésalliance thérapeutique » qui est l'une des principales causes de la stagnation, voire de l'échec du processus, toutes écoles confondues.
Les psychologues sont formés dans plusieurs différents types de psychothérapies, mais celle qui a été prouvée et confirmée pour aider efficacement les personnes souffrant de dépression, d'anxiété, de stress, des problèmes d'adaptation, etc. est la thérapie cognitivo-comportementale (TCC).
Après quelques séances, on se sent généralement mieux. On peut remarquer aussi la diminution des symptômes. Puis lorsque l'on avance un peu plus dans le suivi, des choses que l'on avait refoulées peuvent resurgir. C'est dans ces moments-là qu'en effet on peut se sentir moins bien.
Car le psychanalyste est un être humain comme tout le monde, qui a des opinions et qui aime bien les proclamer. Il y a toutes sortes de silences. Il y a le silence de l'analyste et celui du patient. De plus, pour chaque patient, dans ce silence, il se passe quelque chose de singulier.
Il est prouvé qu'une psychothérapie peut aider à vaincre des troubles tels que : la dépression, les troubles anxieux, les troubles de l'alimentation ou encore les troubles de personnalité. 70% des patients qui ont suivi une psychothérapie se sentent mieux qu'avant.
Tout dépend de la méthode de travail mais en général 01 heure. Il peut y avoir des séance de 30 minutes, d'autres d'01h30. Souvent les rendez-vous ont lieu une fois par semaine mais il peut aussi y avoir des séances tous les quinze jours ou deux séances par semaine parfois trois.
S'il n'y a pas de bonne manière de procéder, l'idéal c'est d'en parler : "le simple fait de dire à son thérapeute 'j'ai envie qu'on arrête de se voir, mais j'ai peur de vous le dire' est un bon moyen de sauter le pas", confie la psychologue clinicienne.
Quand une analyse ou une psychothérapie sont " vraiment " finies, cela s'impose en général à l'analyste comme au patient : le patient sent qu'il a retrouvé sa route et l'analyste " l'entend ". Comme une évidence.
Pas besoin d'être dans un piètre état, l'écoute du psychologue se veut sans jugement et vise à apaiser votre souffrance, vous faire tourner la page sur un évènement, vous guider lors d'une réflexion profonde, vous aider à vous découvrir, et bien plus encore !
Face à un trouble existentiel persistant, une anxiété qui s'installe, une humeur qui s'emballe… entamer une psychothérapie peut être une réponse appropriée. A condition d'être prêt à s'engager dans un « travail » souvent exigeant mais réellement structurant.
La plus en vogue appuyée par des études scientifiques est la méditation pleine conscience. On pourrait la qualifier de psychothérapie, car elle permet de se réguler seul. La méditation pleine conscience est souvent un adjuvant à une TCC ou une autre psychothérapie.
« Les psychologues ne pratiquent pas tous la psychothérapie. Quelqu'un peut avoir le titre de psychologue et être un chercheur, professeur, conseiller ou œuvrer en psychologie industrielle, etc. Ainsi, le psychologue qui exerce la psychothérapie est un psychologue-psychothérapeute.
Les blancs lors d'une conversation sont également une excellente occasion de réfléchir sur votre thérapie : parlez de ce que vous aimez (ou n'aimez pas) lors des séances. Reconnaissez les progrès que vous avez accomplis. Discutez d'expériences passées que vous voudriez approfondir un peu plus.
Il existe plusieurs sortes de thérapies brèves : l'hypnose ericksonienne, la programmation neurolinguistique (PNL), les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), les thérapies corporelles, la TOS (théorie orientée solution), ainsi que l'EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing).
Combien coûte une séance chez un psychologue ? Selon les zones géographiques et les praticiens, le tarif de la consultation varie considérablement : à Paris, comptez entre 50 et 120€ la séance, en province, les tarifs baissent sensiblement et s'échelonnent de 40 à 90€ en moyenne.
Pour soigner une dépression, la psychothérapie peut être recommandée. Seule, si elle est légère ou associée à des antidépresseurs, si sa forme est plus sévère. La plus pratiquée: la thérapie cognitivo-comportementale (TCC).
En cela, la thérapie par l'hypnose ne peut être qu'efficace. L'inconscient est un réservoir de ressources, d'apprentissages, de savoirs quasi inépuisable. Parce-que, en état modifié de conscience (ou état hypnotique), cette partie de l'esprit contourne les blocages conscients et même inconscients.
Faire preuve de curiosité, oser la nouveauté « On ne résout pas les problèmes avec les modes de pensée qui les ont engendrés. » Avec une psychothérapie, vous vous engagez dans un processus de changement qui vous permettra de mieux prendre soin de vous.
Ensuite un bon psy (psychologue ou psychiatre) ne doit pas acquiescer à tout ce que vous dites. Il doit explorer, reformuler, recontextualiser. En effet, son rôle est aussi de vous aider à prendre de la distance sur les choses que vous vivez.
Vous ne vous sentez pas à l'aise avec votre psy
Vous vous sentez lassée des séances et traînez du pied pour vous y rendre. Vous avez l'impression que votre psy ne fait qu'écouter sans rien vous proposer. Vous avez le sentiment que votre psy ne vous comprend pas.
Qu'il demeure indifférent devant quelqu'un qui vient de rompre ou de perdre un parent, c'est cela qui signale le mauvais psy ». « Un psy soigne d'abord avec ce qu'il est, avec son désir de guérir, insiste Pierre André, psychothérapeute.