Si le stress n'est pas la cause principale de l'hypertension artérielle, il peut néanmoins la favoriser, voire l'aggraver. De manière générale, on remarque une augmentation de la pression artérielle chez une personne exposée à un stress. Elle ne dure généralement pas au‑delà de la période d'exposition au stress.
Le stress est un phénomène physiologique qui se déclenche lorsque nous sommes en danger imminent ou lorsque nous devons nous adapter à une situation inconfortable. Dans ce cas, la pression artérielle augmente, le cœur accélère son rythme, nos poumons délivrent plus d'oxygène, bref, le corps se défend et agit.
L'agitation intérieure est généralement ressentie comme quelque chose de négatif. Elle se manifeste généralement par de la tension, des difficultés de concentration, de l'agitation et de la nervosité ainsi que par une sensibilité à fleur de peau et une irritabilité envers les autres.
En effet, quand quelque chose nous rend anxieux, le système nerveux sympathique déclenche une réaction de combat ou de fuite qui augmente la fréquence cardiaque, et par conséquence la tension artérielle.
Pratiquer la cohérence cardiaque
Cette technique vise, grâce au contrôle de la respiration, à ralentir le rythme cardiaque. Elle consiste à effectuer six respirations par minute pendant 5 minutes, et cela, trois fois par jour (matin, midi, fin d'après-midi).
Se reposer et prendre un antalgique pour calmer la douleur. Si le mal de tête ne passe pas au bout d'une heure ou deux et si la douleur est inhabituelle, on peut prendre l'avis de son médecin.
Les facteurs de risque modifiables sont l'alimentation déséquilibrée (consommation excessive de sel ou de graisses saturées et d'acides gras trans, et consommation insuffisante de fruits et de légumes), la sédentarité, la consommation de tabac et d'alcool, et le surpoids ou l'obésité.
La fatigue ne fait pas augmenter la pression artérielle. Ce sont plutôt des valeurs de tension élevées qui peuvent donner un sentiment de fatigue, tout comme des tensions trop basses, ou également le traitement antihypertenseur les premiers jours.
Si le stress n'est pas la cause principale de l'hypertension artérielle, il peut néanmoins la favoriser, voire l'aggraver. De manière générale, on remarque une augmentation de la pression artérielle chez une personne exposée à un stress. Elle ne dure généralement pas au‑delà de la période d'exposition au stress.
La gravité peut augmenter à mesure de leur survenue. La douleur peut varier en intensité dans la journée, mais est presque toujours présente. Les céphalées de tension sont rarement sévères et en général ne perturbent pas les activités de la vie quotidienne.
L'hypertension artérielle, ou HTA, se caractérise par un chiffre de tension systolique supérieur à 140 et un chiffre de pression diastolique supérieur à 90, ou plus communément, une tension artérielle supérieure à 14/9.
Une tension à 15/8 (150/80 mmHg) est considérée comme une pression artérielle élevée. Si plusieurs mesures de la tension confirment ce chiffre, contactez votre médecin pour un examen plus approfondi.
Parfois ces chiffres peuvent être beaucoup plus élevés avec des situations d'élévation tensionnelle supérieure ou égale à 180 mmHg pour la systolique et/ou supérieure ou égale à 110 mmHg pour la diastolique. Celles-ci définissent une hypertension sévère ou de grade 3.
Quels sont les chiffres d'une tension artérielle normale ? Une tension est dite normale lorsqu'elle est inférieure à 140/90 mmHg au cabinet médical. Lorsque la TA est prise en automesure ou en MAPA, elle est normale lorsqu'elle est inférieure à 135/85 mmHg.
Lutter contre la sédentarité permet de diminuer l'hypertension artérielle. Il est conseillé d'avoir une activité physique quotidienne en marchant par exemple au moins 30 minutes. Les sports d'endurance comme la natation, la course à pied, la marche, le vélo, le golf…
Première chose à savoir : on peut avoir 15 ou 16 de tension en permanence, sans jamais avoir le moindre symptôme. L'hypertension artérielle est donc un "tueur silencieux" : ceux qui en souffrent ont plus de risques de faire un infarctus ou un accident vasculaire cérébral (AVC), mais aussi un Alzheimer.
Il s'agit, par exemple, de l'exercice de la chaise ou de la planche. En suivant le rythme de 4 séries de 2 minutes, avec une pause de 1 à 4 minutes entre chacune, 3 fois par semaine, la pression systolique (le chiffre du haut sur un tensiomètre) diminue de 8 mm de mercure (mmHg), et la pression diastolique de 4 mmHg.
Modérer sa consommation de préparations culinaires industrielles, de céréales, de pain, de fromages, de charcuteries, d'aliments et de poissons fumés, de coquillages et de crustacés souvent riches en sel. Éviter d'utiliser dans la préparation des plats la sauce au soja et les cubes culinaires.
Au rang des traitements les plus consommés, les antidépresseurs, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou encore les corticostéroïdes. Parmi les médicaments à risque figurent aussi des traitements de la maladie de Parkinson, des antimigraineux ou encore des contraceptifs oraux.