L'emphysème est, le plus souvent, l'évolution d'une bronchite chronique. Le diagnostic de bronchite chronique est évoqué devant l'existence d'une toux intermittente, quotidienne. Les expectorations sont nombreuses.
Il n'existe aucun traitement curatif mais l'arrêt du tabac, certains traitements (bronchodilatateurs) et la réhabilitation respiratoire peuvent ralentir la progression de la maladie. Le traitement peut également être chirurgical dans les cas d'emphysème très sévères (greffe de poumon).
Parmi les agonistes-bêta2, on trouve le salbutamol (Ventolin®) et la terbutaline (Bricanyl®), à courte durée d'action (4 à 6 heures), et le formotérol (Oxeze®) et le salmétérol (Serevent®), à longue durée d'action (12 heures).
une sensation d'oppression thoracique parfois douloureuse ; une respiration accélérée avec une diminution des mouvements respiratoires (parfois avec une phase d'expiration plus longue) ; la cage thoracique qui se rétrécit et une mobilité très faible.
Les expectorations sont nombreuses. Les difficultés respiratoires sont progressives, persistantes et aggravées par les efforts ou les infections. Au stade de l'emphysème, les efforts sont, en général, limités. La personne a du mal à dormir à plat dos.
Plus sensible que la radiographie du thorax, le scanner thoracique est l'examen de référence pour le diagnostic de l'emphysème 8.
Introduisez la technique de respiration à lèvres pincées : inspirez par la bouche si vous n'êtes pas capable de le faire par le nez : pincez vos lèvres pour expirer. Ralentissez progressivement votre respiration en prenant plus de temps pour expirer que pour inspirer. Ne forcez pas vos poumons à se vider.
L'emphysème centrolobulaire est le plus fréquemment retrouvé, plus souvent dans les parties supérieures des poumons, et correspond à la destruction des bronchioles respiratoires et des canaux alvéolaires proximaux (figure 1).
En arrêtant de fumer, ou en se soustrayant à l'exposition professionnelle en cause, il est possible de stabiliser la maladie», insiste le Pr Huchon.
Sans cela, la détérioration de la maladie ne peut être arrêtée. En moyenne, l'espérance de vie pour un emphysème pulmonaire est de 48 ans pour les fumeurs et de 67 ans pour les non-fumeurs. En outre, il est essentiel de commencer le traitement le plus tôt possible pour éviter une nouvelle destruction des poumons.
Au début de la maladie, les symptômes sont parfois peu nombreux. Le dommage subi par les alvéoles cause un essoufflement à l'effort qui est généralement le premier symptôme. Au fur et à mesure que l'emphysème évolue, l'essoufflement peut être ressenti même au repos.
L'emphysème ne peut pas être guéri, mais il est possible de ralentir la progression de la maladie et de vivre plus confortablement avec les symptômes. Le meilleur traitement contre l'emphysème est de cesser de fumer et de se tenir loin des endroits où il y a de la fumée.
Emphysème pulmonaire
L'emphysème est une maladie pulmonaire qui se caractérise par la destruction des alvéoles pulmonaires.
Dans la plupart des cas, l'emphysème est une complication de la BPCO, mais le vieillissement entraîne également une perte d'élasticité des alvéoles, même chez les non-fumeurs. Celle-ci peut être suffisamment grave pour être considérée comme de l'emphysème.
Parmi elles, figure l'HE d'Eucalyptus radié : anti-infectieuse, stimulante immunitaire et expectorante. Elle permet d'évacuer plus facilement le mucus broncho-pulmonaire. Le principe : en diluer 2 gouttes dans de l'huile d'amande douce puis appliquez le mélange sur votre sternum et le haut de votre dos en massant bien.
En l'absence de prise en charge efficace du facteur favorisant (le tabac), l'emphysème évolue progressivement vers une insuffisance respiratoire. Et, parfois, même lorsque le sevrage tabagique est effectué, l'emphysème gagne en intensité et la fonction respiratoire décline.
La bulle d'emphysème est définie comme une distension supérieure à 1cm d'un espace aérien situé au-delà des bronchioles terminales [1].
Le signe à repérer: une difficulté brutale à respirer. C'est peut-être une embolie pulmonaire. Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
Les médicaments anticholinergiques délivrés dans la BPCO ont un effet antisécrétoire et donc asséchant. Parmi les petits moyens, les pastilles à la menthe peuvent calmer la toux, de manière transitoire car la menthe agit sur les récepteurs de la toux au niveau de la gorge. Des sirops à l'eucalyptus, au miel…
La marche nordique est un sport particulièrement bien adapté aux pathologies respiratoires.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Symptômes. Une toux traînante, des crachats de sang, des infections pulmonaires, un essoufflement, des douleurs thoraciques localisées, une fièvre prolongée, un amaigrissement ou une fatigue anormale sont autant de signes pouvant révéler un cancer des bronches, particulièrement chez des fumeurs.
L'emphysème »paraseptal« (également appelé «acinaire distal») affecte principalement les canaux alvéolaires. La distribution de l'emphysème est également évaluée, avec une distinction faite entre emphysème «homogène» et emphysème «hétérogène».
Le traitement repose sur des bronchodilatateurs : ce sont des sprays qui dilatent les bronches et permettent donc de mieux respirer. Selon votre situation, le médecin peut vous prescrire deux types de bronchodilatateurs, à courte ou longue durée d'action.