Plus sensible que la radiographie du thorax, le scanner thoracique est l'examen de référence pour le diagnostic de l'emphysème 8.
Une radiologie pulmonaire est indiquée pour mettre en évidence un foyer pulmonaire lors de surinfection ou de l'emphysème. Le scanner thoracique permet de préciser les zones de poumon touchées par l'emphysème, surtout lorsque celui-ci n'est pas généralisé. Il montre également les anomalies des petits vaisseaux.
une sensation d'oppression thoracique parfois douloureuse ; une respiration accélérée avec une diminution des mouvements respiratoires (parfois avec une phase d'expiration plus longue) ; la cage thoracique qui se rétrécit et une mobilité très faible.
Les symptômes de l'emphysème pulmonaire les plus courants, et plus généralement des bronchopneumopathies chroniques obstructives, sont un essoufflement lors d'activités quotidiennes (une dyspnée), une sensation de manquer d'air et d'oppression au niveau de la poitrine, une respiration sifflante, une toux chronique ...
Les expectorations sont nombreuses. Les difficultés respiratoires sont progressives, persistantes et aggravées par les efforts ou les infections. Au stade de l'emphysème, les efforts sont, en général, limités. La personne a du mal à dormir à plat dos.
Quel est le mécanisme d'apparition d'un emphysème pulmonaire ? La principale cause de l'emphysème est le tabagisme mais l'exposition à des substances chimiques peuvent également en être responsable. Le tabac ou les substances chimiques détruisent progressivement les alvéoles et les vaisseaux sanguins des poumons.
- L'essoufflement, une impression de fatigue, une perte de poids, un sentiment d'oppression dans la poitrine et une respiration sifflante sont d'autres symptômes caractéristiques d'un emphysème.
Stade I : léger, VEMS supérieur ou égale à 80% Stade II : modéré, VEMS comprise entre 50 et 80% Stade III : sévère, VEMS comprise entre 30 et 50% Stade IV : très sévère, VEMS inférieur à 30%
En l'absence de prise en charge efficace du facteur favorisant (le tabac), l'emphysème évolue progressivement vers une insuffisance respiratoire. Et, parfois, même lorsque le sevrage tabagique est effectué, l'emphysème gagne en intensité et la fonction respiratoire décline.
Ralentissez progressivement votre respiration en prenant plus de temps pour expirer que pour inspirer. Ne forcez pas vos poumons à se vider. Continuez à expirer lentement tout en gardant les lèvres pincées ; commencez à inspirer par le nez si vous ne l'avez pas fait jusqu'à maintenant.
L'emphysème centrolobulaire est le plus fréquemment retrouvé, plus souvent dans les parties supérieures des poumons, et correspond à la destruction des bronchioles respiratoires et des canaux alvéolaires proximaux (figure 1).
Sans cela, la détérioration de la maladie ne peut être arrêtée. En moyenne, l'espérance de vie pour un emphysème pulmonaire est de 48 ans pour les fumeurs et de 67 ans pour les non-fumeurs. En outre, il est essentiel de commencer le traitement le plus tôt possible pour éviter une nouvelle destruction des poumons.
Emphysème pulmonaire
L'emphysème est une maladie pulmonaire qui se caractérise par la destruction des alvéoles pulmonaires.
Dans la plupart des cas, l'emphysème est une complication de la BPCO, mais le vieillissement entraîne également une perte d'élasticité des alvéoles, même chez les non-fumeurs. Celle-ci peut être suffisamment grave pour être considérée comme de l'emphysème.
Pour ces patients, le seul recours thérapeutique est chirurgical, avec une opération visant à réduire les zones d'emphysème par une réduction chirurgicale du volume pulmonaire (le chirurgien découpe les zones les plus atteintes pour permettre aux zones moins atteintes de fonctionner).
L'emphysème ne peut pas être guéri, mais il est possible de ralentir la progression de la maladie et de vivre plus confortablement avec les symptômes. Le meilleur traitement contre l'emphysème est de cesser de fumer et de se tenir loin des endroits où il y a de la fumée.
Mais en cas d'emphysème, comme l'air reste dans les poumons, il les alourdit. Il pèse sur le diaphragme qui n'arrive plus à remonter. Bilan : un diaphragme qui ne fonctionne pas, des alvéoles pulmonaires détruites, le malade n'arrive plus à respirer normalement. Dès qu'il fait un effort, c'est l'essoufflement.
La marche nordique est un sport particulièrement bien adapté aux pathologies respiratoires.
Emphysème primitif : le taux d'invalidité sera évalué en fonction des critères d'insuffisance respiratoire définis au chapitre concerné. - asthme avec gêne intercritique et asthme à dyspnée continue : 70 à 100 %.
Un simple essoufflement est habituel après un effort. Il s'agit d'une réaction naturelle de l'organisme qui lui permet de s'oxygéner normalement. Pas d'inquiétudes dans ce cas-là.
La bulle d'emphysème est définie comme une distension supérieure à 1cm d'un espace aérien situé au-delà des bronchioles terminales [1].
Le signe à repérer: une difficulté brutale à respirer. C'est peut-être une embolie pulmonaire. Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
En arrêtant de fumer, ou en se soustrayant à l'exposition professionnelle en cause, il est possible de stabiliser la maladie», insiste le Pr Huchon.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Parmi elles, figure l'HE d'Eucalyptus radié : anti-infectieuse, stimulante immunitaire et expectorante. Elle permet d'évacuer plus facilement le mucus broncho-pulmonaire. Le principe : en diluer 2 gouttes dans de l'huile d'amande douce puis appliquez le mélange sur votre sternum et le haut de votre dos en massant bien.