Et de fait, ils ne ressentent plus leur poids. Ils sont en impesanteur. La trajectoire d'un satellite, ou même de la Lune, est une trajectoire de chute libre. Ils sont tous deux prisonniers du champ d'attraction terrestre mais ils restent sur leur orbite grâce à leur vitesse.
En réalité, porter une « couche » n'est pas nouveau pour les astronautes, qui en sont toujours équipés notamment lorsqu'ils sont en mission extravéhiculaire.
Réponse 1) C'est parce qu'il n'y a plus d'attraction terrestre, qui nous attire vers le sol, et nous donne d'ailleurs une masse, un poids. Réponse 2) C'est à cause du vide spatial, qui supprime la masse des objets et donc des hommes.
LE SOMMEIL DES ASTRONAUTES DANS L'ESPACE
Dans l'espace, il n'y a pas de « haut » ou de « bas », mais une microgravité. Cela signifie que les astronautes sont en apesanteur et peuvent dormir dans n'importe quelle position.
À bord de l'ISS, les astronautes font pipi dans un tuyau. Leur urine tombe ensuite dans un réservoir très spécial appelé Urine Processor Assembly. Une fois à l'intérieur, elle est “nettoyée” puis transformée… en eau potable !
Vous ne pouvez pas verser d'eau dans un verre, mais vous pouvez l'aspirer d'un sac à l'aide d'une paille. Et c'est délicieux : après tout, cette eau provient vraisemblablement de transpiration et d'urine des membres de l'équipage.
Selon le plan initial, l'équipage de la Station spatiale devait dormir dans un module d'habitation. Mais les six astronautes qui composent notre équipage dorment à divers endroits dans la Station. Pour dormir, on doit se faufiler dans un sac de couchage accroché au mur, ou au plafond.
L'acide dissout l'émail des dents ce qui peut entraîner l'apparition de caries. Les caries peuvent causer des rages de dents douloureuses. Tu dois aller régulièrement chez le dentiste pour vérifier que cela ne se produit pas. Tout le monde doit garder des dents propres et saines, même les astronautes dans l'espace !
Côté ablutions, les bains n'existent pas dans l'espace : il n'y a pas assez d'eau à bord de l'ISS pour cela. La toilette se fait donc au gant, avec du savon sans rinçage, à la manière d'un lavage rapide au camping ou en road-trip.
Habituellement dans l'espace, les astronautes mangent des plats lyophilisés. La lyophilisation est un principe de déshydratation d'un produit par le froid. Elle a d'ailleurs été développée par et pour la NASA.
Alors pourquoi la station ne s'écrase-t-elle pas sur Terre ? La réponse est simple : les astronautes de l'ISS expérimentent ce qu'on appelle la microgravité. L'ISS est bel et bien en chute libre, mais elle tombe autour de la Terre et non sur la Terre.
Il est tout à fait incorrect d'affirmer que les spationautes ne sont plus soumis à la force de gravité au sein de l'ISS, comme le montre le calcul précédent. Elle est d'ailleurs encore assez élevée en norme.
A 400 km d'altitude, où évoluent les stations comme l'ISS, les spationautes sont en impesanteur, alors que l'attraction terrestre n'y est plus faible que de 10 %. La gravité disparaît effectivement à mesure qu'on s'éloigne de la Terre, mais il faudrait être à des centaines de millions de km pour qu'elle soit nulle.
Les astronautes utilisent une débarbouillette et une solution nettoyante sans rinçage pour se laver le corps ou les mains. Chris Hadfield montre comment les astronautes se lavent les mains en apesanteur à bord de la SSI .
Pour uriner, les astronautes ont un collecteur personnel, qui ressemble à un petit entonnoir. Dans la Station spatiale internationale, l'urine est ensuite recyclée pour devenir de l'eau potable.
Le retour dure 3 heures et 30 minutes environ, et les astronautes doivent être parfaitement préparés. Le jour J, les astronautes entrent dans la capsule Soyouz amarrée à l'ISS, referment l'écoutille et se placent dans le module central du vaisseau. Après avoir mis leur combinaison, la séquence de désarrimage commence.
À bord de la Station spatiale internationale (ISS), l'urine a un rôle important à jouer, celui d'approvisionner les astronautes en eau potable. L'eau contenue dans l'urine des astronautes est en effet récupérée grâce à un dispositif traitant ce type de déchets organiques.
Dans l'ISS, il dormira à la verticale dans une sorte de sac de couchage accroché au plafond afin d'éviter que son corps ne flotte dans l'air. "C'est très confortable parce qu'on n'a pas le poids du corps et on dort extrêmement bien en impesanteur", a-t-il assuré dans une vidéo datant de 2016.
L'hygiène intime se fait à la main, sans gant de toilette (nid à bactérie). Chez la femme, elle doit se limiter à la vulve et la région anale, et se faire d'avant en arrière. Inutile de pratiquer les douches vaginales, au risque de détruire la flore microbienne et de provoquer infections et mycoses.
Pour faciliter les échanges, l' anglais est la langue qui est communément utilisée par la communauté des astronautes .
Pour cela, vous devez maîtriser tous les aspects du métier et être capable de mener à bien une mission spatiale. Une fois ce grade atteint, la rémunération mensuelle nette varie entre 8 886,75 à 9 778,49 euros .
Le russe n'était pas difficile à apprendre pour Thomas Pesquet qui a été admis à bord de la Station spatiale internationale. Grâce à la réalisation de plusieurs tâches dans son domaine, le salaire de Thomas Pesquet peut facilement atteindre 10 millions d'euros par mois.
Les astronautes de la NASA Raja Chari, Thomas Marshburn, Kayla Barron et Mark Vande Hei, l'astronaute allemand de l'Agence spatiale européenne (ESA) Matthias Maurer et les cosmonautes de la Roscosmos Anton Shkaplerov (comandant) et Pyotr Dubrov ont été rejoint par Oleg Artemiev, Denis Matveev et Sergei Korsakov.
De gauche à droite : Pyotr Dubrov, Shane Kimbrough, Megan McArthur, Thomas Pesquet, Akihiko Hoshide, Oleg Novitskiy et Mark Vande Hei. L'expédition 65 est le 65e roulement de l'équipage de l'ISS. Elle débute le 17 avril 2021 , après le départ du Soyouz MS-17.
L'entraînement sous l'eau permet de simuler les conditions d'impesanteur sur Terre. Ainsi, les astronautes portent des scaphandres entièrement équipés afin de s'approprier les techniques requises lors d'une sortie extra-véhiculaire.