Les jeunes fleurs de souci Officinal se mange en salades, en confitures. Elles ont un goût légèrement poivrée. Les pétales peuvent être utilisées comme colorant alimentaire pour le beurre, les sirops ou le riz, ce qui est très rigolo quand on veut faire des repas d'une couleur !
Ce sont les vertus apaisantes et calmantes des fleurs de souci qui font sa renommée en phytothérapie, notamment pour cicatriser et nettoyer les brûlures et les coups de soleil ainsi que de nombreux maux cutanés : engelures, érythème fessier des bébés, petites plaies, acné, eczéma, etc.
Divisez la plante en différentes parties.
Pour savoir si une plante est entièrement comestible, vous devez séparer les feuilles, la tige et la racine et tester les parties séparément. Lorsque vous avez divisé la plante en partie, inspectez chaque partie pour voir s'il y a des parasites.
Les fleurs se récoltent dès qu'elles s'ouvrent, généralement de juillet à septembre ou octobre. Éliminez le coeur et ne gardez que les pétales, qui en fait, si on est botaniquement correct, seraient plutôt des ligules florales. Sauf que bon... Dès qu'ils sont récoltés, vous devez traiter les pétales immédiatement.
Indispensable au potager
Le souci a la capacité de repousser plusieurs mouches parasites qui sévissent dans les rangs de carottes et de poireaux mais aussi les pucerons et les mouches blanches. En même temps, le souci attire les coccinelles et les syrphes, précieux auxiliaires qui dévorent les pucerons.
En cuisine, on utilise les jeunes feuilles et les boutons floraux, comestibles en salade. On peut aussi en faire une tisane. En cosmétique, les fleurs permettent la fabrication de l'huile de macération de souci appelée aussi huile de calendula. Cette huile est obtenue par macération au soleil de fleurs séchées.
Taille estivale
Avec un sécateur, coupez régulièrement les fleurs fanées pour que la floraison dure plus longtemps. Vous pouvez aussi garder les fleurs fanées pour récupérer les graines pour les semis de l'année prochaine.
En ce qui concerne la ciboulette (Allium schoenoprasum), les fleurs sont très probablement comestibles, mais elles n'apparaissent qu'une fois l'an, alors qu'on peut couper les feuilles (faussement appelées « tiges ») de façon répétée.
Les fleurs de romarin sont entièrement comestibles. Mais avant de les consommer, il faut bien les préparer. Pour cela, pensez à enlever le pédoncule (coupe verte) placé à la base de la fleur et évitez de manger les tiges car elles sont difficiles à mastiquer.
En infusion, le souci officinal est efficace en cas de troubles digestifs, de mycoses, de douleurs prémenstruelles ou de régulation du cycle menstruel. Pour cela, il suffit de faire bouillir 200 ml d'eau et d'y jeter 2 c. à café de fleurs séchées. En boire 1 tasse 3 fois par jour pendant 15 jours maximum.
Principales caractéristiques: Bien que vivace, cette plante cultivée en annuelle peut étaler ses tiges jusqu'à 1 mètre. Les feuilles aromatiques et parfois collantes sont à bord ondulé, mais non denté. Les fleurs en capitules jaunes, en variétés non améliorées, mesurent de 5 à 6 cm de diamètre.
– Mélangez de l'huile d'olive extra vierge (450 gr ou 16 oz) ou de l'huile d'avocat dans une tasse de fleurs de calendula (souci des jardins) séchés. – Rajoutez ensuite des granulés de cire d'abeille (110 gr ou 4 oz), mélangez jusqu'à ce qu'ils soient fondus. – Mettez en pot ou en tube.
Le Souci Officinal (Calendula Officinalis)
Elles ont un goût légèrement poivrée. Les pétales peuvent être utilisées comme colorant alimentaire pour le beurre, les sirops ou le riz, ce qui est très rigolo quand on veut faire des repas d'une couleur !
Vous frotterez les graines entre vos doigts : lorsqu'elles se détacheront aisément, cela signifiera qu'elles sont arrivées à maturité. Vous n'aurez plus qu'à les laisser sécher au sec dans un endroit bien aéré, avant de les garder en sachet papier jusqu'au printemps suivant.
Le calendula officinalis, de son autre nom le souci des jardins fait partie de la famille des Astéracées. Il est originaire du bassin méditerranéen. Le nom de la plante vient du latin solsequia "qui suit le soleil".
Qu'il s'agisse des feuilles ou des fleurs, pédoncule compris, on peut les manger crues comme cuites. Les feuilles tendres ont une consistance croquante et agréable et font de bons ajouts aux salades. Une salade entière de feuilles de pâquerettes risque par contre d'être trop piquante et d'irriter la gorge.
La primevère officinale (Primula officinalis), ou coucou des bois, est entièrement comestible. En salade ou remèdes, découvrez ses couleurs chatoyantes et le petit goût anisé de sa racine.
Les fleurs et les jeunes feuilles sont comestibles, avec un goût sucré ou de concombre, respectivement. Elles se mangent fraiches, en salade par exemple. De l'huile de bourrache est extraite des graines, riches en acides gras et usuellement utilisée en médecine traditionnelle.
Vous pouvez caresser les feuilles de votre Laurier sans aucun problème. Il n'y a ni aiguilles ni poils urticants sur les feuilles de Laurier Rose. Il ne sera donc pas toxique comme peuvent être toxiques les orties lorsqu'on les touche. En fait, c'est la sève de la plante qui est hautement toxique.
La primevère obconique
Partie toxique : Les feuilles, les fleurs et la tige peuvent être toxiques. Premiers signes d'intoxication : réaction cutanée avec rougeurs, démangeaisons et parfois un œdème local et/ou des cloques. Les effets sont majorés en cas de nouveau contact avec la plante.
Les racines du manioc ou encore les graines de lin contiennent des glucosides cyanogènes et, souvent, il faut les traiter avant la consommation (en général par ébullition prolongée). Les noyaux de drupes, comme ceux des cerises ou des abricots, contiennent souvent des cyanures ou des glycosides cyanogènes.