Globalement, les Français sont bien vus au Japon. On peut parler de bienveillance, d'adoration ou de gentillesse. Cela s'explique par la très bonne image et la renommée de notre pays.
Les français sont vus de manière positive au Japon
Certains diront européens, sans savoir identifier votre origine. Cependant, la France reste un pays qui fait rêver. Si vous annoncez que vous êtes français, vous serez donc accueilli avec bienveillance, voire avec admiration.
Les Japonaises préfèrent les rencontres hasardeuses, romantiques, qui vont marquer durablement leur esprit. La trop grande assurance dont peuvent faire preuve certains étrangers a tendance à créer de la méfiance. Pour une relation durable : prendre son temps et faire preuve de patience fera toute la différence.
« Les Japonais pensent donc que tous les Parisiens et les Parisiennes sont sophistiqués, aisés et toujours à la mode », résume l'auteur d'un livre sur la société française et les bobos. Une vision certes « idéalisée », mais qui n'est pas spécifique à l'Hexagone, ni même à l'Archipel nippon, tempère Yukinobu Kato.
Les japonais ne parlent ni français ni anglais
Mais c'est de moins en moins le cas, surtout auprès des jeunes et de ceux qui ont voyagé un peu. Dans les grandes villes touristiques comme Tokyo, Kyoto ou Osaka vous trouverez sans problème des personnes avec des rudiments de langue étrangère pour vous aider.
Découvertes. La culture japonaise est bien différente de toutes les autres cultures dans le monde et c'est pour cela qu'elle attire beaucoup les étrangers, souvent curieux, aussi bien pour y voyager qu'y vivre.
Les règles de base sont la politesse, la modestie, la propreté, la ponctualité et plus généralement le respect de l'autre. Lorsque l'on rencontre quelqu'un, on doit éviter les contacts physiques, pas de bise ni de poignée de main, mais on s'incline légèrement. Une légère et rapide inclinaison de la tête suffit.
Les femmes japonaises aiment beaucoup avoir l'air jeune. Elles portent souvent des mini-jupes, même pendant les mois froids d'hiver. Malgré leurs dispositions enfantines, les filles japonaises sont très sexuelles. Leur culture est fondée sur de forts contrastes entre innocence et sexualité débridée.
La France est un pays qui fait rêver au Japon, et il est donc que tout logique que les Français soient perçus de manière positive dans la plupart des cas. Pour les Nippons, la France représente un pays de poésie, de raffinement, de culture, de liberté, d'histoire et d'art.
Dans le Top 5 des lieux les plus visités par les Japonais lors de leur séjour à Paris, nous retrouvons à la première place la Tour Eiffel, puis le musée du Louvre, l'Arc de Triomphe, la cathédrale Notre-Dame et enfin le Sacré-Cœur à Montmartre.
Un peu moins de la moitié des Japonais en France vivent à Paris, selon les données 1996 de l'ambassade du Japon. Les Japonais à Paris vivent dans plusieurs secteurs, les plus fortes concentrations se trouvant dans les 15e et 16e arrondissements.
Typologiquement, la syntaxe sujet-objet-verbe, la morphologie agglutinante et le système de politesse rapprochent le japonais des langues altaïques, en particulier du coréen.
Une accentuation pourtant très importante, car elle entraîne de nombreuses inflexions qui peuvent changer le sens du mot. Une forme écrite qui ne donne aucun indice sur la prononciation et un système de tons qui peut donner un tout autre sens au mot rendent cette langue particulièrement ardue.
👎 Dire "Non" et refuser en japonais
Dire non en japonais se dira いいえ iié de manière formelle, ou encore いや iya si l'on est plus proche. Parfois, on pourra également utiliser うーん uun', en laissant bien traîner le premier son. Cependant, les coutumes de politesse japonaise n'aiment pas le refus trop franc.
Quelque 82% des Indiens interrogés affirment «aimer» la France. Ce sont les plus grands fans de l'hexagone.
«Ils adorent découvrir les régions, nos terroirs, nos traditions, et raffolent des marchés locaux où ils aiment dénicher des spécialités locales à cuisiner à la française...» Culture, patrimoine, gastronomie... Vue de l'étranger, la France a souvent des airs de carte postale.
Il n'est pas dit formellement que les geisha ne peuvent pas avoir de relations sexuelles avec leurs clients, mais cela est toujours resté officieux pour des questions de prestige et d'élégance.
Hawaii a dépassé Taïwan (Chine) pour devenir la destination la plus préférée des Japonais cet été. La Thaïlande a conforté sa troisième place.
Au Japon, les excuses sont un véritable art, qui fait partie du savoir vivre et surtout de l'inconscient collectif de l'Archipel. Pour s'excuser on utilise le mot « sumimasen » (désolé), accompagné d'une brève inclinaison de la tête. Si l'on éprouve un sentiment de culpabilité on dira plutôt «gomen nasai » (pardon).
Cela permet aussi d'éviter d'être dérangé par d'éventuels ronflements, mouvements et gestes brusques ou encore par un manque de couverture. Pour faire simple, les japonais choisissent de dormir séparément pour bénéficier d'un sommeil réparateur et pour prendre soin de leur santé en général.
Il existe de nombreux sites internet gratuits vous permettant de trouver un correspondant nippon. Voici les plus réputés et populaires auprès des apprenants du japonais en francophonie : conversation exchange, Multilingual Network, interpals, Hi! Penpal!.
Les Français sont râleurs
On dit à l'étranger que le Français est un éternel insatisfait et qu'il éprouve sans cesse le besoin de comparer le pays des autres avec le sien. Il aurait un besoin, une envie de liberté dans le sang, et une fâcheuse tendance à critiquer les gens qui le gouvernent.
Les japonais ont des codes sociaux très stricts et sont fortement attachés à la politesse, à la modestie, à l'organisation, à l'hygiène et à la ponctualité. Voici une liste non exhaustive des comportements à adopter pour ne pas offenser vos hôtes, ou même les passants dans la rue.
Premier point de faiblesse: la dette publique représente un peu plus de 170 % du PIB, comme le rappelle une étude de la mission économique de l'ambassade de France au Japon, et le gouvernement ne semble pas s'inquiéter outre mesure de la situation. "L'augmentation des prélèvements reste un tabou", indique l'étude.