L'homme n'est ni maître, ni esclave de la nature. Par contre, il peut être maître ou esclave de lui même dans sa relation avec la nature.
L'homme surgit au sein de la nature, il ne se différencie pas de l'animal car comme lui, il a des besoins, des sensations, des sentiments, des émotions, donc il est affecté. Il a des instincts ( instinct de survie, alimentaire, de défense, agressivité...) qui lui permettent d'agir et de réagir.
Nous ne sommes pas extérieurs à la nature mais lui appartenons et en dépendons, notamment par l'oxygène que nous fournit la photosynthèse des plantes, l'eau qu'épurent les écosystèmes, ce dont nous nous nourrissons et ce avec quoi nous transformons et fabriquons notre environnement immédiat, etc.
Pour commencer, l'écosystème nous donne des produits, comme de la nourriture et de l'eau potable. Grâce aux plants de coton et à la laine des animaux, nous pouvons fabriquer des vêtements qui nous permettent d'avoir chaud. Le bois des arbres nous permet de construire des meubles et des habitations.
"Comme maître et possesseur de la nature", Descartes (1637)
Ni ordre parfait, ni réservoir indéfini d'énergie, la nature est d'abord ce que l'homme y fait. La préserver ne doit pas se faire au détriment de l'homme, mais dans le sens de son propre développement. L'homme n'est ni maître, ni esclave de la nature.
Le travail et la technique => activité humaine qui permettent à l'Homme de transformer la nature pour subvenir à ses besoins et désirer. En ce sens, il nous libère de la nature et nous permet de nous développer.
L'homme est un être humain qui dispose d'une raison, de ce fait il peut avoir la capacité d'être son propre maitre. L'homme a néanmoins besoin de règles pour le guider mais ces règles peuvent être trouvées en lui-même car grâce à sa conscience l'homme pense par lui-même.
L'homme est, sans aucun doute, une partie de la nature: il est donc compris en elle. Mais il est tout aussi certain que l'homme comprend la nature, laquelle est par conséquent une idée ou une représentation humaine.
Suivre la nature, pour un homme, c'est rentrer en soi-même pour rétablir volontairement ce qui constitue notre véritable « nature » : tel est le secret de la sagesse et du bonheur. 1) L'homme se rapproche de l'animal tout en s'en distinguant. L'animal est libre lorsqu'il n'est soumis qu'à son seul instinct.
On peut expliquer cet attrait par des raisons esthétiques, certes, mais aussi par le sentiment de puissance qu'il confère à l'Homme, enfin maître de la moindre pousse.
Dans la Genèse, la nature est présentée dans le récit de la Création, comme l'œuvre d'un Dieu créateur : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gn 1. 1 [archive]).
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
Elle est le principe de développement des êtres vivants. Par extension, la nature d'une chose signifie aussi son essence, c'est-à-dire ce qu'elle est profondément, ce qui constitue son être indépendamment des accidents qui peuvent en modifier l'aspect.
Pour Rousseau, l'homme naturel est animé de deux passions : l'amour de soi et la pitié. L'amour de soi, c'est l'instinct de conservation, ce qui fait que l'homme cherche à se préserver et à se conserver (à ne pas confondre avec l'amour propre qui, lui, se développe avec la société).
L'homme s'autonomise et se substitue à la nature créatrice qu'il transforme. On peut donc affirmer que la technique est à l'origine de la culture humaine. L'homme occupe une place particulière dans le sens où pour reprendre les mots d'Aristote, il est non seulement un animal raisonnable « mais un animal politique ».
Si pour être libre il faut n'obéir qu'à soi-même, cette obéissance n'est certes pas une soumission à ce qui nous aliène mais bien au contraire une reconnaissance et une appropriation de ce qui fait notre humanité, notre dignité et notre liberté : la raison.
La liberté est une notion clé en philosophie, au programme de terminale. Elle se définit, négativement, comme l'absence de contrainte; positivement comme l'état de celui qui fait ce qu'il veut.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
« L'homme est le seul animal qui doit travailler » : les animaux ne travaillent pas, ils assouvissent leurs besoins directement, sans transformer le donné naturel.
Les êtres vivants naissent, grandissent, se nourrissent se reproduisent et meurent. L'homme modifie l'environnement pour ses besoins en ressources ou pour aménager le territoire, il peut ainsi avoir une action directe et indirecte sur les peuplements des milieux.
Les valeurs relationnelles, la valeur intrinsèque, la valeur morale, tels sont les trois types de valeurs que la nature est susceptible de présenter. Ceci dit, on sait que l'éthique de l'environnement fait partie des éthiques appliquées.
1. Le monde physique, l'univers, l'ensemble des choses et des êtres, la réalité : Les merveilles de la nature. 2. Ensemble de forces ou principe supérieur, considéré comme à l'origine des choses du monde, de son organisation : Rien ne se perd, rien ne se crée, c'est une loi de la nature.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.