Les analgésiques (antidouleurs) en vente libre, tels que l'ibuprofène, peuvent soulager certaines formes de douleur qui perturbent votre sommeil (comme les maux de tête, les maux de dos, les douleurs musculaires et les douleurs arthritiques).
En effet, au lieu de soulager les douleurs, l'ibuprofène peut dans certains cas entraîner de nouvelles douleurs plus intenses au niveau des muscles et des articulations. Une forte envie de dormir, une somnolence peuvent être ajoutées à ceux-là.
Des réactions allergiques sont possibles, avec une urticaire, un asthme,… Autres effets indésirables : des céphalées, une fatigue, des acouphènes, une hypertension. La prudence est de mise chez la personne âgée.
les benzodiazépines (BZD) à visée hypnotique : appelés couramment somnifères, ce sont les médicaments les plus souvent prescrits. Ils agissent sur l'endormissement, le maintien et la durée du sommeil.
Réduction de la vigilance/étourdissements : l'utilisation de l'ibuprofène peut provoquer de la somnolence, du vertige ou des étourdissements; ces trois symptômes peuvent tous nuire à votre capacité de conduire un véhicule ou de manœuvrer de la machinerie.
Ibuprofène 101
L'acide alpha-méthyl-4-(2-méthylpropyl) benzènéthanoïque est le principe actif de ce médicament anti-inflammatoire non stéroïdien utilisé pour soulager la fièvre, comme analgésique (contre les douleurs de l'arthrite et des menstruations) et contre l'inflammation.
Comme tous les AINS, l'ibuprofène est contre-indiqué en cas d'antécédents d'ulcères de l'estomac, d'hémorragies digestives, de problèmes cardiaques, de graves maladies du foie, des reins, d'hypertension artérielle, etc. Les personnes d'âge mûr ne doivent pas utiliser ce médicament pour soulager les douleurs.
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Le principe de sa méthode est donc d'inspirer doucement par le nez, la bouche fermée, tout en comptant jusqu'à 4 dans sa tête, de retenir sa respiration pendant 7 secondes et d'expirer par la bouche en comptant jusqu'à 8. Le tout à répéter 3 fois pour faciliter l'endormissement.
réaction allergique : éruption cutanée, démangeaisons, œdème, crise d'asthme, malaise avec chute brutale de la tension artérielle ; vertiges, maux de tête ; troubles de la vision nécessitant un examen ophtalmologique ; anomalie de la numération formule sanguine, augmentation des transaminases.
Quelles précautions? Tout comme l'aspirine, mais dans une moindre mesure, l'ibuprofène fluidifie le sang. Ce médicament est donc à proscrire en cas d'asthme ou d'antécédents d'hémorragie ou d'ulcères. Il est également contre-indiqué dans les cas d'insuffisance hépatique, cardiaque ou rénale.
Les comprimés sont à prendre de préférence au cours d'un repas. RESERVE A L'ADULTE ET L'ENFANT A PARTIR DE 30 kg (environ 11-12 ans). La posologie usuelle est de 1 comprimé (400 mg) par prise, à renouveler si besoin au bout de 6 heures. Dans tous les cas, ne pas dépasser 3 comprimés par jour (soit 1200 mg par jour).
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
Contrairement à l'Ibuprofène, il ne fait pas saigner. Chez l'enfant, la posologie varie en fonction de son poids. La dose prescrite est environ de 60 mg/kg par, à repartir entre 4 à 6 prises toutes les 6 heures.
La banane. La richesse de la banane en tryptophane et en magnésium en fait un fruit presque sédatif ! De plus, la banane est une bonne source de vitamine B6 qui, couplée avec le magnésium, permet de réduire le stress, souvent en cause dans les insomnies.
Vous vous réveillez entre 1h et 3h du matin
Votre réveil durant cette tranche horaire, peut s'expliquer par une consommation excessive d'alcool ou de café. Pour éviter cela, il est ainsi conseillé de boire beaucoup d'eau et de manger sainement.
Réglez d'abord votre heure de lever et couchez-vous le soir lorsque vous ressentez le besoin de dormir. Même si c'est très tard dans la nuit, les heures de coucher finiront par se régulariser progressivement. 2. Maintenez la plus grande régularité possible dans vos heures d'exposition à la lumière et à la noirceur.
Quittez plutôt le lit et faites une activité reposante sous une lumière tamisée : lire, tricoter, écouter une musique douce, etc. Retournez au lit quand vous serez fatigué. Si vous vous réveillez la nuit, évitez de regarder constamment l'heure sur le réveil. Vous pouvez même le retourner avant de vous coucher.
Le fait de se réveiller plusieurs fois pendant une longue nuit revient exactement au même que de dormir très peu de temps, voire de ne pas dormir du tout, avec toutes les conséquences néfastes pour la santé que cela peut entraîner, démontre une étude publiée le 8 juillet 2014 dans la revue américaine Sleep Medicine.
Parmi les nombreux effets secondaires relatifs à l'utilisation d'anti-inflammatoires, citons des réactions cutanées, une prise de poids, des troubles de la vue, digestifs ou cardiaques, une fragilisation osseuse et des décompensations psychiatriques.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
À l'inverse de l'ibuprofène, le doliprane n'est pas un anti-inflammatoire. C'est un antalgique à base de paracétamol. Ses excipients sont constitués de povidone, d'amidon prégélatinisé, de carboxyméthylamidon sodique type A, de talc et de stéarate de magnésium.