Il est possible de guérir du cancer de la prostate si la maladie est diagnostiquée à ses premiers stades de développement. Lorsque la maladie a atteint le stade avancé, le traitement peut en soulager les symptômes et prolonger la vie.
Les cancers de la prostate localement avancés se soignent généralement par la radiothérapie externe et une hormonothérapie de plusieurs années. Chez les hommes relativement jeunes, la chirurgie peut être envisagée, éventuellement associée à une radiothérapie et une hormonothérapie.
L'embolisation est une technique qui consiste à venir boucher les petites veines à l'intérieur de la prostate hypertrophiée par des microbilles. Moins alimenté par le flux sanguin, le tissu prostatique régresse : une étude a montré que son volume passait en moyenne de 96 à 46 cm3.
La prostate joue un rôle dans la sexualité, mais uniquement dans l'éjaculation et la reproduction. Par contre, elle ne joue aucun rôle dans le phénomène d'érection. Elle est sous l'influence des hormones mâles (androgènes).
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
– La grenade. "C'est moins connu mais le jus de grenade est un vrai allié pour la santé de sa prostate. On peut en boire un verre chaque jour", affirme le Pr Zerbib. Les antioxydants présents dans le fruit du grenadier seraient les responsables de ces bienfaits.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Quelles sont les complications de l'hypertrophie de la prostate ? Une vessie qui ne se vide pas correctement augmente le risque d'infection urinaire et de problèmes rénaux. Certains hommes qui souffrent d'hypertrophie bénigne de la prostate sont victimes de calculs urinaires dans la vessie ou d'infections à répétition.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
Toutefois, ces résultats positifs n'ont pas été observés par toutes les études scientifiques. En ce qui concerne le jus de citron, à ma connaissance, aucun lien n'a été démontré.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Le cancer de la prostate ne provoque pas de symptômes au début de son évolution. Des troubles urinaires peuvent ensuite apparaître. Deux examens permettent de suspecter un cancer de la prostate : le toucher rectal et le dosage des PSA dans le sang.
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
Le dépistage consistera en un dosage du PSA et un toucher rectal. Une IRM de la prostate peut aussi être réalisée dans certains cas.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
La racine d'ortie dioïque pour soulager l'hyperplasie bénigne de la prostate. Les racines d'ortie dioïque (Urtica dioica) contiennent des lignanes, aux propriétés similaires à celles des hormones féminines et qui pourraient expliquer leurs effets sur la prostate.
Selon une nouvelle étude menée par les chercheurs britanniques des universités de Bristol, Cambridge et Oxford, manger une bonne dizaine de portions de tomates chaque semaine (c'est-à-dire l'équivalent de 2 tomates par jour) permettrait aux hommes de réduire de 20% leur risque de cancer de la prostate.
L'hormonothérapie est le principal traitement palliatif des cancers de la prostate, mais elle est parfois utilisée de façon temporaire dans le cadre du traitement curatif, en complément d'une chirurgie ou d'une radiothérapie.
Dans la plupart des cas, le cancer de la prostate est une tumeur qui évolue lentement et qui n'entraine pas de symptômes. Seuls les cancers métastatiques entrainent douleurs osseuses, compression neurologique, fractures osseuses, perte de poids et/ou fatigue.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme. Il survient le plus souvent chez des hommes âgés : 66 % des cancers de la prostate apparaissent chez les hommes âgés de 65 ans et plus. Il est exceptionnel avant 50 ans.
Une prostate volumineuse comprime l'urètre tout en faisant pression sur la vessie, ce qui engendre un besoin fréquent d'uriner et divers problèmes de miction, selon le cas (débit plus faible et intermittent, douleurs, etc.). Presque tous les hommes sont sujets à l'hypertrophie bénigne de la prostate, en vieillissant.