On n'attrape pas de rhumes ou de grippes par les pieds, mais par le nez ou la bouche qui sont les meilleures portes d'entrée pour la plupart des virus et des microbes. Il faut ensuite mettre fin à un mythe : on "n'attrape" pas froid.
Non, on n'attrape pas froid. Le froid n'est ni une maladie, ni un virus, ni un vecteur de transmission de toutes les petites maladies qui nous menacent lorsque les températures diminuent.
L'expression «prendre froid» vient de là
Les muqueuses nasales transfèrent à cet air de l'eau à la température du corps (phénomène qui explique au passage le «nez qui coule» en hiver). Ce transfert de chaleur humidifie l'air et provoque l'assèchement de la barrière physique que constitue le mucus.
Elles se manifestent par un mal de gorge, un nez qui coule, une toux, une fièvre.
Symptômes. Un simple coup de froid bénin entraîne la plupart du temps (dans près de 50 % des cas) des maux de gorge, mais également le nez qui coule, une toux voire une légère hyperthermie (fièvre).
Il s'agit d'une idée reçue. Avant tout parce que si le froid est désagréable, il n'est pas une maladie : "Ce n'est pas lui qui vous rend malade, mais l'infection par un virus", explique tout simplement le Professeur Anne-Claude Crémieux, infectiologue à l'Hôpital Saint-Louis, à Paris.
– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
Pour un rhume classique, garder le lit pendant un jour ou deux suffit en général pour retrouver la forme. Même si l'on n'est pas encore totalement rétabli au bout de deux jours, il peut être préférable de se lever et de s'asseoir sur une chaise, afin que le corps retrouve un rythme normal.
L'anémie, l'hypothyroïdie, le manque de sommeil, une mauvaise hydratation, une carence en vitamine B12, le diabète ou encore la maladie de Lyme peuvent entraîner une frilosité excessive.
En agissant sur la circulation, le froid rend le corps plus réactif. Il est efficace contre la cellulite, la formation de varices, la sensation de jambes lourdes, et même la chute de cheveux. L'effet du froid sur le corps libère aussi des endorphines qui réduisent le stress, et donnent un sentiment de bien-être.
Pas vraiment. « On aura beau s'installer au pôle Nord, pieds nus et cheveux mouillés, s'il n'y a que des phoques et des ours polaires pour nous tenir compagnie, on n'attrapera pas le rhume! » s'exclame le Dr Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l'Hôpital général juif de Montréal.
Le froid ralentit l'activité des cellules et la réponse de notre organisme aux attaques extérieures. Ce qui laisse le temps aux virus de s'installer. A cela s'ajoute le manque de luminosité qui peut entraîner des carences en vitamine D (l'exposition au soleil permet à la peau de fabriquer de la vitamine D).
Quand notre corps, trop fatigué, tourne au ralenti, il produit moins d'énergie, et il se peut donc que cela se traduise par une baisse de notre température. On a le sentiment d'avoir froid de l'intérieur, et malgré nos pulls et nos gilets, on ne se réchauffe pas.
Lorsque la température corporelle d'une personne augmente, elle peut avoir froid jusqu'à ce qu'elle se stabilise et cesse d'augmenter. Les gens décrivent cela comme des "frissons". L'alimentation, l'exercice, le sommeil, le moment de la journée et des facteurs individuels peuvent également influer sur la température.
La vitamine C
Pour combattre le froid et booster son organisme pour l'hiver, il est essentiel de faire une cure de vitamine C. Cette dernière participe en effet de manière active au bon fonctionnement de vos défenses immunitaires.
Pour réchauffer ses pieds, l'idéal est de les faire tremper dans de l'eau chaude. Idéalement, l'eau doit être tiède (36/37°C) pour favoriser la vasodilatation sans risque de brûlures et la durée du bain ne doit pas excéder 10 minutes afin de ne pas trop ramollir la peau.
Elle est donc principalement observée dans les cancers de la tête du pancréas. L'apparition d'une fièvre et de frissons doit évoquer une infection de la bile en rétention. Il s'agit d'une urgence qui nécessite une prise en charge spécifique en hospitalisation.
La clinophilie est un symptôme très peu spécifique d'une pathologie, qui peut se retrouver dans plusieurs maladies psychiatriques. Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi.
Le sommeil augmente la capacité de certaines cellules immunitaires d'attaquer leurs cibles et, inversement, le manque de sommeil nuit à leur efficacité.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Les plantes utilisées pour cette infusion :
Menthe poivrée (feuilles) Thym serpolet (feuilles) Achillée millefeuille (fleurs) Sureau (fleurs)
C'est une infection très fréquente, généralement bénigne, des voies aériennes supérieures (cavité nasale et pharynx). Elle est également la conséquence d'un virus qui a aussi pour symptôme la toux gênante, mais grasse cette fois (plutôt que sèche pour la grippe).
Eh oui, lorsque les températures chutent, notre corps devient plus vulnérable. L'air froid assèche le mucus de notre gorge, cette couche humide qui protège notre muqueuse des agressions, et notre cœur doit alimenter nos extrémités en sang chaud, nous fatiguant davantage et diminuant l'efficacité de notre immunité.
Les généralistes développent souvent une immunité aux virus au fil de leur carrière. En période d'épidémie, ils redoublent toutefois de vigilance. Plus que la grippe, c'est surtout le risque de surmenage qui leur pend au nez.