Le 2 juillet 2019, la France est devenue le 56 ème Etat à voter une loi sur les “violences éducatives “. La fessée est désormais interdite ! Déjà votée par l'Assemblée nationale, la loi vient d'être adoptée à main levée par le Sénat.
La loi anti-fessée vient d'être adoptée en France. Il est donc désormais interdit de punir son enfant par un quelconque geste violent.
La fessée est désormais interdite en France. Le Parlement a adopté définitivement, mardi 2 juillet, par un ultime vote du Sénat, une proposition de loi déjà votée par l'Assemblée nationale visant à interdire les « violences éducatives ordinaires ».
Aucune sanction pénale prévue
L'arrivée de cette loi ne prévoit pas de sanction. Rappelons que la maltraitance des enfants est déjà passible d'une peine pouvant aller jusqu'à 20 ans de prison.
La Suède est le premier pays à l'avoir inscrit dans sa loi, c'était en 1979. Elle a été suivie par ses voisins scandinaves, puis de l'Autriche, de l'Allemagne, des Pays Bas et des anciens pays du bloc soviétique. Dernière en date, la Slovénie.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant. Pour bien se développer, l'enfant a besoin de vivre un sentiment de sécurité physique et psychologique.
Le 2 juillet 2019, la France est devenue le 56 ème Etat à voter une loi sur les “violences éducatives “. La fessée est désormais interdite ! Déjà votée par l'Assemblée nationale, la loi vient d'être adoptée à main levée par le Sénat.
fessée n.f. Série de coups sur les fesses. fesser v.t. Frapper quelqu'un sur les fesses.
Toute personne peut faire rectifier, compléter, actualiser, verrouiller ou effacer des informations la concernant lorsqu'ont été décelées des erreurs, des inexactitudes ou la présence de données dont la collecte, l'utilisation, la communication ou la conservation est interdite.
Consentement ou autorité parentale ? La loi vie privée prévoit très clairement que pour pouvoir consulter les données du téléphone portable de quelqu'un, cette personne doit d'abord donner son consentement, même s'il s'agit de l'un de vos enfants.
Pour faire valoir son droit de réponse, la démarche est simple : il faut demander directement au média de publier ou de diffuser son propre message. Il n'est pas nécessaire de saisir la justice, ni de démontrer que l'on a subi un préjudice ou que l'article initial est erroné.
Le mettre au coin pour lui offrir une coupure et du temps pour réfléchir peut, par exemple, avoir du sens, à condition de ne pas la répéter trop souvent pour ne pas qu'il s'y habitue et continue de le voir comme une punition. Vous pouvez alterner en lui confisquant un jouet, ou en le privant de sucrerie, par exemple.
Il faut conseiller aux parents de faire de la discipline sans châtiments ». Effectivement, la psychologue explique « que même si le parent atteint un certain état d'énervement quand l'enfant transgresse une limite, il doit éviter de s'énerver et surtout ne pas le frapper ».
La flagellation, un châtiment corporel qui perdure dans certains pays ; ici en Iran, en 2016.
Les parents qui frappent leurs enfants ne le font pas, sauf exceptions, par sadisme, mais « pour leur bien », pour bien les éduquer, et donc avec le désir de bien faire. Ils ont d'ailleurs pour la plupart été élevés de la même façon et ne font que reproduire de bonne foi l'éducation qu'ils ont subie.
Un geste qui peut être réparé ...
La fessée des enfants leur apprend que se battre est une réponse adéquate à la colère. Il est essentiel que les nouvelles générations apprennent à gérer leur colère sans recourir à la violence.
Diffamation publique
C'est le cas de propos prononcés en pleine rue, publiée dans un journal ou sur un site internet. Les propos tenus sur un réseau social peuvent aussi être considérés comme une diffamation publique.
Quelle que soit la situation, il faut informer la personne des suites sous un mois maximum. Vous devez répondre dans les meilleurs délais à une demande de droit d'accès, et dans un délai maximum d'un mois (article 12.3 du RGPD).
Les titres : doivent inciter lire ; doivent être concis, accrocheurs, originaux. Les intertitres : doivent ménager un circuit de lecture au lecteur. Le chapeau : doit résumer brièvement l'essentiel de l'article. L'attaque (début de l'article) : doit accrocher l'attention du lecteur, l'inciter à poursuivre.
- Depuis le 22 décembre dernier et l'adoption du projet de loi "égalité et citoyenneté", "tout recours aux violences corporelles" est interdit dans l'exercice de l'autorité parentale. En clair : les parents n'ont plus le droit de donner une fessée ou une gifle à leurs enfants.
Car comme la loi l'indique (du moins selon ma compréhension), les parents n'ont pas le droit de jeter leurs enfants dehors. Où alors, ils doivent offrir un toit et subvenir à tout les besoin de leur enfant, du moment qu'il étudie ou ne puisses subvenir à ses besoins.
aller au comissariat declarer que tes parents t ont mise a la rue et que tu es inquiete pour ta petite soeur.si tu continue tes etudes ils devront te verser une somme d argent chaque mois (je sais plus comment ca s apelle). tu peux beneficier d un logement social tu dois prendre rdv avec une assistante sociale.