Non, il n'est pas possible de déclarer deux médecins traitants sur votre dossier.
Cependant, la loi a prévu le consentement obligatoire du bénéficiaire des soins pour que le médecin puisse consulter ses données dans l'historique des remboursements. Si vous consultez un médecin différent en dehors du parcours de soins coordonnés, votre remboursement sera minoré.
L'assuré ne peut donc choisir qu'un seul médecin traitant. Il s'agit d'une condition pour favoriser de manière optimale la qualité de la coordination des soins autour du médecin traitant.
Changer de médecin traitant vous offre également beaucoup de liberté dans le choix de votre nouveau praticien. Toute personne, à partir de 16 ans, peut choisir librement un médecin traitant, avec l'accord de ce dernier.
Un professionnel de santé peut refuser ses soins, c'est la clause de conscience du médecin. C'est, pour le médecin, le droit de refuser la réalisation d'un acte médical pourtant autorisé par la loi mais qu'il estimerait contraire à ses propres convictions personnelles, professionnelles ou éthiques.
Vos actes de biologie ; Vos arrêts de travail indemnisés ; Vos hospitalisations dans les établissements publics ou privés ; Vos transports pris en charge vers un hôpital, un centre d'examens, etc.
Si vos recherches restent vaines, vous pouvez vous rapprocher du conciliateur de l'assurance maladie. Il a pour mission principale l'examen des litiges entre les caisses d'assurance maladie et les usagers. Le conciliateur peut également être saisi si vous avez des difficultés à déclarer un médecin traitant.
La déclaration d'un médecin traitant n'est pas obligatoire. Cependant, l'Assurance Maladie prévoit des pénalités pour les remboursements si vous n'avez pas de médecin traitant déclaré ou si vous n'êtes pas dans le parcours de soins : 30% au lieu de 70% pour la part Sécurité Sociale.
Résultat : 44% d'entre eux ont déclaré refuser de nouveaux patients. La raison ? Ils en ont déjà trop pour 71%, quand 14% expliquent qu'ils comptent prochainement prendre leur retraite. 9% des médecins généralistes ont indiqué qu'ils préféraient rencontrer le patient avant de l'intégrer à leurs fichiers.
Les informations relatives à votre dossier médical ne figurent pas sur votre carte Vitale. Si vous avez un dossier auprès de votre médecin, vous devrez lui demander de vous le fournir. Vous êtes libre de changer de médecin traitant quand vous le souhaitez et sans justification.
Le changement de médecin référent peut s'expliquer pour plusieurs raisons : En cas de déménagement du patient. En cas de cessation d'activité ou de départ à la retraite du médecin. Au cours d'un arrêt maladie.
Vous n'êtes pas non plus tenu d'en informer au préalable votre précédent médecin traitant. Vous devez remplir une nouvelle déclaration de choix du médecin traitant conjointement avec le nouveau médecin que vous aurez choisi comme médecin traitant.
Le médecin n'est pas déclaré comme étant le médecin traitant de l'assuré : L'assuré est hors du parcours de soins coordonnés. L'Assurance maladie applique un taux de remboursement qui s'élève à 30 % de la BRSS, moins 1 € au titre de la participation forfaitaire.
Si, malgré vos recherches sur cet annuaire santé, vous avez des difficultés pour trouver un nouveau médecin traitant, vous pouvez contacter le conciliateur de votre caisse primaire d'assurance maladie (CPAM). Les modalités de saisines sont présentées sur ameli.fr, dans la rubrique "Comment saisir le conciliateur ?".
Dans le cadre du parcours de soins coordonnés, tout assuré social de 16 ans ou plus doit déclarer un médecin référent, appelé « médecin traitant », en charge de son suivi médical. Le parcours de soins coordonnés incite les patients à passer par leur médecin traitant avant de prendre rendez-vous avec un spécialiste.
Vous pouvez le saisir depuis votre compte Ameli (rubrique «Mes démarches» et «Demander l'aide du médiateur») ou par courrier, en joignant le questionnaire «Difficulté d'accès à un médecin traitant» téléchargeable sur le site de votre caisse ou disponible auprès d'elle.
Le Conseil de l'Ordre national des médecins (CNOM) a enfin décidé de sévir. Désormais, il interdit – et sanctionne — explicitement dans le Code de déontologie médicale toute forme de relation sexuelle entre médecins et patients.
Est-il obligatoire d'avoir une carte vitale photo ? Oui, il est désormais obligatoire d'avoir une carte vitale avec photo. Bien que celle sans photo soit encore valable, le temps de la recevoir.
Toute personne a accès à l'ensemble des informations concernant sa santé, c'est à dire à toutes les données qui sont formalisées et ont contribué à l'élaboration et au suivi du diagnostic et du traitement ou d'une action de prévention, ou ont fait l'objet d'échanges écrits entre professionnels de santé, notamment les ...
La mention ne figure ni sur la carte vitale ni sur l'attestation de droits. C'est votre médecin qui ajoutera la mention "Suivi Post ALD" sur vos ordonnances. Les professionnels de santé (médecins, laboratoires, pharmacies etc) ajouteront également cette mention sur vos feuilles de soins.
Si l'assuré a déclaré un médecin traitant et s'il consulte son généraliste, le remboursement Sécu se fera au taux de 70 % sur la base d'un tarif de 25 €. Dans ce cas, le patient respecte le parcours de soins coordonnés. * Les montants indiqués tiennent compte de la participation forfaitaire de 1 €.
Déclaration en ligne
Connectez-vous sur amelipro, l'espace des professionnels de santé de l'Assurance Maladie, et insérez votre carte CPS et la carte Vitale du patient, puis dans le bloc « Services patient », cliquez sur « déclaration de choix du médecin traitant ».
Quand mettre à jour sa carte Vitale ? L'assuré doit mettre à jour sa carte Vitale : À chaque changement de situation personnelle ou professionnelle, après avoir averti son organisme d'Assurance maladie. Une fois par an au minimum, pour garder à jour ses droits.