Comment installer un déshumidificateur ? Vous pouvez placer un déshumidificateur contre un mur si la sortie d'air se situe sur le dessus. A contrario, il faudra vous assurer qu'il y ait assez d'espace autour du dispositif (entre 15 et 30 cm). L'idéal, c'est de placer le dispositif au milieu d'une pièce.
En moyenne, un déshumidificateur consomme 280 à 300 Watts/heure soit 0,3 à 0,5 kiloWatts/heure. Quand on sait qu'en France le prix du kWh en 2019 était de 0,18 centime, en utilisant votre appareil 6 heures par jour pendant 1 mois complet (30 jours), l'appareil vous coûterait entre 8€ et 15€ par mois.
Où peut-on vider le liquide recueilli dans le bac ? La saumure, liquide recueilli dans le bac de votre absorbeur d'humidité, peut être vidé dans un lavabo ou dans les WC (même si vous disposez d'une fosse septique).
Le charbon de bois et le gros sel de cuisine se sont révélés efficaces pour éradiquer l'humidité dans une pièce. Certaines plantes d'intérieur permettent également de déshumidifier l'air. En plus d'être dépolluantes, ces plantes vertes absorbent l'eau de l'air pour se nourrir.
Le déshumidificateur est un appareil efficace puisqu'il permet de lutter contre un air trop chargé en eau pouvant entraîner des problèmes respiratoires et un phénomène de moisissures.
Habituellement, de 22h00 à 7h00 est le moment opportun pour utiliser votre déshumidificateur. C'est parce que, pendant ces périodes, les entreprises énergétiques facturent généralement moins, car moins de personnes consomment de l'énergie.
Bien qu'un taux d'humidité acceptable dépende de nombreux facteurs, l'hygrométrie idéale pour une maison doit généralement être comprise entre 40 et 70 %. En dessous de 40%, vous ferez face à un air très sec. Pourront se multiplier les sensations d'irritations ou de gorge sèche ou d'yeux secs.
Or, le chauffage est rarement la solution la plus efficace pour réguler l'hygrométrie d'un logement. Et c'est sans compter le cout financier et écologique que cela engendre. Lutter contre l'humidité, cela passe forcément par une bonne ventilation et une bonne isolation.
Petit test à réaliser vous-même : collez sur votre mur, à l'aide d'un ruban adhésif, une feuille d'aluminium ou de film plastique. Si des gouttes d'eau apparaissent après 48 heures sur la face externe de la feuille, l'humidité est probablement générée par de la condensation.
Disposez du charbon dans des boites à couvercles troués dans les pièces et les placards de la maison. Pensez à changer le charbon toutes les deux semaines. Un autre moyen d'absorber l'humidité est de fabriquer un déshumidificateur maison.
Vous ne pouvez pas boire l'eau du déshumidificateur et elle contient sans doute des bactéries. Néanmoins, sous l'effet de la chaleur du fer à repasser, vous obtiendrez une vapeur exempte de contaminants. Cette eau est déminéralisée.
Il suffit de placer l'absorbeur dans la pièce humide, les sels vont absorber l'eau présente dans l'air. Il existe également du gel de silice sous forme de sachets à déposer dans vos armoires, ou des poudres absorbant tout type de liquide.
Un déshumidificateur de milieu de gamme doit pouvoir maintenir un taux d'humidité d'environ 50 à 55% d'humidité relative. Avec cette hypothèse, vous pouvez faire fonctionner votre déshumidificateur en toute sécurité pendant environ 12 heures par jour.
Le Inventor Fresh FRS-12L remporte la palme du meilleur déshumidificateur d'après notre comparatif des avis des consommateurs. Il s'agit d'un déshumidificateur à compresseur. Sa capacité de filtration est de 12 litres par jour. Son panneau de commande numérique facilite son utilisation.
Choisir le meilleur déshumidificateur
le volume de la pièce en m3 ou la portée en m² traitée ; le débit d'air, plus il est élevé, plus le déshumidificateur est performant ; la capacité d'extraction d'humidité, correspond au nombre de litres extrait par 24 h et fonction du taux d'humidité.
Le phénomène de remontées capillaires, ou humidité ascensionnelle, fait partie des causes principales d'apport d'humidité dans les parois d'un bâtiment ancien. En effet, de nombreuses maisons anciennes sont bâties avec des murs posés sur le sol, sans barrière pour éviter les remontées d'humidité.
Aérer et ventiler : un des points les plus importants pour lutter contre l'humidité est de renouveler l'air et d'éliminer les excès d'humidité. Vous pouvez donc aérer tous les jours durant 5 à 10 minutes, notamment les pièces les plus humides de votre logement comme la cuisine ou la salle de bains.
Un chauffage trop bas au cours de la nuit favorise l'humidité au niveau des fenêtres et des murs extérieurs. Pour lutter contre l'humidité, la ventilation ne suffit pas. Il convient de chauffer suffisamment les pièces en maintenant une température minimale de 15 °C pendant la nuit.
Le chauffage.
Inutile de surchauffer, la température réglementaire de 19 °C convient. Mais il faut chauffer sans période d'interruption car l'air froid sature plus rapidement que l'air chaud.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, quand il s'agit d'humidité, tout n'est pas que de la responsabilité du propriétaire. Le locataire est lui aussi soumis à certaines responsabilités. Entretenir les locaux : A charge pour le locataire – à qui il a été remis un bien salubre – d'entretenir ce bien.
Quand il pleut, l'humidité relative est de près de 100%. Quand il fait froid, l'humidité relative peut se retrouver en dessous de 5%. Plus l'air est chaud, plus il peut contenir de vapeur d'eau.
« Les normes européennes préconisent un taux d'humidité compris entre 30 et 70 %, mais l'idéal est de se situer entre 40 et 60 %. Au-delà de 60 %, on peut déjà considérer qu'il y a un problème d'humidité », estime Laurent Héritier, conseiller habitat et santé.