Les Trois Refuges (sanskrit : त्रिशरणा, IAST : triśaraṇā (« trois refuges ou abris, protections ou points d'appui») ; Pali : saranam gacchami) sont les Trois joyaux au cœur de la pratique bouddhiste, en lesquels les bouddhistes cherchent refuge pour échapper aux souffrances du samsâra.
Dans sa forme la plus ramassée, prendre refuge consiste simplement à réciter à haute voix : « Je prends refuge dans le bouddha, je prends refuge dans le dharma, je prends refuge dans le sangha. » La prise de refuge suit une forme ritualisée qui varie assez peu selon les écoles.
Dans le bouddhisme, ces joyaux sont le Bouddha historique Shakyamuni, le Dharma (l'ensemble des enseignements du Bouddha et des bodhisattvas et des patriarches), et le Sangha composé des quatre catégories d'êtres nobles et des laïcs (upasika).
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha[1] à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
Etre bouddhiste, c'est pratiquer à chaque instant de sa journée, avoir "un bon coeur" comme le répète si souvent le Dalaï-Lama. C'est aussi respecter tous les êtres, sourire à une personne âgée, savoir que tout est interdépendant.
Dans les religions orientales telles que le bouddhisme et le brahmanisme, le lotus a toujours été un symbole divin, associé aux dieux Vishnu "celui à l'œil de lotus" et Brahma mais également aux déesses Lakshmi et Sarasvati.
Apaiser son esprit et se comprendre soi-même permet de mieux comprendre les autres et de leur pardonner parce que l'on devine que derrière la méchanceté, il y a beaucoup d'immaturité et de la souffrance. Être bouddhiste c'est méditer sur les trois joyaux.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
« Les moines, par exemple, ne consomment jamais d'oignon ou d'ail car ils éveillent la libido et perturbent la méditation. » De manière générale, les légumes racines (dont la plante meurt quand on les cueille comme la pomme de terre ou carotte) et les légumes acres et à forte odeur (comme l'échalote ou la coriandre) ...
Le monachisme bouddhiste regroupe des moines (bhikkhu), littéralement et des nonnes (bhikkhuni) qui appartiennent au sangha, la communauté monastique bouddhique. Du vivant du Bouddha déjà, cette communauté s'est établie dans des monastères.
Dans la tradition religieuse tibétaine, le dalaï-lama est l'incarnation physique du Bodhisattva de la compassion, le Bouddha en devenir. Le titre de dalaï-lama existe depuis le 14e siècle et celui qui le détient est le chef spirituel et temporel des Tibétains.
La fleur de lotus est une fleur qui sort d'une plante aquatique de la famille des Nélumbonacées appelée Lotus sacré ou Lotus d'Orient (Nelumbo nucifera Gaertn). Dans le bouddhisme la fleur de lotus symbolise la pureté spirituelle.
La fleur de lotus blanc et la fleur de lotus rose sont symboles de pureté et de dévotion. Le Lotus rouge, pourpre, bleu et coloré peut avoir un sens spirituel d'ascension, d'illumination. Une fleur de Lotus verte est un cadeau pour tous ceux qui souhaitent améliorer leur vie.
Description. Situé à 30 minutes de Lodève sur le plateau de l'Escandorgue, dans un très bel environnement naturel, Lérab Ling abrite l'un des plus authentiques temples traditionnels tibétains en Europe, abritant une statue de Bouddha de 7 mètres de haut, que l'on peut venir admirer de mars à décembre.
Par Erik Pigani. Des moines bouddhistes se sont prêtés à des expériences menées sur le cerveau par des chercheurs occidentaux. Les résultats bousculent les connaissances médicales : oui, la méditation améliore considérablement nos capacités psychiques comme notre santé.
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Le Sūtra du Lotus est l'un des plus importants sūtra dans le bouddhisme mahāyāna. Le titre complet est, en sanskrit, सद्धर्मपुण्डरीकसूत्र (Saddharmapuṇḍarīkasūtra) soit« Sūtra du Lotus blanc du vrai Dharma ». On connaît en fait ce sûtra par sa version sanskrite ainsi que par différentes traductions en chinois.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
Concentrez-vous sur chaque inspiration et chaque expiration. Soyez attentif à votre abdomen qui se gonfle et qui se creuse. Soyez simplement conscient de votre respiration, sans essayer de la contrôler. Videz complètement votre esprit, tout en restant concentré sur votre souffle.