Les pertes blanches apparaissent à peu près un an avant les premières règles. Visibles sur les sous-vêtements, ces substances blanchâtres ou transparentes sont produites par l'organisme tout au long du cycle menstruel. Elles sont normales et impossibles à faire disparaître.
Cet écoulement vaginal est produit par l'utérus et le vagin. Tout comme les règles, les pertes blanches varient d'une femme à l'autre : plus ou moins épaisses ou abondantes, certaines sont transparentes, d'autres légèrement laiteuses, d'autres blanches ou jaunes claires, etc.
Hormones : Les fluctuations hormonales au cours du cycle menstruel peuvent entraîner des variations dans la quantité et la texture des pertes blanches. Infections : Les infections bactériennes ou à levures peuvent provoquer des changements dans la couleur et l'odeur des pertes blanches.
Au cours du cycle, elles apparaissent généralement entre les périodes de règles ou d'ovulation. Lors de la grossesse, des leucorrhées plus abondantes et épaisses peuvent aussi être observées. Le flux de ces sécrétions varie d'une femme à une autre. Il peut être léger ou abondant.
Pertes blanches laiteuses : une perte blanche laiteuse correspond à un début de cycle. Elle est sécrétée pour conserver un bon pH vaginal favorable à l'ovulation. Pertes blanches crémeuses ou épaisses : quand une perte blanche crémeuse apparaît, cela signifie que vous avez ovulé. Son rôle est de garder un vagin propre.
Il n'y a pas non plus de règles concernant l'apparition des pertes blanches. Certaines femmes en ont tous les jours, d'autres très peu. Cela dépend juste de votre corps et de votre cycle menstruel.
La glaire cervicale (aussi appelée mucus cervical) est l'un des principaux composants des pertes vaginales. Produite par les cellules du col de l'utérus, la glaire cervicale change tout au long du cycle, passant de sèche à humide, de crémeuse à gélatineuse, d'extensible à collante.
Certaines filles ont des pertes blanches dès l'âge de neuf ans, mais d'autres les ont beaucoup plus tard. *Si vous remarquez des pertes à l'aspect verdâtre ou jaunâtre, grumeleuses, à l'odeur inhabituelle ou irritantes pour la peau, il est préférable de consulter un médecin.
Avoir des pertes blanches pendant les rapports sexuels est sain et normal. Il s'agit de la réponse naturelle de votre corps à l'excitation. En effet, ces pertes participent à la lubrification. Ainsi, plus vous ressentirez de l'excitation, plus votre corps pourra produire de pertes blanches.
La leucoplasie est une pathologie qui cause généralement des plaques grises ou blanches à l'intérieur de la bouche. Elles apparaissent généralement sur les gencives, le palais ou la langue. Elles sont le résultat de la réaction de la bouche à une irritation persistante des muqueuses à l'intérieur de la bouche.
Des pertes blanches anormalement abondantes mais inodores font le plus souvent suspecter une mycose vaginale si elles s'accompagnent de démangeaisons et/ou de douleurs en urinant.
En effet, le rapport sexuel entraîne toujours une petite remontée de microbes dans l'urètre. Une fois présents, ces microbes ont tendance à remonter jusque dans la vessie, pouvant entraîner des infections urinaires récidivantes. Uriner provoque un effet de nettoyage, refoulant les microbes à l'extérieur.
Sous l'effet des hormones, les écoulements vaginaux s'épaississent souvent et deviennent plus abondants en fin de cycle. Leur couleur peut également changer légèrement pour devenir jaunâtre. Aucune inquiétude à avoir : les pertes blanches avant les règles sont particulièrement courantes.
Les pertes vaginales peuvent provenir de l'évolution normale des taux d'œstrogènes. Lorsque les taux sont élevés, les œstrogènes stimulent le col de l'utérus pour la production de sécrétions (mucus), et une petite quantité de mucus peut être évacuée du vagin.
Il s'agit en quelque sorte d'un système d'auto-nettoyage. Les pertes jouent en vrai rôle puisqu'elles équilibrent la flore vaginale. Elles la protègent des infections, on dit d'ailleurs qu'elles sont "physiologiques", c'est-à-dire tout à fait normales. Elles permettent également de lubrifier le vagin.
Elles peuvent se transmettre par des rapports sexuels ou apparaître à la suite d'un stress ou de la prise d'un antibiotique par exemple. Un traitement de quelques jours pour une angine peut suffire à détruire une partie de la flore vaginale, laissant tout l'espace à Candida albicans pour se développer !
Symptômes de la vaginite
Elles peuvent survenir tous les jours ou de façon intermittente, généralement en petite quantité. Des pertes anormales sont généralement accompagnées d'un prurit, de rougeurs et parfois d'une sensation de brûlure ou de douleurs au niveau de la sphère génitale, et parfois d'une odeur de poisson.
Rhumes, grippes et infections ont donc une voie royale pour attaquer le corps qui est ainsi privé de sa principale ligne de défense. Autre effet du manque de sexe chez les femmes, les parois du vagin s'amincissent et la lubrification est réduite, notamment pour les femmes en ménopause.
N'oubliez pas également que le sperme est libéré dans le canal vaginal. L'urine, elle, est expulsée par l'urètre. Ce sont deux « conduits » distincts. Uriner après un rapport sexuel présente tout de même un intérêt : celui de prévenir le risque d'infection urinaire.
Chez les femmes, aucune conséquence sur le corps n'a été noté, excepté d'ordre psychologique. En effet, chez l'homme comme la femme, l'abstinence incite à une baisse de la libido, et augmente le stress et la tension artérielle.
Ces sécrétions proviennent des glandes situées dans le col de l'utérus et la paroi du vagin. Elles jouent plusieurs rôles cruciaux : Le nettoyage: les pertes aident à nettoyer et à éliminer les cellules mortes du vagin. La protection: elles forment une barrière contre les infections en équilibrant le pH du vagin.
Il existe plusieurs causes à cette inflammation : le diabète, les rapports sexuels et l'ingestion d'eau ou de nourriture contenant des bactéries. Pour soigner une bartholinite un traitement médicamenteux ou de la chirurgie sont nécessaires.
La vaginite est une inflammation du vagin résultant : soit d'une infection vaginale due à un champignon (mycose vaginale), une bactérie, un virus ou un parasite, soit d'une irritation non infectieuse du vagin.
La sécheresse vaginale
Un rapport sexuel durant lequel l'absence de stimulation sexuelle engendre un manque de lubrification. Dans ce cas, un prurit vulvaire peut se déclarer après l'acte sexuel. Une hygiène inappropriée, comme l'utilisation de savons agressifs ou les douches vaginales.