La Galère portugaise ou physalie (nom scientifique :
Le nom le plus courant, traduit tel quel dans les autres langues (anglais, espagnol, allemand, néerlandais) est « galère portugaise », du fait de la vague ressemblance avec les « galiotes » portugaises, petites galères à voile ronde. Pour son nom scientifique, Physalis signifie « vessie » en grec.
Les physalies vivent habituellement dans les mers tropicales et subtropicales mais peuvent être déportées par les vents sur de longues distances. La présence de Physalia physalis est régulièrement signalée sur les côtes Sud-Ouest de l'Angleterre et sur les côtes françaises d'Aquitaine.
Des colonies de vélelles, un organisme marin à la fois cousin des méduses et des anémones, s'est échoué en masse sur nos côtes. Un phénomène rare mais sans aucun danger, car les vélelles ne sont ni urticantes, ni toxiques pour l'homme.
Selon le quotidien pour le mois de juillet, c'est à Bonifacio, Sartène et Borgo que les méduses ont été les plus nombreuses. Les trois communes ont enregistré 14 jours où des méduses ont été aperçues. Suivent ensuite Ajaccio et Biguglia avec 12 jours de forte présence.
La faune portugaise, de manière plus générale, est très diverse, combinaison d'espèces européennes et du Nord de l'Afrique. Chevreuils et sangliers sont courants dans les terres intérieures. Le lynx ibérique, félin le plus menacé au monde, est réintroduit depuis 2014 dans le parc naturel de la vallée du Guadiana.
La méduse pélagique
C'est la plus urticante des côtes françaises, plus particulièrement de la Méditerranée. La méduse pélagique est reconnaissable grâce à ses verrues violettes sur son ombrelle bleu et rose. Ses piqûres provoquent une sensation de brûlure, des démangeaisons voire des lésions cutanées importantes.
La piqure de la méduse œuf au plat est sans danger pour l'homme et pour la plupart des espèces marines.
La méduse la plus venimeuse. Les Chironex fleckeri ont tué environ 70 personnes pendant les 100 dernières années rien qu'en Australie, en particulier le long des côtes du Queensland, soit en moyenne un mort chaque année.
Elles sont de plus en plus nombreuses sur les côtes catalanes, et ont fait leur apparition de manière prématurée cette année. Plusieurs facteurs en sont la cause, le réchauffement climatique et la pollution en particulier. Heureusement pour les baigneurs, elles sont en majorité sans danger. La méduse chou-fleur.
Mais chez certaines espèces de méduses, la fécondation est interne, ce qui signifie que les spermatozoïdes libérés dans la mer sont ingérés par les femelles et vont rejoindre les ovules pour les féconder. L'oeuf est alors évacué par la bouche, comme chez Pelagia noctiluca.
À force de tuer les méduses, elles vont disparaître et leur écosystème sera détruit. Tout être vivant est utile et sert à quelque chose pour la planète.
On peut quand même se baigner, même quand il y a des méduses
Si toutefois vous décidez de vous baigner malgré la présence de Pélagies, il y a quelques consignes à respecter comme ne pas plonger la tête la première, se munir d'un masque d'un tuba et éviter les zones où elles sont regroupées.
Eviter également l'eau douce, susceptible de « faire éclater les cellules venimeuses », prévient le site santemagazine.fr et lui préférer l'eau de mer.
Araignées, scorpions, serpents : risque standard "sud-européen".
En effet, la côte portugaise compte plus de 30 espèces de requins. Parmi elles, le célèbre requin blanc, qui erre habituellement dans les eaux de la Méditerranée, mais qui parfois s'aventure régulièrement près de l'Algarve.
Utiliser des vêtements anti-UV ; S'abriter sous un parasol ; Aller à la plage en dehors des heures les plus chaudes de la journée ; Mettre une crème solaire d'indice de protection élevé.
La solution, c'est de consulter la carte des méduses, qui répertorie la présence de cet animal marin gélatineux et bien souvent translucide aux terribles filaments urticants.
Pour se nourrir et se défendre ! Les méduses mangent des petits poissons, des larves de crabes, des crevettes…
La durée de vie des méduses va généralement de quelques jours à deux mois pour les petites espèces, un à deux ans pour les plus grandes.
Les méduses prolifèrent aussi bien dans les eaux chaudes que dans les eaux froides. Bien qu'elles préfèrent les profondeurs marines, elles peuvent parfaitement se retrouver au niveau des côtes. Depuis 600 millions d'années, ces créatures ont su s'adapter à tous les biotopes.
Selon Jacqueline Goy, attachée scientifique à l'Institut Océanographique de Paris, « ce n'est pas la chaleur qui amène les méduses sur la plage, c'est le vent et les courants. La chaleur a une incidence sur leur croissance, et leur reproduction, mais pas sur leurs déplacements.
« Cette espèce de méduse est beaucoup moins venimeuse, et ne peut engendrer la mort qu'en cas de problèmes cardiaques ou chez des personnes fragilisées et très sensibles mais c'est rare, assure Philippe Vallette. « Par contre, cela peut être très douloureux et on peut garder une cicatrice à vie.
Elles n'ont pas de cerveau et sont principalement composées d'eau, mais les méduses ont des super-pouvoirs. Le venim des méduses-boîtes figurent parmi les plus mortels au monde.