Votre enfant peut se réveiller en pleurs si son sommeil est perturbé par un rêve, un cauchemar ou une terreur nocturne. Les terreurs nocturnes sont différentes des cauchemars. Elles apparaissent généralement à partir des 12 mois de bébé et surviennent généralement pendant la phase de sommeil profond.
Une chose est sûre si bébé pleure : il a besoin de vous, de votre présence et de gros câlins pour être réconforté. La solution la plus efficace pour rassurer bébé et éviter les pleurs la nuit, c'est vous ! Votre amour, votre chaleur, vos paroles réconfortantes, le contact de votre peau contre la sienne l'apaiseront.
De plus, entre sept et neuf mois, deux éléments viennent perturber les cycles de sommeil de votre enfant : la période de l'angoisse de la séparation. les poussées dentaires.
Il y a au moins deux causes qui peuvent alimenter les pleurs au réveil de l'enfant lors de la sieste. Manque de sommeil : La première est qu'elle ne dort pas suffisamment. À la sieste, je vous confirme que 2,5 heures de sommeil suffisent amplement pour s'éveiller de bonne humeur, car elle a bien dormi.
Mais certains bébés se réveillent tout simplement parce qu'ils ont l'habitude de se réveiller la nuit. Et ça, ça concerne souvent les bébés entre 7 et 12 mois. Par exemple: un nouveau-né se réveille parce qu'il a faim, toutes les deux trois heures, il mange tranquillement et il se rendort.
Un changement temporaire et passager
Le terme "régression du sommeil" est utilisé pour décrire les périodes pendant lesquelles votre bébé, qui dormait normalement toute la nuit, commence soudainement à se réveiller fréquemment la nuit, et peut même avoir des problèmes de sieste.
Votre bébé vous montre qu'il a faim de plusieurs façons : sa respiration change, il bouge les yeux sous les paupières, il remue ses bras et jambes, s'étire, porte les mains à la bouche ou au visage, puis il fait des mouvements de succion. Voilà autant d'indices que votre bébé est prêt à boire.
Une autre cause fréquente du refus d'aller se coucher est le retardement de l'endormissement. Cela se produit si l'enfant est autorisé à se coucher plus tard que d'habitude pour plusieurs nuits consécutives ; au fur et à mesure son horloge interne se reprogramme pour retarder son endormissement.
Cris, pleurs, regards apeurés, sueurs, respiration rapide et tachycardie sont les principaux signes d'une terreur nocturne en train de se produire. Un épisode peut durer entre 2 et 30 minutes. À la fin, l'enfant se rendort comme si de rien n'était et ne possède aucun souvenir de ce qui s'est passé le lendemain.
Les troubles du sommeil à 2 ans sont très fréquents comme ils le sont à d'autres moments de la vie. Les réveils nocturnes entre deux cycles de sommeil sont normaux et en général on ne va pas jusqu'au réveil complet sauf quand on a un peu de souci.
Il arrive qu'entre 6 et 12 mois, certains bébés recommencent à se réveiller la nuit. C'est la période normale d'angoisse de séparation. Vous aurez peut-être aussi observé que le jour, il réagit plus fortement lorsque vous le quittez, lorsque vous changez de pièce ou lorsque vous le mettez au lit.
Dans la majorité des cas, l'enfant s'apaise de lui-même et continue à dormir comme si de rien n'était. Le lendemain, il n'aura aucun souvenir de cette mauvaise nuit. « Les terreurs nocturnes sont des formes de parasomnies qui se développent en moyenne entre 6 et 24 mois, explique Anne-Sophie Diependaele.
Un bébé peut souffrir de régression du sommeil à n'importe quel âge, qu'il soit encore un nourrisson ou un peu plus âgé. Il arrive aussi aux enfants plus grands et aux adultes de mal dormir de temps à autre.
Certains enfants crient et ont des crises de colère, refusent de quitter le giron de leurs parents et/ou se réveillent la nuit. La peur de la séparation est une étape normale du développement et débute typiquement vers 8 mois, elle atteint une intensité maximale entre 10 et 18 mois et disparaît généralement à 24 mois.
Il est préférable de ne pas réveiller un enfant qui a une terreur nocturne. Il faut toutefois rester à ses côtés afin de s'assurer qu'il ne se blesse pas. Comme l'enfant n'a pas conscience de faire une terreur nocturne et qu'il n'en garde aucun souvenir, il n'est pas nécessaire de lui en parler le lendemain matin.
Les causes exactes des terreurs nocturnes ne sont pas complètement élucidées, mais certains facteurs peuvent contribuer à leur apparition. L'un des principaux éléments est le développement du système nerveux central de l'enfant, qui peut rendre le sommeil moins stable.
Ces problèmes peuvent correspondre à des insomnies (difficultés d'endormissement et réveils nocturnes), à des hypersomnies (sommeil excessif) ou à des parasomnies (somnambulisme, terreurs nocturnes, cauchemars, etc.)
C'est un décalage du rythme circadien du sommeil qui intervient. Cela explique bien souvent que la routine adoptée un temps ne convienne plus à l'enfant désormais. C'est tout logiquement que l'enfant refuse alors de se coucher puisqu'il ne ressent pas la fatigue.
Les parasomnies du sommeil lent profond comprennent les éveils confusionnels, les terreurs nocturnes et le somnambulisme. Les parasomnies associées au sommeil paradoxal incluent les cauchemars, les paralysies du sommeil et le trouble du comportement en sommeil paradoxal.
Les réveils nocturnes sont fréquents et normaux chez les enfants. Les tout-petits de 1 à 3 ans se réveillent d'ailleurs en moyenne trois fois par nuit entre leurs cycles de sommeil. Cela fait partie de l'organisation normale du sommeil.
Un bébé peut avoir trop chaud, dormir sur un matelas trop dur, ou encore avoir des reflux discrets mais très gênants. Et puis, il peut aussi avoir faim, surtout lorsqu'il est élevé au sein. Enfin, il peut être angoissé. L'essentiel est de lui parler de tout ce qui peut l'inquiéter.
Bébé rit ou sourit : il est quasiment impossible de mal interpréter ce signe. Un bébé qui sourit se sent bien et est content. Il n'y a pas de raison particulière à cela. Votre bébé vous communique tout simplement qu'il va bien !
La durée d'une régression est en général entre 3 semaines et 6 semaines. Cela peut paraître long, surtout quand plusieurs phases de régressions s'enchaînent.
Assurez-vous que les besoins de base de votre bébé sont satisfaits : vérifiez s'il a faim, s'il a besoin d'être changé, s'il est trop chaud ou trop froid. Les bébés peuvent se réveiller en pleurant s'ils ont des besoins physiques non satisfaits.
Voici nos conseils pour aider votre bébé à passer ce cap :
LE SILENCE : Faites dormir votre bébé dans sa chambre au calme, le moindre bruit peut le faire sursauter et le réveiller. Vous pouvez utiliser des bruits blancs, très utiles pour diffuser un son en continu qui rassurera votre tout-petit.