La période de la « drôle de guerre » s'étend du 3 septembre 1939, déclaration de guerre de la Grande-Bretagne et de la France à l'Allemagne, au 10 mai 1940, invasion de la Belgique et des Pays-Bas par les troupes allemandes. Elle doit son nom à l'inaction des armées alliées devant la défaite de la Pologne.
Si l'expression « drôle de guerre » est passée à la postérité, les neuf mois qui, de septembre 1939 à juin 1940, ont mené la France de l'entrée dans le deuxième conflit mondial à l'occupation allemande sont moins connus. Quatre-vingts ans plus tard, les historiens ont fait leur œuvre.
L'expansionnisme des puissances de l'Axe
La seconde guerre mondiale est avant tout la conséquence des actions des trois puissances de l'Axe : l'Allemagne nazie, l'Italie fasciste et le Japon impérial. Ils ont tous envahi des territoires au détriment du respect du droit international.
1er septembre 1939 L'Allemagne envahit la Pologne et déclenche la Seconde Guerre mondiale en Europe. 3 septembre 1939 Honorant leur garantie des frontières de la Pologne, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne.
La Seconde Guerre mondiale, qui coûta la vie de plus de 40 millions de personnes, a duré six ans, du 1er septembre 1939, date de l'agression allemande contre la Pologne, au 2 septembre 1945, jour où le Japon capitula.
Victoire des forces alliées sur l'Allemagne nazie et fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, le 8 mai 1945 marque une date importante.
Les Allemands comptent envahir les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg, pour y attirer le gros des forces françaises et britanniques. Ils espèrent ainsi franchir les Ardennes, et atteindre Sedan, mal protégée, puis foncer vers la Manche pour encercler les Alliés.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Dietrich von Choltitz est un General der Infanterie allemand de la Seconde Guerre mondiale, né le 9 novembre 1894 à Wiese Gräflich (Province de Silésie) et mort le 5 novembre 1966 à Baden-Baden.
La Seconde Guerre mondiale fut le conflit militaire le plus meurtrier de l'histoire. Plus de 80 millions de personnes ont été tuées, ce qui représentait plus de 2,5 % de la population mondiale à l'époque.
L'invasion de la Pologne par Hitler en septembre 1939 déclenche la Seconde Guerre mondiale.
La bataille la plus meurtrière de la Première Guerre Mondiale. La bataille de la Somme est non seulement l'une des plus grandes opération militaire de la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi la plus meurtrière. Cette bataille de plus de 4 mois fit plus d'1,2 million de morts, blessés ou disparus.
En 1945, Philippe Pétain est reconnu coupable de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Il est condamné à l'indignité nationale, dégradé, privé des droits civiques et de toute décoration. Il est condamné à mort, une sentence commuée en détention à perpétuité.
Quand la défaite tourne à la débâcle, Pétain demande l'armistice tandis qu'un général inconnu allume la flamme de l'espoir. C'est un coup de dés comme l'Histoire n'en a jamais connu en France.
Le 22 juin 1940, la France vaincue signe l'armistice avec l'Allemagne. Le 10 juillet, le Parlement accorde les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain. Ce dernier instaure une dictature appelée l'État français, qui succède à la IIIe République, rendue responsable de la défaite.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
Le 6 juin 1944 , les troupes alliées (Royaume-Uni, États-Unis et Canada) lancent une offensive amphibie sur la région de Caen, en Normandie. Cette opération d'envergure est connue sous le nom d'opération Overlord et la date sous le nom de D-day (Jour J).
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis. Fin de l'empire colonial italien et accélération de la décolonisation dans les empires britannique et français.
Pendant un an, de l'armistice franco-allemand du 22 juin 1940 à l'invasion de l'URSS (22 juin 1941), le Royaume-Uni a été le seul pays à tenir tête à l'Allemagne !
L'armistice et la mise en place du régime de Vichy
Le président Lebrun nomme le maréchal Philippe Pétain à la tête du nouveau gouvernement. Celui-ci demande aussitôt l'armistice : le 22 juin est signé l'armistice avec l'Allemagne à Rethondes et le 24 juin celui avec l'Italie à Rome.
Pendant quatre ans, de l'été 1940 à l'été 1944, la France vaincue a été gérée comme une colonie par l'Allemagne. On ne le dit jamais comme cela parce que c'était indicible à l'époque. Elle-même "empire" colonial, avec ce que cela supposait de condescendance à l'égard des colonisés, la France ne l'aurait pas supporté.
Et la réponse des assistants vocaux est pour le moins curieuse : « La troisième guerre mondiale commencera le 23 novembre 2023 à 18h05 quand la Russie lancera une attaque contre l'Allemagne ».
Côté vainqueurs, l'acte de capitulation (*) est signé par le général Walter Bedell-Smith et le général soviétique Ivan Sousloparov. Le général français François Sevez, adjoint du général Juin et chef d'état-major de la France Libre, est invité à le contresigner à la fin de la cérémonie en qualité de simple témoin.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.