Le mal des transports se caractérise par une série de troubles (nausées, vertiges, etc.) apparaissant lors d'un voyage en bateau, en avion ou en voiture. Cette affection est due au contraste entre le mouvement enregistré par les yeux, et l'immobilité du corps perçue par l'oreille interne.
Le fait d'être malade lors d'un déplacement s'explique par la contradiction entre les données transmises par les yeux (qui perçoivent un mouvement, un virage par exemple) et les renseignements envoyés par le vestibule (organe de l'équilibre qui se situe dans l'oreille interne).
- Ne pas consommer alcool, tabac, café avant et pendant le trajet. Eviter également les aliments gras et/ou épicés pendant le transport. - Si possible conduisez car cela permet d'anticiper les virages et d'être donc moins malade. Attention ne conduire que si aucun médicament ne perturbant la vigilance n'a été pris.
Si malgré tout, le mal des transports se déclare, trouver un moyen de prendre l'air ou s'allonger quelques minutes avec un linge frais et humide sur le front peut vous permettre de vous sentir mieux. En cas de vomissements, il faut boire pour éviter de se déshydrater, de préférence des boissons sucrées.
Le (mal de) cœur a ses raisons…
La cinépathie (ou mal des transports) est due aux informations contradictoires envoyées au cerveau par les yeux (on bouge vite), les muscles (ça tangue un peu) et l'oreille interne (on est immobile, mais subissons des accélérations et des arrêts).
Il réagit en déclenchant une nausée destinée à évacuer les toxines. Le conducteur est protégé dans la mesure où son cerveau est concentré sur la conduite. Paradoxalement, être malade en voiture signifie que le cerveau fonctionne bien.
Cinétose : traitements à suivre
Les anti-histaminiques : diménhydrinate (Nausicalm® ou Mercalm®), méclozine (Agyrax®). La scopolamine : Scoburen®, Scopoderm®. Les deux traitements sont contre-indiqués en cas de glaucome ou de troubles urinaires consécutifs à une atteinte de la prostate.
Le mal des transports (également appelé cinétose ou naupathie) peut accompagner un déplacement en mer (mal de mer), en avion (mal de l'air), en train ou en voiture. Ce problème est fréquent et habituellement bénin. Certaines mesures permettent de prévenir souvent sa survenue.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®)
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
Comprimé : Adulte : 2 comprimés 3 fois par jour, à prendre la veille et le jour du voyage. 2 comprimés dès l'apparition des symptômes pendant le voyage, à renouveler si nécessaire.
Chez l'adulte: 2 comprimés à sucer 3 fois par jour la veille et le jour du voyage. 2 comprimés à sucer dès l'apparition des symptômes. Renouveler la prise si nécessaire. Chez l'enfant: 1 comprimé à sucer 3 fois par jour la veille et le jour du voyage.
Cette affection laisse aux patients la sensation d'être continuellement en mouvement, et survient le plus souvent un ou plusieurs jours après une croisière ou un voyage sur l'eau.
Le mal des transports est dû à une réponse inadaptée du cerveau, liée à une opposition entre les informations fournies par les yeux et celles données par le vestibule (organe de l'équilibre situé dans l'oreille interne).
Le disque doit être appliqué derrière l'oreille, là où il n'y a pas de cheveux, en vous assurant que la peau à cet endroit n'est ni écorchée, ni irritée.
Une tasse d'eau chaude pour le mal de cœur
La chaleur de l'eau suffit pour faire diminuer les dérangements de l'estomac qui causent la nausée.
Le syndrome du mal de débarquement (MdDS) est caractérisé par la persistance d'une sensation de mouvement (> 1 mois), souvent suite à un déplacement en moyen de transport. Les symptômes sont nettement diminués lors d'une nouvelle exposition à un mouvement passif. Les femmes sont plus fréquemment atteintes.
Un niveau de stress multiplié par deux ou par trois
Une étude britannique a montré par exemple que les personnes se rendant à leur travail en transport en commun ont un niveau de stress trois fois plus élevé que celles s'y rendant à pied.
Le vertige est une illusion de mouvement de ce qui entoure (murs, plafond, objets...) ou une sensation de déplacement de soi-même dans l'espace. Il se manifeste par des crises vertigineuses isolées ou répétées, parfois accompagnées d'autres symptômes.
Rester assis trop longtemps dans une même position, sans grande possibilité de bouger, peut provoquer la formation de caillots de sang dans les jambes qui, dans de rares cas, sont responsables d'une embolie pulmonaire.
En cas de déplacement, prendre un comprimé 30 minutes avant le départ. De 6 à 11 ans : 1 comprimé, maximum 4 fois par jour. Dès 12 ans : 2 comprimés, maximum 4 fois par jour. Femmes enceintes (dès le premier mois) : 1 comprimé, maximum 2 fois par jour.
Le vogalib fait partie des médicaments antiémétiques appartenant à la classe des phénothiazines. Il a pour action de normaliser la contraction musculaire au niveau de l'estomac et de l'œsophage. Son usage est indiqué pour soulager les nausées et les vomissements sans fièvre.
Allongez-vous un peu ou allez vous promener. Dans certains cas, en respirant à fond et rapidement une dizaine de fois à la suite, l'envie de vomir peut s'atténuer, voire disparaître et éviter que le vomissement ne survienne. Après avoir vomi, ménagez votre estomac ; n'absorbez rien pendant quelques heures.
Cocculine® est indiqué pour le traitement, et de la prévention, de plusieurs symptômes du mal de transports. Cocculine® peut être pris par les femmes enceintes et enfants. Convient également aux conducteurs de véhicules car il ne provoque pas de somnolence.