Mais, c'est là que réside le plus grand danger puisque de forts courants sous-marins peuvent piéger les nageurs peu expérimentés ou fragiles (personnes âgées et enfants) qui ne mesurent pas toujours la difficulté qu'ils auront à regagner la plage dans ces moments-là et qui s'épuisent face aux éléments.
La vague, pour sa part, est le déferlement de la houle quand celle-ci rencontre un obstacle (fond, rocher…). Ce déferlement sera d'autant plus violent que la remontée des fonds est brutale, d'où le fait que les plus grosses vagues se produisent généralement sur des rochers plutôt que sur des plages.
Pour le comprendre facilement ce phénomène, il suffit de jeter un caillou au centre d'une mare. L'impact du caillou correspond au vent. Il va lever de grosses vagues juste autour de l'impact du caillou puis ces vagues vont se propager circulairement dans toutes la mare en diminuant progressivement : c'est la houle.
Le lieu le plus dangereux de France reste la côte Atlantique.
Le ressac se caractérise par le retour puissant des vagues vers le large, créant un courant. Plus la vague est grosse, plus le ressac est important. Il est dangereux après le passage d'une lame de fond (déferlement d'une ou plusieurs vagues d'une taille plus importante que les autres).
Le grand requin blanc, somptueux et fatal
D'une longueur de six mètres, le grand requin blanc ne déroge pas à la règle, et s'avère être un animal des plus redoutables pour l'homme.
La quasi-totalité des kidnappings en mer, en 2020, ont eu lieu dans le golfe de Guinée, selon le dernier rapport du Bureau maritime international. La crise du coronavirus n'a pas ralenti les pirates.
Conseils pour sortir d'une baïne
Les baïnes ont tendance à emporter les personnes vers le large ! Le conseil classique est de se laisser emporter et de s'échapper du courant une fois que celui-ci s'atténue, et surtout ne pas paniquer quand on se retrouve emporté loin de la côte.
La mer et les cours d'eau subissent les pollutions, les marées noires et la pression du trafic maritime. Tout cela menace la faune marine de la région, qui doit par ailleurs faire face à des pratiques de pêche excessives et non durables.
Mangawhai, Nouvelle-Zélande. Si l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande est l'une des destinations préférées des amateurs de sensations fortes, elle abrite également la plage idéale pour des vacances au calme. La région de Mangawhai, entourant le port du même nom, abrite l'une des plages les mieux notées pour se détendre.
La houle, c'est ce mouvement de la mer, qui a la particularité d'avoir été créé par un vent lointain, sur une grande étendue de mer sans obstacles. Généralement, la houle qui arrive sur une côte provient de dépressions très lointaines, qui se sont propagées sur plusieurs centaines de kilomètres.
L'idéal est une houle qui va arriver plein ouest, directement vers la plage. Si la houle est annoncée sud ou nord, il y a fort a parier qu'elle passe au large et que les vagues qui arrivent sur le spot ne soient que des résidus donc pas clean.
La houle se forme au milieu de l'océan ou de la mer ( cela paraît logique... ) ; il faut pour cela un conflit de masses d'air ( cela arrive très souvent au milieu de l'océan ) pour qu'il y ait formation d'une dépression et donc générant des rafales de vent au niveau de l'eau : la houle est formée .
La houle est un mouvement ondulatoire de la surface de la mer qui est formé par un champ de vent éloigné de la zone d'observation (vent lointain).
Selon la longueur d'onde, la houle est dite courte (0 à 100 m), moyenne (100 à 200 m) ou longue (plus de 300 m). Cette onde est propagée sans contrainte ni grande perte d'énergie sur de grandes distances, jusqu'à ce qu'elle atteigne les zones côtières.
C'est depuis les profondeurs de l'océan que les fonds marins viennent mettre leur petit grain de sable. Le long de son voyage, la houle va frotter sur les fonds marins. Ce frottement va ralentir sa vitesse d'ondulation tout en amplifiant verticalement la houle pour former des vagues en se rapprochant de la côte.
La salinité est très élevée, jusqu'à 45 0/00 alors que, de façon générale, les océans ont une salinité moyenne de 35 0/00. Si la profondeur maximale atteint 3.040 m, la Mer Rouge est cependant parsemée de nombreuses îles et de nombreux hauts-fonds, elle se révèle très dangereuse pour la navigation.
Selon la légende, il est beaucoup plus facile de flotter dans la mer Morte. Mais pourquoi donc ? Sachez qu'un litre d'eau de mer contient environ 35 g de sel par litre. Un litre d'eau de la mer Morte en contient 275 g car cette mer est totalement fermée, l'eau s'y évapore et la quantité de sel reste la même !
Le taux de salinité de la mer Morte est de 34,2% (contre 3,5% pour la mer Méditerranée). Il s'agit du quatrième plan d'eau le plus salé au monde, derrière l'étang Don Juan en Antarctique et les lacs Vanda et Assal à Djibouti.
Cette formation géologique temporaire se retrouve sur la plupart des côtes du monde mais le terme baïne est en usage dans le sud-ouest de la France sur la côte Atlantique où on les voit principalement sur le littoral néo-aquitain (Côte d'Argent et Côte sauvage de la presqu'île d'Arvert et de l'île d'Oléron).
Les baïnes se forment sur un relief où le phénomène de marée est fort, le sable fin, le dénivelé faible, et avec une forte houle. A marée haute, le ressac créé par la houle en déférlant sur la plage, emporte vers le large du sable. Au fur à mesure de la marée un banc de sable, parallèle à la plage, va se former.
Quand l'océan monte, il recouvre les bancs de sable et remplit les cuvettes, qui deviennent invisibles. Et c'est là, que se crée le courant de baïne, qui entraîne tout ce qui s'y trouve au large. Pour les repérer, il faut regarder les vagues : les grosses, loin du bord, se brisent sur les bancs de sable.
Les talibans contrôlent plus de territoire qu'à n'importe quel moment depuis la chute de leur régime. La capitale Kaboul, est continuellement confrontée à la menace d'attaques terroristes, qui comprennent des attentats-suicides, des enlèvements et des conflits armés.
Le crocodile, un prédateur discret ! On parle d'animaux dangereux, lorsque ceux-ci sont toxiques et capables de tuer les êtres humains en quelques instants.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.