Explications. La sororité c'est aussi un concept, un concept de solidarité. Une solidarité au féminin que certains assimilent à son pendant masculin : la fraternité. Du latin soror, qui signifie sœur ou cousine, la sororité veut unir les femmes sous une même bannière, au-delà des dissensions, pour lutter ensemble.
1- Pourquoi rejoindre une sororité ? Entrer dans une sororité c'est l'occasion d'étendre ses réseaux sociaux et professionnels, de prendre part à des activités autant philanthropiques que festives et de créer des liens forts, qui dureront plusieurs années après le diplôme.
Le terme de sororité, popularisé par les féministes dans les années 70, réemployé aujourd'hui au-delà des cercles militants, s'est ainsi construit en opposition au concept de fraternité, pour rendre visible les femmes, favoriser l'entraide entre elles et la lutte contre le patriarcat.
Une sororité est un groupe de femmes tel qu'ils se sont développés dans les universités américaines, soit l'analogue féminin des fraternités.
C'est à partir du XVIe siècle, grâce à Rabelais, que sa définition est revue. Le terme de « sororité » est entendu comme « une communauté de femmes ayant une relation, des liens, qualité, état de sœurs ». Il n'est plus cantonné et restreint à la structure familiale, et exempt de toute domination masculine.
Nom commun. (Botanique) Réunion de plusieurs étamines par la soudure de leurs filets. (Anthropologie) Lignage, ensemble d'individus relevant d'un même doyen ou d'une même doyenne. (Généalogie) Ensemble composé des enfants (frères et sœurs) d'une même famille, fratrie ou sororie.
Ce mot signifie : appartenir à la même matrice, venir du même corps.
Une fraternité ou sororité est souvent appelée aussi une « maison grecque » ou simplement « maison », des termes qui sont parfois trompeurs car ces confréries n'ont pas obligatoirement une véritable maison pour se réunir.
A la fraternité répond désormais la sororité, comme outre-Atlantique « brotherhood » s'est vu opposer « sisterhood » – un terme popularisé par l'ouvrage de Robin Morgan, Sisterhood is Powerful, publié en 1970.
sororal, sororale, sororaux
1. Qui concerne la sœur, les sœurs : Héritage sororal. 2. Se dit d'une famille dans laquelle un groupe de sœurs avec leurs enfants sont placés sous l'autorité de leur frère aîné.
Car si on n'a qu'une famille d'origine, l'histoire de cette famille comporte autant de versions que de membres. Dans l'ensemble des relations humaines, le lien qui existe entre soeurs est unique. La sororité est une forme d'amitié entre égaux.
La fratrie, qui est une des composantes de la famille, est une notion découlant des liens affectifs tissés entre les membres qui la composent. L'ensemble des sœurs se nomme sororie, du latin soror (« sœur ») avec le suffixe -ie.
Le mot adelphité est formé sur la racine grecque adelph- qui a donné les mots grecs signifiant sœur et frère, tandis que dans d'autres langues (sauf en espagnol et en portugais, ainsi qu'en arabe), sœur et frère proviennent de deux mots différents.
Favoriser la connaissance de soi et de l'autre, apprendre à confronter pacifiquement les opinions dans le cadre régulé d'une éthique de la discussion, c'est déjà développer des dispositions à une fraternité laïque.
La fraternité c'est à la fois le fait de la parenté et le sentiment, l'affection immédiate que l'on porte à un membre de sa famille auquel on doit aide et bienveillance en toute situation. Le lien fraternel crée une attache indélébile dont la raison ne suffit pas à rendre compte.
1. Lien de solidarité qui devrait unir tous les membres de la famille humaine ; sentiment de ce lien. 2. Lien qui existe entre les personnes appartenant à la même organisation, qui participent au même idéal.
D'où vient le mot schneck ? Dans son premier sens, le mot schneck est emprunté à l'alsacien, une langue germanique du groupe alémanique, apparentée à l'allemand. Schneck , c'est d'abord le mot alsacien pour escargot .
Propriété d'un corps qui produit ou conduit les sons : La sonorité est propre aux corps élastiques. 2. Caractère particulier d'un son ; façon dont il sonne : La sonorité douce d'une voix.
Sœur cadette, jeune/petite sœur.
Leurs frères et sœurs qui respectent cette non-binarité ne les appellent pas « mon frère » ni « ma sœur » car ces appellations sont genrées, mais plutôt « mon adelphe », sans faire mention du genre du mot. Au pluriel, le mot adelphe désigne les frères et sœurs d'une personne, les autres membres de sa fratrie.
Phratrie = groupe de clans, en sociologie. Fratrie = ensemble des frères et sœurs, dans une famille.
graphie n.f. Toute représentation écrite d'un mot ou d'un énoncé.
cadet, cadette
Se dit de celui des enfants d'une famille, qui vient après l'aîné. 2.
Le benjamin d'une fratrie est le dernier né, il peut donc être le second comme le cinquième ! La position dans laquelle se trouve le benjamin peut être la plus facile à vivre, comme la plus difficile s'il ne se sent pas entendu ou écouté comme les autres.