En ce qui concerne les neurotransmetteurs, la théorie des scientifiques est que le cerveau des personnes les plus tolérantes à l'alcool ne reçoit tout simplement pas les signaux qui lui disent “Ouh là là, tu ferais mieux d'arrêter de boire.”
Il existe des symptômes qui permettent de mettre la puce à l'oreille des allergiques ou des intolérants à l'alcool qui s'ignorent. Le visage qui rougit, le picotement des yeux ou du nez, le cœur qui s'accélère, les migraine et les diarrhées.
La génétique. Certaines personnes sont capables de résister (de manière provisoire) à des alcoolémies très élevées, alors que d'autres ne tolèrent même pas un verre. L'accoutumance. Un consommateur quotidien supportera mieux une importante quantité d'alcool par rapport à quelqu'un qui boit occasionnellement.
Le saviez-vous ? : le champagne rendrait ivre plus vite que d'autres alcools. C'est la science qui le dit. C'est scientifiquement prouvé : boire des boissons alcoolisées à bulles procurerait une ivresse plus rapide qu'après la consommation de boissons « plates » avec le même volume d'alcool.
La présence d'aliments dans le système gastro-intestinal a un effet positif sur l'assimilation de l'alcool dans le sang. Le type d'aliments ingérés joue aussi un rôle important.
Une personne ivre peut respirer beaucoup plus lentement ou avoir le souffle court; sa respiration est faible et peu d'air est inspiré ou expiré. Fatigue : L'alcool et le cannabis sont des dépresseurs. Lorsque les gens deviennent intoxiqués, ils montrent des signes de fatigue ou de somnolence.
La vodka améliore la circulation sanguine dans le corps. Cela a pour effet de prévenir la formation de caillots, les accidents vasculaires cérébraux, ou encore d'autres maladies cardiaques. La vodka peut également aider à réduire le taux de cholestérol.
Ainsi, les alcools de la famille des "spiritueux" étaient les moins susceptibles d'être associés au fait de se sentir détendu (20%) tandis que le vin rouge était le plus cité pour susciter ce sentiment (53%) suivi de la bière (50%).
0,5-1,5 ‰ (environ 2-5 verres pour une femme, 3-7 verres pour un homme): vous êtes «éméché», vous ne pouvez plus vous insérer dans la circulation en toute sécurité. 1,5-3,0 ‰ (environ 6-9 verres pour une femme, 8-14 verres pour un homme): vous êtes ivre, vous ne devez en aucun cas vous insérer dans la circulation.
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou. Il fait sauter les inhibitions.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
A terme, certaines cellules du cerveau vont aussi disparaître, c'est ce qu'on appelle la "perte de tissu cérébral". Elle s'observe clairement à partir d'une consommation journalière de 6 verres d'alcool et est due à la toxicité de l'alcool qui vient détruire les cellules cérébrales.
Notez cependant que le vin rouge reste, nonobstant ses effets nocifs sur la peau, l'alcool le moins dommageable pour la santé. Consommé en petites quantités, il peut même avoir des effets positifs, comme la réduction des troubles de l'érection ou encore l'amélioration de la santé cardiovasculaire et du sommeil.
Le risque de coma éthylique est particulièrement important lorsqu'une quantité d'alcool comprise entre 2 et 4 grammes par litre de sang est consommée rapidement. L'ivresse peut-elle être mortelle? Oui, indirectement.
Cette limite représente environ la consommation de 2 verres normalisés. Par exemple, 2 verres de 25 centilitres de bière. Vous êtes en infraction si vous conduisez avec un taux d'alcoolémie compris entre 0,5 et 0,79 gramme d'alcool par litre de sang.
Le Code de la route en France interdit de conduire à partir d'une dose de 0,5 gramme, ce qui signifie donc que cette limite est atteinte au bout de deux verres. La réglementation est même plus stricte pour les jeunes conducteurs titulaires d'un permis probatoire depuis le 1er juillet 2015.
Les alcools qui détendent : vin rouge et bière
Pour le moment pourtant, aucune étude n'a cherché à vérifier si l'hormone se retrouve aussi dans le vin après fermentation.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Nos émotions refoulées
L'alcool intensifie nos émotions. Par exemple, si vous vivez des moments difficiles au sein de votre couple, il se peut que vous vous mettiez à pleurer toutes les larmes de votre corps juste en y pensant, même si d'ordinaire vous contrôlez très bien vos émotions.
La bonne nouvelle, cela dit, c'est qu'une boisson forte en alcool anéantit les bactéries du citron, mais encore faut-il que la proportion d'alcool pur soit suffisante. Un mojito ou un cocktail à base de bière est incapable de tuer les bactéries du sulfureux citron.
La surmortalité observée dans le groupe des plus gros buveurs était liée aux intoxications alcooliques, aux accidents, actes de violence et suicides mais aussi aux diverses pathologies comme les cancers de la gorge et du foie, la tuberculose, la pneumonie, la pancréatite, ou encore les atteintes cardiaques et ...